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sur 1658 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Capitale mondiale des arts de la marionnette, Charleville-Mézières accueillera du samedi 16 au dimanche 24 septembre 2023 la 22e édition de son Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes qui profitera incontestablement de la promotion offerte par Michel Bussi qui pose l'intrigue de « Trois vies par semaine » au coeur de l'événement 2023.

C'est en effet le jeudi 14 septembre 2023 qu'un cadavre est découvert à Bogny-Sur-Meuse, au Belvédère des Quatre Fils Aymon. Dans la boite à gants d'une voiture, les gendarmes trouvent 3 permis de conduire au nom de trois conducteurs Renaud Duval, Pierre Rousseau et Hans Bernard. Trois permis avec la même photo d'identité ; trois hommes nés le 29 janvier 1977, le premier à Charleville, le second à Paris, le dernier à Mende.

Renaud est marié avec Agnès, Pierre est amoureux d'Eléa, Hans est en couple avec Vicky, maman d'une petite Lola, 5 ans. Trois femmes qui ne se connaissant pas, trois rivales qui unissent leurs forces pour comprendre comment l'impossible semble être devenu probable.

Une fois de plus le marionnettiste Michel Bussi tire les ficelles d'une machination extraordinaire. Une fois encore le géographe nous promène, cette fois ci des Ardennes à la Bohème avec détour par la Lozère. Une fois encore le romancier s'inspire d'un secret de famille et déroule une implacable vengeance ourdie dans les drames de l'histoire européenne.

Mourir sur Seine bouleversa it la cinquième armada rouennaise en 2008 et menaçait ses millions de visiteurs.

Trois vies par semaine annonce une 22e édition du Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes perturbée en 2023 …

Ceci étant, pas de panique, la Capitaine Katel Marelle et la gendarmerie s'engagent pour notre sécurité, asseyons nous Place Ducale, commandons une bière fraiche (une Pilsen s'il vous plait) et patientons … Rimbaud ou Petrouchka vont apparaitre pour notre plus grand émerveillement.

Nota bene : La Pilsen accompagne délicieusement la « cacasse à cul nu » qu'un typographe facétieux (ou nul ?) grave « à cul nul » en page 143.

PS : Ma lecture de « Mourir sur Seine »
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Un bon polar .La capitaine Katel Marelle est appelée suite à la découverte d'un cadavre au bas d'un belvédère dans les Ardennes .A priori ,il pourrait s'agir d'un suicide puisqu'il n'y a pas de traces de lutte ,seulement la capitaine va découvrir que l'homme possédait trois identités différentes .La femme de la victime va bien identifier le corps mais assure ne pas connaître les deux autres identités ,effarée par la vie cachée de son mari. Et il faudra patienter jusqu'aux dernières pages pour découvrir la vérité .
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Thriller dans la lignée de ce que produit habituellement M. Bussi. Comme il nous y a habitués depuis un certain temps, avec des hauts et des bas, il revisite, comme diraient nos chefs médiatiques, le ballet des lieux, des temps et ici des identités très bohèmes.
Rien de très original donc dans cette orchestration et ces rythmes aux changements rapides malgré des tableaux construits au millimètre près et qui laissent toujours un peu pantois (j'ai écrit pantois pas pantin) lorsque toute la machinerie est finalement dévoilée.
Il a choisi un scénario lui permettant de lever le rideau en douceur, par petites touches, ce qui rend le spectacle très prenant : pas question d'abandonner la scène en cours de route, fût-elle parcourue en roulotte sur les chemins exotiques de la regrettée Tchécoslovaquie (j'aimais bien le nom de ce pays disparu pour respecter les différents identités le composant).
Il nous balade comme des marionnettes et on cherche le dénouement possible, on en dévoile un pan, puis l'autre nous échappe, on est facilement emballé (là, c'est osé ! ) par la faconde de l'auteur et la fanfare des dernières révélations…
C'est néanmoins un roman, et il sacrifie beaucoup au réalisme. N'est-ce pas ce qu'on attend de ce genre ?
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Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu un roman de Michel Bussi et je dois dire que j'ai beaucoup apprécié ma lecture.
On retrouve le cadavre de Renaud Duval dans les Ardennes. Celui-ci semblait avoir trois identités différentes et trois femmes différentes dans des villes eloignees. Menait-il une triple vie ? La capitaine Katel Marelle va alors mener l'enquête en explorant le passé familial du cadavre. Comme d'habitude, Michel Bussi est très fort et va nous surprendre avec plusieurs twists bien intégrés à l'histoire.
Cela se lit très bien, on a envie de connaitre le fin mot de l'histoire. J'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture de ce roman, j'ai été surprise.
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Dans les Ardennes, la policière Karel Marelle est sollicitée pour enquêter sur la mort de Renaud Duval. Dans la voiture de celui-ci, on retrouve deux autres permis de conduire présentant la même photo que celui du disparu, celui d'un certain Hans Bernard et celui d'un Pierre Rousseau. Renaud Duval aurait-il pris trois identités différentes pour mener une triple vie, lui qui paraissait être un époux sérieux ? L'enquête de la policière la conduit sur les traces de Mina Duval, la mère de Renaud, une marionnettiste d'origine tchécoslovaque qui aurait quitté son pays natal. Les compagnes des trois hommes finissent par se retrouver mais elles sont pourchassées par deux individus mystérieux aux visages brûlés. Qui sont-ils et pourquoi en veulent-ils aux femmes ?

J'ai lu de nombreux romans de Michel Bussi depuis Nymphéas noirs qui m'avait vraiment plu. Certains de ces livres m'ont plus plu que d'autres, Trois vies par semaine fait partie de ceux que j'ai préférés.
J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de suspense dans ce roman, difficile de deviner l'intrigue et l'histoire de la jeune Mina est particulièrement émouvante.
En même temps, on voyage beaucoup avec ce livre, de la Tchécoslovaquie dans les années 60, aux Ardennes, à Paris ou dans le centre de la France.
Il y a trois histoires différentes mais toutes ayant beaucoup d'intérêt et reliés par un même fil conducteur. J'ai trouvé aussi intéressant le thème des marionnettes, de leur histoire ou de leur fabrication, l'idée est originale et c'est un sujet que je ne connaissais pas du tout.
Sans doute parce que ce roman se passe en grande partie dans les Ardennes, il est fait référence à Arthur Rimbaud natif de cette région à chaque grande partie et au cours du roman, ce que j'ai apprécié.
La fin du roman est un peu plus fantaisiste et a suscité des questions en moi mais j'ai néanmoins beaucoup aimé ce roman alors que j'avais moins accroché aux derniers romans de cet auteur.
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Un cadavre retrouvé dans sa voiture au fond d'un gouffre avec trois permis de conduire dans la boite à gants. Trois permis pour toir personnes nées exactement le même jour et dont les photos d'identités sont strictrement identiques.. mais qui sont ils?

Pourquoi cet homme posedait ces trois identités ? Mais aussi pourquoi est-il mort? Etait-il possible pour cet homme de vivre 3 vies différentes ? L'enquêtrice Katel Marel se retrouve en charge de l'enquête va devoir répondre à ces questions pour tenter de démêler cette affaire mais comme on est dans un roman de Michel Bussi, elle n'est pas au bout de ses surprises et la vérité n'est pas forcément celle qu'on pensait être.

Trois vies par semaine marque le grand retour de Michel Bussi en roi du twist et même si on a apprécié ses pas de coté du coté de chez Saint Exupéry ou de la science fiction à tendance apocalyptique , c'est avant tout pour cela qu'on l'aime tant.

Avec son nouveau roman, addictif en diable, Michel Bussi nous emmène dans des secrets profonds et enfouis et accessoirement fait voyager son lecteur dans toute la France.

