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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Heureuse de retrouver le duo que forme Virginie Sevran et Pierre Biolet dans cette nouvelle enquête sans oublier l'électron libre qu'est le lieutenant Dombard, toujours aussi savoureux. Dans ce roman, on franchit un cap dans l'horreur. Il faut dire que dès que l'on parle d'enfants je suis toujours hameçonnée en plein coeur. Tout débute avec la découverte macabre d'un nouveau propriétaire qui faisant des travaux dans sa nouvelle maison se retrouve face au cadavre d'une fillette emmurée. Les murs de cette ancienne bâtisse n'ont pas finit de délivrer d'autres petites victimes. En se penchant sur le passé des précédents propriétaires on entre dans la maison de l'horreur. Un polar qui reprend le thème des familles d'accueil, des placements d'enfants et des manquements de l'ASE (l'aide sociale à l'enfance) de la maltraitance et de la pédocriminalité. C'est terrifiant de réalisme et peut être pas loin de la réalité des faits divers qui explose au grand jour régulièrement. J'ai dévoré ce roman qui prend aux tripes du lecteur autant que des policiers chargés de l'enquête. En ce sens les personnages sont bien construits et des pans de leur vie privée viennent adoucir la rudesse du récit. Les chapitres nominatifs s'enchaînent avec le point de vue des différents personnages ce qui donne une vision large de l'affaire et m'a permis de commencer à tirer des plans pour tenter de trouver le ou les coupables. Pourtant je suis restée bien en deçà du scénario machiavélique de l'auteure. Au fils des pages on s'enfonce dans la perversité, le nauséabond et on ne peut que ressentir de l'empathie pour les survivants mais c'est sans compter les surprises que révèlent ce roman. J'ai apprécié tout le côté psychologique de l'histoire qui est bien vu et tient la route. C'est dur, cruel et pour tout dire captivant. Bonne lecture.
Lien : http://latelierdelitote.cana..
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🎶 Vous l'entendez cette petite ritournelle 😈 ?

Une chose est sûre, elle ne vous quittera pas si vous ouvrez cette petite dinguerie policière.

🔨Quand Pio Achenza entreprend d'abattre une cloison dans la vieille bâtisse qu'il vient d'acquérir pour une bouchée de pain, il est loin d'imaginer le charnier qu'il va mettre au jour. Ce n'est pas seulement un corps qui sera exhumé des murs de cette masure, mais 3 ! Et comble de l'horreur, les victimes n'avaient même pas 15 ans.
🚨Quand la commandant Virginie Sevran arrive sur les lieux, accompagnée de son binôme et ami Biolet, elle est loin d'imaginer la noirceur que recèle cette maison, ni même les atrocités qui s'y sont déroulées.
Personne n'était préparé à cette enquête et aux secrets qu'elle va révéler ! Ni eux … ni vous !!

❤️Gros coup de coeur pour ce thriller machiavélique ! J'ai vraiment tout aimé :
🔻L'histoire évidemment, qui est d'une richesse incroyable (amateurs d'esprits bien tordus, vous n'allez pas être déçus !)
🔻Les personnages, en particulier cette équipe de flics soudée, Virginie en premier lieu, mais aussi ses coéquipiers que leurs fêlures rendent terriblement attachants.
🔻L'écriture vive et entière de Cécile Cabanac : elle ne fait aucune concession, c'est cash, violent et terriblement addictif.
🔻La construction : là aussi, les chapitres courts qui alternent entre les différents personnages apportent énormément au rythme du roman. Difficile de poser le livre une fois ouvert.

Vous l'aurez compris, sans surprise, je vous recommande ce livre à 200% !

Un grand merci aux éditions Fleuve pour cette découverte diabolique !
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Je valide à 100 pour sang ce roman (ouais je sais, mauvais jeu de mots). Un coup de coeur.
On y retrouve tout ce qui compose un roman noir. Une intrigue digne du genre, des personnages tourmentés, une lecture qui donne des frissons.
Mais c'est sans compter sur le décor des plus flippant, cette maison à l'abandon, au milieu de nul part, "La maison de l'horreur". Et ce qui s'y trouve, ces corps d'enfants, quelle angoisse.
Mais que c'est il passé ?
Dès le début j'ai été emporté par l'enquête. Tout comme les policiers j'étais écoeurée, déroutée, minée mais impossible de lâcher. Jusqu'à la fin j'ai frémi, j'ai même retenu ma respiration.
Un roman brut, à l'écriture nette et franche où les adjectifs sont incisifs.
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Quel bouquin... Mais quel bouquin !!! 😱

Je viens de terminer cette petite pépite, une larme au coin des yeux (ceux qui l'ont lu comprendront 😭).
3e tome avec Sevran et Biolet, la petite ritournelle n'est pas prête de me lâcher... Je l'ai savouré, partagée entre l'envie d'en finir pour avoir le fin mot de l'histoire et l'envie que ça ne se finisse pas.

