AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,89

sur 88 notes
5
9 avis
4
28 avis
3
7 avis
2
3 avis
1
0 avis
Voici le premier tome d'une série qui promet d'agréables moments de lecture pour les adolescents, (mais pas que...).
On est à Londres, en 1852, une jeune fille, Katharine, coule une existence morne et sans espoir auprès d'une tante pingre et antipathique, et d'un cousin qui ne pense qu'à manger. Elle occupe ses journées en rendant moult services à sa tutrice, laquelle sait exploiter son statut précaire...
Un jour, affolée à l'idée que l'oncle excentrique dont elle dépend , dilapide l' héritage familial avant que son horrible fils en bénéficie, la tante décide d'envoyer sa nièce, Katharine, sur place , afin de le faire interner et être ainsi à la tête de l'entreprise familiale.
Et Katharine d'arriver dans un monde magique crée par cet oncle , fou mais inventeur génial de parfaits automates ... Un homme-enfant " faisant vivre des centaines de familles dans la plus parfaite harmonie...
Que faire ? Quoi qu'elle choisisse , le sort de Katharine est scellé : elle n'a rien à gagner et rien à perdre, tout juste peut- elle espérer une plus grande liberté., accompagnée d'une grande précarité .. C'est juste sa conscience qui la titille...
Prévenir et abonder dans le sens de sa tante, au risque que des tas de gens se retrouvent à la rue, sans domicile et sans travail ? Ou se taire , faire preuve de générosité et enfin profiter de la vie ?
L'intérêt d'une famille de 2 personnes, égoïstes et vaniteuses ou l'intérêt du plus grand nombre ?
A la fin du roman, on apprend que l'auteur (américaine ), s'est inspirée d'une histoire réelle : le cinquième duc de Portland vivait reclus dans son domaine où ses projets pharaoniques ( usine à gaz, tunnel etc...) ont fait vivre 1600 personnes durant vingt ans... Il a, bien-sûr, dilapidé sa fortune personnelle...
Une histoire, donc ,édifiante, dont Sharon Cameron s'est merveilleusement inspirée. Elle réussit à l'accommoder à sa sauce tout en lui rendant impeccablement hommage. Il y a quelque chose de magique qui ressort de là, un petit côté "Alice au pays des merveilles".
Katharine se promène dans ce manoir, dans ce domaine en ingénue ; comme Alice, elle découvre un autre monde, un peu inquiétant, surprenant .
Elle est la " méchante" qui à tout moment peut détruire ce petit paradis . Elle était " seule" chez sa tante, elle est seule au manoir de Darkwind. A qui peut- elle faire confiance ? Qui lui veut du mal ?
USA Today qualifie ce roman de : "original, romantique et envoûtant" .
Je rajouterais " sautillant, loufoque, et intriguant ".
Une série très agréable à lire ...

Challenge Mauvais Genres.
Commenter  J’apprécie          423
J'ai pu découvrir le tome 1 « La mécanique infernale » de la série « Darkwind » grâce à masse critique,  je remercie donc grandement Babelio et les éditions Bayard pour cette sélection !

Je dois avouer que j'ai eu très peur, au commencement de ma lecture, très peur de ne pas aimer, de ne pas arriver au bout: je n'étais pas dedans et l'atmosphère ne me happait pas. Mais je me suis accrochée, et après avoir passé quelques chapitres et quelques jours à Darkwind auprès de l'héroïne Katharine Tulman, je me suis enfin intéressée au destin des différents personnages, et laissée transporter par l'intrigue.

 Parlons d'ailleurs en premier lieu de cette intrigue, qui est difficile à synthétiser tant elle est riche et pleine de rebondissements ; je trouve effectivement, que pour un livre qui vise un jeune lectorat, l'histoire est assez compliquée, assez mouvementée,  et il n'est pas toujours évident de suivre le rythme – querelle d'héritage, drame familial, espionnage, tragédie, intrigues amoureuses, empoisonnement, jugement, manipulation, meurtres, catastrophe « naturelle », vengeance, secrets, les thèmes abordés sont multiples et on s'y perd facilement si la concentration n'est pas à son maximum du début à la fin. de plus, on pourrait reprocher à l'intrigue de ne pas faire preuve d'une grande originalité, les rouages sont assez classiques et l'issu n'est pas très surprenante, on devine assez vite qui sont les ‘gentils', qui sont les ‘méchants' et qui va triompher. Néanmoins, je trouve que le final, lui, ouvre de nombreuses perspectives et donne la promesse d'aventures trépidantes pour le prochain tome, le tout dans un cadre neuf – ce tome-là prenant place dans le domaine de Darkwind, en Angleterre, il ne m'étonnerait pas que le suivant se déroule dans la capitale française ! 