"Le twist doit être si bien ficelé que le lecteur n'aura qu'une envie lors de sa révélation : tout relire pour comprendre comment il a pu passer à côté des indices semés au fil des pages, et souvent d'ailleurs dès le chapitre inaugural. " nous confiait Michel Bussi l'an dernier quand on l'interrogeait à ce sujet.. quand on lit les dernières pages de trois vies par semaine on peut dire qu'il a bien réussi son coup une fois de plus

Notre auteur normand tire les fils de son récit avec une maestria absolue : une fois de plus, les éléments du puzzle étaient réunis sous nos yeux depuis le début et pourtant on était loin d'avoir réussi à le recomposer avant de le voir écrit noir sur blanc. Chapeau, Monsieur Bussi!

http://www.baz-art.org/archives/2023/06/13/39935122.html
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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♫ Mais trois nuits par semaine, c'est sa peau contre ma peau et je suis avec elle ♪ comme le chantait si bien Indochine. Romantique…

Bon, dans le roman, ça l'est moins puisque l'on suspecte l'homme que l'on vient de retrouver mort avait trois identités différentes… Putain, c'était James Bond ?

Dans ce nouveau roman de Michel Bussi, les lecteurs seront comme les flics : ils se gratteront la tête, tentant de comprendre ce qu'il s'est passé, comment un homme a pu avoir trois identités différentes, mener plusieurs vies, sans que personne s'en rende compte.

Ce nouveau roman est addictif et exécute parfaitement son travail : divertir, apporter du suspense, des mystères, des secrets, faire fumer les neurones, faire courir tous ses personnages (et nous avec) comme des marionnettes, afin de résoudre toutes ses énigmes.

Durant une grande partie de ma lecture, au fur et à mesure que le mystère s'épaississait, je me suis demandée ce que l'auteur nous cachait, ce qu'il avait dissimulé, dans le but de nous surprendre dans son twist final.

Bon, twist il y avait, mais j'ai connu des plus fous dans ses autres romans (et pas qu'à Saint-Tropez). Malgré tout, c'était bien trouvé, mais ça ne m'a pas donné un effet boeuf et si ma mâchoire s'est décrochée à un moment donné, l'explication qui est venue ensuite n'avait rien de "waw" (elle était juste réaliste). J'avouerai tout de même que je n'avais pas trouvé l'explication…

À ce petit bémol s'ajoutera celui des personnages, dont certains sont stéréotypés et absolument pas réalistes, notamment la capitaine de gendarmerie, Katel Marelle (qu'elle est agaçante) et Agnès (le surnom de Nanesse était lourd, à la fin), qui a une manière assez étrange de décrire son mari qui vient de mourir. Irréaliste, presque !

Malgré tout, cette lecture était agréable et véritablement addictive ! Il est difficile de lâcher le roman, qui est très bien agencé, notamment avec ces changements de personnages au fil des chapitres, ce qui nous fait suivre l'histoire à tous les niveaux, tout en faisant monter le suspense et augmenter les mystères.

Les quelques bémols ne pèseront pas lourd dans la balance, surtout que j'avais besoin d'évasion et d'un roman qui me scotche, vu mes quelques déceptions dernièrement.

Une LC réussie, avec Bianca, sans aucun doute, même si, tout comme moi, elle est d'accord sur le fait qu'on a déjà eu beaucoup mieux…

♫ Mais dis-moi tout
Marionnettiste
J'ai des ficelles à mon destin
Tu me fais faire un tour de piste
Mais où je vais, je n'en sais rien ♪ (*)

(*) Marionnettiste de Pierre Bachelet

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Un corps est découvert au bord de la Meuse, près de Charleville-Mézières. Problème : ce mort possède trois identités, bien distinctes, il est né à la même date dans trois lieux différents et a passé sa jeunesse dans trois endroits distincts.
Katel, capitaine de gendarmerie en charge de l'enquête, se casse les dents sur ces faits complètements incohérents.

Ce roman à plusieurs voix de Michel Bussi est passionnant dans sa construction car le recours à plusieurs narrateurs pour faire avancer l'intrigue donne une réelle dynamique au récit. L'intrigue est vraiment bien ficelée et se lit très facilement, sans longueurs.
Petit bémol toutefois pour le dénouement, que j'ai trouvé assez peu crédible et qui ne m'a pas semblé très réussi au regard de l'énigme prometteuse qui nous était proposée.
Pas forcément facile de se renouveler au fil des casse-tête que Michel Bussi affectionne dans ses romans !

