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3,94

sur 1655 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Mais où est passé le Michel Bussi de « Un avion sans elle » et « les nymphéas noires » ?
Je viens de terminer « laborieusement » TROIS VIES PAR SEMAINE. Je suis bien ennuyée pour faire un retour, mon enthousiasme vis-à-vis de cet auteur que j'affectionne mais qui, cette semaine, viens de me décevoir, s'est ralenti.
Que dire de ce polar, le terme qui me vient est une histoire à dormir debout et une fin tirée par les cheveux !
Les nombreux retours parus ont parlé de l'histoire je suis entrée dedans sans mal , ses passages de l'un à l'autre pas trop de problème mais on alterne aussi l'histoire de MINA et celle de RENAUD avant sa mort, c'est lourd.
Ça fait beaucoup, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? C'est ce qu'a choisi Michel Bussi, il a fait compliqué.
Malgré tout ce que je dis de négatif ci-dessus, Michel Bussi conserve (heureusement) sa très belle et riche écriture, elle est fluide et invite le lecteur, même s'il subit des longueurs, à avoir envie de connaître la fin.
J'ai mis une semaine pour lire les 450 pages …. Pas besoin de commentaires supplémentaires ce temps pour lire un livre dévoile l'intérêt que je lui ai porté.
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Je rêve de retrouver l'auteur qui m'avait tant enthousiasmée avec "Nymphéas noirs" ou "Un avion sans elle". Hélas, 3 fois hélas, mon rêve ne se réalisera pas avec "Trois vies par semaine"...

Pourtant, au début, j'ai cru à cette intrigue qui baladait son lecteur entre les Ardennes, Paris, la Lozère puis le renvoyait dans le passé dans un pays qui s'appelait alors la Tchécoslovaquie. Un peu de tourisme, un peu d'histoire, quelques vers d'Arthur Rimbaud, un univers empli de marionnettes et de marionnettistes, Michel Bussi construit le décor. Côté polar, autour de la mort mystérieuse d'un homme qui à la surprise de tous, semblait mener trois vies en parallèle, vont se retrouver plusieurs femmes, les trois compagnes et la capitaine de police. Question personnages, on tombe vite dans la caricature. Qui est la pire, la fliquette ou l'Aspergirl ? Je n'évoquerai pas le duo de tueurs, l'un sourd, l'autre aveugle, connectés par leur tablette...
Peu à peu, par excès de sentimentalisme, l'intrigue sombre dans la mièvrerie, les dialogues sont creux, l'humour que souhaite apporter l'auteur accentue les invraisemblances. le thriller perd, à mes yeux, toute crédibilité. J'attendais avec impatience le fameux twist, marque de fabrique de l'écrivain, il a fait un tout petit "pop".

J'accorde un 12/20 à ce titre qui reste "gentillet" malgré tout. Je ne sais pas si c'est moi qui suis devenue plus difficile au fil des années ou si c'est l'auteur qui a du mal à se renouveler. J'aurais tant aimé que Michel Bussi me manipule comme une marionnette, comme il a su si bien le faire par le passé.
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L'histoire de trois femmes, différentes, avec de vraies personnalités, malignes, drôles, touchantes.
Trois vies par semaine est un excellent roman servi par une écriture simple, sans doute facile à lire diront certains, mais qui ne nous prend pas par la main. Une belle découverte !
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De MICHEL BUSSI : Trois vies par semaine

Bon je ne dirais pas que c'est le meilleur Bussi que j'ai lu mais comme
souvent l'auteur nous balade tout au long de cette lecture.
Charleville-Mézières et son festival mondial de marionnettistes sert a poser
l'intrigue de ce roman.
Un corps est retrouvé au coeur des Ardennes dans la vallée de la Meuse.
Suicide, meurtre ?
Trois permis de conduire avec la même photo sur chacun dans la boite a gant du véhicule et le doute s'installe.
Renaud Duval avait il une triple vie ?
Trois femmes attendent le retour de leurs conjoints.
Mais qu'en est-il vraiment ?
Mina mère de Renaud Duval, décédée depuis 5 ans, a laissée derrière elle ses marionnettes qu'elle a construite avec amour.
Ce roman manie l'illusion avec un passé et un présent qui se confonde et une terrible vengeance.
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Je sors mitigée de cette lecture.
J'ai passé de bons moments,il y'a de sacrés retournements de situations et la révélation m'a vraiment surprise.
Si au début du roman,je tournais les pages avec avidité,j'ai fini par me lasser et m ennuyer un peu par moment.
Les 2 vilains frangins, j'ai eu du mal avec eux, car je n'y croyais pas.
Je n'arrivais pas à être à fond dans le roman,ça sonnais faux.
Après tout n'est pas à jeter non plus, j'ai eu de bonnes surprises.
Je suis juste un peu déçue.
Ceci n'engage que moi bien évidemment, les goûts et les couleurs comme je dis toujours ^^
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Les 2 premiers tiers sont vraiment intrigants et l'on se demande vraiment ce qui se cache derrière cette "triple vie". On échafaude des théories, on tente de multiples combinaisons, en vain. Puis, cela traîne et n'en finit pas de finir... Un ultime "rebondissement" donne presque l'impression que l'auteur avait un nombre imposé de pages à écrire...
C'est dommage et, hélas, ce n'est pas la 1ère fois avec Bussi, pourquoi?!
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Cette fois-ci, j'ai délaissé la divinité du hasard à ses jeux quant aux choix de mes lectures, car je souhaitais enfin découvrir cet auteur.

C'est un roman qui se lit vite et bien, dynamique, avec des esquisses de personnages attachants. L'histoire est distrayante et exploite les ficelles (de marionnettes) dans tous les sens. J'ai apprécié les références à l'histoire de la Tchécoslovaquie. En revanche, j'ai été moins satisfaite de la pirouette finale qui était prévisible et trop grossière à mon goût, tout comme l'obsession des antagonistes qui finalement ne tient pas à grand-chose. Il faut une certaine suspension consentie de l'incrédulité pour adhérer à l'ensemble.

Il est vrai que c'est l'été, et parfois il est bon de reposer un esprit trop agité. Or, j'avoue ne pas réussir à accrocher à certains auteurs surestimés (Thilliez, Chattam etc.), mais Michel Bussi est parvenu à tout de même me distraire avec ce roman, donc à petites doses de temps en temps… Pourquoi pas ?

En ce qui concerne les caricatures qui ont dérangé de nombreux lecteurs, je les ai également remarquées. Notamment la représentation de la neuro-divergence hétérogène, le TSA (trouble du spectre autistique on ne dit plus asperger, encore moins aspergirl) et HPI (haut potentiel intellectuel), cela m'a un peu dérangé, même si je comprends que l'auteur n'a pris que quelques “traits” sympathiques, et non pas les plus handicapants dans la vie quotidienne - d'ailleurs, y en a-t-il vraiment pour le personnage en question ? (spoiler : bien sûr que non !) - et il y aurait vraiment beaucoup à redire sur le sujet. Sans oublier la femme “trop gentille avec un coeur immense”, la flic bougonne qui manque de tact etc.

En somme, nous savons que dans ce genre de romans, l'objectif est de se distraire sans en attendre grand-chose. Néanmoins, la mission est tout de même accomplie.
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Ce livre m'a quelque peu surpris et laissé sur ma fin, je dois bien l'avouer.
Le début vous embarque immédiatement dans une intrigue dont on découvre la trâme petit à petit et toute cette partie de découverte est extrêmement plaisante.
Puis une fois les personnages campés, on commence à découvrir l'histoire au fil des pages, à travers l'histoire présente mais aussi à travers des flash back.
Pour ma part, là j'ai commencé à lâcher !
J'ai trouvé la fin du roman beaucoup plus attendue et sans grande surprise.
On enlèvera pas à Michel BUSSI son imagination prolixe ni son style mais bon, pour cette fois, je passe mon tour.
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J'ai lu trois livres de Bussi, les premiers et j'avais beaucoup aimé. Depuis je ne lis plus beaucoup de policiers, mais comme l'auteur doit venir dans ma ville j'ai acheté celui-ci. Je trouve toujours intéressant d'entendre un auteur expliquer comment son livre est né.
Franchement j'ai trouvé l'intrigue assez délirante, Michel Bussi a beaucoup d'imagination.
J'ai appris des choses intéressantes sur les marionnettistes et je suis allée jusqu'au bout, parce que c'est bien écrit. Mais je pense que je ne suis pas prête de lire à nouveau ce genre de littérature.
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Trois vies par semaine est mon premier Michel Bussi.. et mon dernier je pense.
Je n'ai pas du tout accrocher avec l'histoire qui pourtant avais l'air si prometteuse au vu du résumé.
Je m'attendais vraiment à autre chose.
Je n'ai ni réussi à m'attacher aux personnages ni à l'histoire.
C'était long..
C'est vraiment dommage que je n'ai pas du tout accrocher avec ce livre car j'étais à peu près sûre que j'allais beaucoup aimer..

J'ai mis 3 étoiles tout de même car ça avais du potentiel et je me dis que même si ça ne m'a pas plus à moi ça plaira peut être à quelqu'un d'autre. Je ne mettrais jamais (sauf cas vraiment exceptionnel) moins de 3 étoiles car je me dis qu'il y a tout de même un travail de l'auteur derrière un livre.
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