J'ai le coeur plutôt bien accroché, mais cette histoire d'enfants emmurés... Pfiou.
C'est diablement bien écrit, avec un style qui donne envie d'y revenir sans cesse.
Beaucoup de protagonistes. Tous intéressants, parfois énervants (hein Maria) ou attendrissants (Biolet se découvrant un nouveau rôle). Mais tous ont eu un rôle à part entière qui m'a plu d'une manière ou d'une autre.
Et cerise sur le gâteau (ou saucisse sur la choucroute, c'est comme tu veux !), je n'ai rien vu venir ! C'était trop gros. Tellement que je me suis convaincue que j'avais tort. Et pourtant, j'ai été surprise. Cette fin, je n'étais clairement pas prête 😭
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Qu'y à t il de pire que l'enfer ? Cette maison ...Pio , père de famille de trois enfants et en attente d'un quatrième , a acheté cette maison pour y loger toute sa famille. Lors de travaux et la suppression d'une cloison, il y découvre un cadavre d'enfant . La police prévenue en retrouve deux autres . La PJ de Versailles est sur une affaire atroce , la commandant Sevran va plonger dans l'enfer de Dante avec son équipe. Une petite ritournelle ???
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Un tome 3 qui nous terrifie avec ce thème autour des enfants, leur maltraitance, leurs blessures, leur devenir.
C'est le tome que j'ai préféré avec ce rythme haletant, cette sensation qui vous tord le ventre...pour terminer en larmes (oui, il faut bien le dire).
Le titre parle d'horreur et c'est bien le mot !
Âmes sensibles s'abstenir
Cécile Cabanac, @leslouvesdupolar, saura vous embarquer dans son univers. Cette 1ere série va crescendo donc je vous conseille de débuter par le 1er roman, Des poignards dans les sourires.
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Je ne connaissais pas l'autrice avant d'entendre parler de la sortie de son dernier livre qui me donnait envie. Mais je me suis dit qu'il valait mieux commencer par ses premiers et j'ai profité d'une promo sur Kobo pour découvrir sa "petite ritournelle de l'horreur".

En 3 mots : j'ai adoré ! On est plongés directement dans l'histoire avec la découverte des corps de 3 adolescents dans les murs d'une maison en rénovation. L'équipe de Sevran, une commandante en poste à Versailles, est saisie pour enquêter sur ces morts et elle va petit à petit mettre à jour l'horreur qui s'est déroulée depuis des années dans cette maison des Mesnuls.

L'autrice y met notamment en avant les défaillances du système d'Aide à l'Enfance qui sont souvent et largement dénoncées par les associations et enfants qui y sont passé. Quant à l'enquête, elle est menée tambour battant. le rythme est haletant, on est pris•e par l'histoire sans temps mort et j'ai vraiment eu du mal à poser ce livre (mais pas le choix, il est quand même un peu long !). Les personnages sont hyper attachants (et sans en dire trop, j'ai eu mal au coeur pour l'un d'entre eux à la fin !). Les chapitres se succèdent, racontant tour à tour le point de vue de l'un des personnages, ce qui donne un rythme soutenu et surtout, il n'y a pas de longueur narrative, tous les passages apportent un plus à l'enquête.

Petit plus pour moi, j'ai retrouvé des lieux que je connais bien, l'intrigue se passant à quelques km de mon lieu de travail 😉. Bref, j'ai vraiment adoré cette lecture, Cécile Cabanac rejoint la liste des auteurs et autrices que j'aurai plaisir à suivre !
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La chronique jubilatoire de Dany pour Collectif Polar
Suivez aujourd'hui Cécile Cabanac avec sa petite ritournelle très sordide, dont l'histoire parle à vos tripes, vous ébranle les neurones avec en prime, la question du déterminisme et du déni.
Dans la campagne francilienne, le corps d'une petite fille est retrouvé dissimulé derrière la cloison d'une vieille bâtisse à l'abandon que son nouveau propriétaire tentait d'abattre. En enquêtant, les policiers découvrent deux autres cadavres d'enfants. La commandante Virginie Sevran et son binôme Pierre Biolet mènent une enquête éprouvante qui les confronte à la noirceur de l'âme humaine.
Ma chronique est ci dessous :
https://collectifpolar.wordpress.com/2022/01/15/la-petite-ritournelle-de-lhorreur-de-cecile-cabanac/


Lien : https://collectifpolar.wordp..
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Roman complètement addictif du début à la fin. Beaucoup de personnages mais c'est bien construit. Tout ce que j'attends d'un polar y est réuni : une enquête solide et complexe, des flics humains, des fausses pistes. J'ai eu l'impression de partager le bureau de la police. le final ne démérite pas et n'est pas bâclé. Un gros coup de coeur pour l'auteur. J'espère que l'équipement de policiers reviendra dans une suite.
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Wahou 😮, un livre qui restera dans ma tête un moment, il faut pouvoir le digérer tellement qu'il touche à la réalité. 

On est directement dans "le bain"!, mise en scènes terriblements efficaces.,

Une enquête riche et complexe, une ambiance de lourd secret (une Histoire au malaise constant puisqu'il aborde un crime et la maltraitance d'enfants).

Dans chaque chapitre, un personnage (qui a un lien avec l'enquête) est introduit dans l'intrigue. Efficace, et terriblement originale, on ne peut lâcher l'enquête.

Un choix des mots qui décrit l'état d'âme des personnages  entre secrets et blessures. L'autrice fait transparaître les effets que l'enquête a sur des flic aguerris.

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