Malgré tout, ce roman reste de qualité, j'ai trouvé agréable de me casser la tête sur ce mystère, tout en faisant un tour par Charleville-Mézières (ce qui m'a permis de découvrir le site des Quatre Fils d'Aymon que je ne connaissais pas du tout), mais aussi par le confins des Cévennes (que je connais bien mieux). Rien que pour cela, cette lecture valait la peine !
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« Trois vies par semaine » est le nouveau roman de Michel Bussi. L'année dernière, il m'avait épatée avec son titre « Nouvelle Babel », aujourd'hui paru en poche. « Trois vies par semaine » débute par la découverte d'un cadavre tombé dans un gouffre, « plus profond qu'un immeuble de trois étages ». La capitaine Katel Marelle est dépêchée sur place. Elle ne tarde pas à se rendre compte que ce corps appartient à Renaud Duval, mais, dans la boîte à gants de sa voiture, les autorités trouvent son permis de conduire, ou plutôt ses permis de conduire… Trois pour être exacte. Trois permis au nom de trois conducteurs différents, Renaud Duval, Pierre Rousseau et Hans Bernard. Les photos d'identité sont toutes les trois strictement identiques, les dates de naissance mentionnées sur les documents le 29 janvier 1977 identiques aussi. Seuls les lieux de naissance diffèrent. Renaud est né à Charleville-Mézières, Pierre à Paris, Hans à Mende en Lozère. Cette affaire, qui semblait simple, a priori un suicide, pose question, justement à cause de ces trois identités. La capitaine décide d'aller rencontrer la femme de Renaud Duval, Agnès, dite Nanesse. C'est le début d'une enquête fastidieuse, où chacun cherche à comprendre qui est réellement Renaud Duval, pourquoi il possède trois patronymes, et comment aucune de ses compagnes ne s'est rendu compte du subterfuge…

Qui était Renaud Duval, la victime ? Marié à Agnès Duval durant 28 années, ils ont eu deux enfants ensemble, il était ingénieur pour une grosse entreprise de décolletage qui l'obligeait à s'absenter une semaine par mois.

Qui était Hans, en couple avec Vicky Malzieu, elle-même mère d'une petite Lola, qui est devenue tout naturellement la fille d'adoption de Hans ?

Qui était Pierre auteur de « Nous, pauvres marionnettes », marié à Eléa, atteinte du syndrome d'Asperger qui a pris l'habitude de discuter avec son cerveau qu'elle surnomme « Brain » ?

Et surtout, comment cet homme est-il parvenu à mener une triple vie, sans qu'aucune de ses femmes ne se rende compte de rien ?

Quelques indices sont laissés çà et là par Michel Bussi, notamment par l'intermédiaire de certains personnages. « Il était à l'aise partout, Renaud, c'est pour ça que je l'admirais. Il avait ce don, je ne sais pas comment l'appeler, une faculté d'adaptation, de se fondre dans le décor ambiant, de te répondre exactement ce que tu avais envie d'entendre. Il aurait pu être espion. Il l'était peut-être, d'ailleurs. » Je vous l'accorde, cela nous apprend simplement que Renaud était un caméléon, mais en aucun cas cela n'explique quoi que ce soit. Il faut dire que pour mener trois vies de front, il semble nécessaire d'avoir certaines aptitudes et un sacré sens de l'organisation ! Ce mystère à résoudre n'est pas pour déplaire à la capitaine Katel, qui est certainement mon personnage préféré de ce roman. Dans son genre, elle est unique ! Qu'est-ce qu'elle m'a fait rire ! Elle possède une répartie hors du commun, son humour est décapant et cela faisait bien longtemps que je n'avais pas autant ri en lisant un polar !