Concernant les personnages, ils sont pour la plupart attachants, bien décrits, et on prend plaisir à percer leurs mystères, et surtout à les voir évoluer tout au long de leurs péripéties. J'ai surtout eu un faible pour le grand enfant qu'est oncle Tulman – Tuly pour les intimes – et son ingéniosité sans borne,  ainsi que pour la petite Mary Brown, qui apprend le métier de femme de chambre auprès de la narratrice, et qui, ma foi, s'en sort avec brio !

Un mot sur l'écriture de Sharon Cameron qui, avec beaucoup d'humour et de dérision, porte à merveille la voix de son héroïne, rendue ainsi plus sympathique que ne le voudrait son rôle et son rang.

En somme, ce premier tome de « Darkwind » fût une découverte plutôt agréable, mais pas mémorable. Néanmoins, si l'opportunité se présente, je n'hésiterai pas à lire le second tome, ne serait-ce que pour retrouver tous ces personnages qui m'ont bien plu !
Commenter  J’apprécie          300
Avant tout, je tiens à remercier Masse Critique ainsi que les éditions Bayard pour l'envoi de ce livre, qui a été une belle découverte ! Dès la lecture du résumé, et la mention « Jane Austen » au dos de la couverture, j'ai su que ce roman me plairait !

En effet, dès les premières pages, malgré un univers assez particulier, je me suis attachée à l'héroïne de cette histoire, la jeune Katharine Tulman. Sa mission n'étant pas des plus simples et humaines à réaliser, je l'ai trouvé particulièrement courageuse dans sa tâche, ne se laissant pas manipuler par sa tante Alice, et essayant de se forger sa propre opinion sur le comportement de son oncle "Tully". Les autres personnages sont tout aussi intéressants, que ce soit au sein de la demeure de Darkwind ou à Londres et ses environs, ce qui est le cas d'oncle Tully, le "moteur" de cette histoire, mais aussi ses –plus ou moins fidèles- compagnons, Lane Moreau, Mme Jefferies, Davy, Mary Brown ou encore Ben Aldridge. Tante Alice est, pour sa part, insupportable et cupide au point d'utiliser sa nièce comme "témoin" de la folie de M. Tully afin d'hériter du domaine de Darkwind. Enfin, d'autres personnages méritent un véritable éloge, comme Maître Babcock !

Même si ce roman ne fait pas partie de mes préférés, j'ai été emportée par la narration, sans doute parce que l'écriture de l'auteure, Sharon Cameron, est fluide, ce qui fait que Darkwind se lit d'une traite ! Certaines scènes m'ont beaucoup plu, et les évènements se succèdent les uns aux autres, ainsi, il n'y a jamais véritablement de pause dans le récit. Enfin, en tant que grande romantique, j'ai bien évidemment apprécié l'histoire d'amour entre Katharine et l'un des personnages, même si celle-ci est secondaire !

Bref, je conseille Darkwind en lecture estivale, car il possède tous les ingrédients pour se détendre et passer un agréable moment de lecture !

A lire !
Commenter  J’apprécie          290
Par crainte que la fortune familiale soit dilapidée par un oncle excentrique, la perfide Alice Tulman décide d'envoyer sa nièce de 17 ans, Katharine, au manoir de Darkwind afin qu'elle établisse un certificat de démence à l'encontre de son oncle Frederick. A son arrivée, la jeune femme découvre un immense domaine, formé de deux villages vivant en quasi-autarcie, coupés du reste du monde. Perçue comme une intruse, Katharine se heurte à la profonde hostilité des domestiques du manoir qui voient en elle une menace à leur bonheur paisible…

La jeune fille comprend alors que de sa décision dépendent de nombreuses vies. Elle accepte donc de passer un pacte avec les domestiques et ainsi de rester un mois au manoir avant de rendre son verdict. Un mois durant lequel la discrète Katharine va se révéler à elle-même, sortir de l'ombre dans laquelle elle était plongée depuis toujours et découvrir la valeur de l'amitié et de l'amour. Mais une autre menace, encore plus terrible car insoupçonnée, pèse sur le manoir et expose la vie de ses habitants…


Avec son décor du milieu du XIXème siècle, « Darkwind » est un roman adolescent à l'atmosphère sombre et mystérieuse, qui n'est pas sans rappeler celle que l'on trouve dans « Rebecca » de Daphné du Maurier. Malheureusement il n'en a pas le charme ni la subtilité… La tension liée au cadre et aux relations entre les différents personnages intrigue, mais prend beaucoup de temps à se développer, de même que les vraies intentions des différents protagonistes…

Néanmoins, si le roman avait fait cent pages de moins, je crois que mon billet aurait été complètement différent, tant je n'étais pas emballée par l'histoire et par son rythme… Mais voilà, tout s'accélère vers la page 300, les pièces se mettent en place, les rebondissements s'enchaînent et les révélations s'avèrent à la hauteur de l'attente infligée ! