« … quelquefois, mon fils, il faut prendre des décisions. Quelquefois, on n’a pas le choix. Ne regarde jamais en arrière, Giobbe, quand tu comprends que c’est le moment de t’en aller. Ta mère, ça lui suffirait pour te ramener au point de départ. Avec moi, elle l’a fait trop souvent. Toi, essaie de ne pas tomber, et
Cette sensation, il la connaissait, il aurait pu déposer le brevet : le manque de bouquins, le souci pour ses bouquins, la pensée obsédante de ses bouquins.
Autrefois, rêver de cet homme de dos, ça me détendait. Plus maintenant. Je sais même pourquoi. Je n’avais jamais passé autant de temps loin de mes…
On ne peut pas vivre en se contentant de jouer des tours à sa mémoire.
On n’a pas gardé les cochons ensemble, même si on est voisins et que je te connais depuis que tu étais haut comme trois pommes.