Dans « Trois vies par semaine », Michel Bussi nous emmène à nouveau côtoyer le monde de l'art. Cette fois-ci, nous sommes plongés dans l'univers des marionnettes fabriquées, collectionnées, puis parfois utilisées lors de spectacles. En tout cas, ces marionnettes sont présentes absolument partout, dans chaque foyer. Et comme les fils invisibles qui permettent de leur donner vie, l'auteur nous manipule lui aussi. le parallèle fait entre l'homme et la marionnette est d'ailleurs, fort intéressant, et revient de façon récurrente. « Que retient-on de nous, une fois nos vies froissées ? Nous, pauvres, marionnettes. On s'anime un jour, on croit vivre, on croit être libre, on détourne les yeux pour ne pas voir les fils de nylon, le décor de carton, on a si peur que le spectacle s'arrête, que tombe comme un couperet, le rideau du castelet, de ne redevenir que ce qu'on a toujours été : un jouet, ballotté par des forces invisibles, le temps d'une danse dans la lumière, avant d'être à nouveau rangé dans un tiroir, à plat dans le noir. » Parallèlement, et très mystérieusement, chaque grande partie du roman commence par une citation tirée d'un ouvrage d'Arthur Rimbaud. de quoi ajouter un peu plus d'opacité à un contexte déjà bien nébuleux…

Je dois bien avouer que « Trois vies par semaine » m'a donné du fil à retordre. J'ai fait des calculs savants pour tenter de comprendre où était Renaud une semaine sur quatre et comment il avait fait pour contenter les deux autres femmes de sa vie. J'ai imaginé plusieurs scénarios qui se sont tous révélés faux, bien évidemment. À de nombreuses reprises, je me suis dit que Michel Bussi n'arriverait pas à s'en sortir sans tomber dans l'invraisemblance, et qu'il allait forcément se planter…. Que j'allais être déçue, que j'allais être frustrée, que j'allais balancer le bouquin par la fenêtre ! Même lorsque sont apparus des apartés (vous n'aurez aucun mal à les reconnaître dans le roman), j'ai pensé que ces parenthèses permettaient simplement aux lecteurs de découvrir un pan de l'histoire familiale. Et que Michel Bussi ne s'en sortirait pas… J'ai tout imaginé, tout envisagé, tout tourné et retourné dans ma tête, j'ai même pris des notes, fait des schémas, des arbres généalogiques par famille. Et, je n'ai rien vu ! Je me suis pris la révélation finale en pleine face, c'est le cas de le dire. Et je ne sais pas comment expliquer ne pas avoir vu ce twist venir ! Les indices étaient donnés, alors certes, très discrètement, mais quand même !

Comme le dit si bien Eléa : « Les plus grands secrets du monde ne se cachaient-ils pas là ? Dans notre tête ! le seul et dernier coffre-fort véritablement inviolable, dans un monde où tout est filmé, espionné, commenté. »

L'esprit retors de Michel Bussi a encore frappé, et son talent de marionnettiste n'est plus à démontrer.
Lien : https://aude-bouquine.com/20..
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Les nymphéas noirs sont dans mon top 10, mais depuis rien ne m'a attiré chez Michel Bussi. Je fais donc une dernière tentative avec ce roman, plébiscité par les adhérents de la Bibliothèque.

Cela partait pourtant bien et avait tout pour me plaire, mêler la petite histoire à la grande, les légendes à la réalité. Les marionnettes, la Bohême, la Tchécoslovaquie et Prague en 1968, Rimbaud et la poésie. le suspense était bon et me faisait tourner les pages avidement.

J'ai aimé les trois-quarts du livre, mais alors la fin, c'est trop pour moi, je l'ai trouvé totalement incohérente, fourmillant de hasards improbables, de rebondissements hallucinants. Totalement invraisemblable. Je n'y ai pas cru une seule seconde. le livre aurait dû s'arrêter un peu avant.

Je dois être trop cartésienne. Vraiment dommage. Petit aparté, j'ai cru entendre Marleau dans la série du même nom en Katel Marelle.

Bonus : j'ai toujours eu envie d'assister au Festival des Marionnettes à Charleville-Mézières et mon attrait s'en est trouvé encore renforcé.
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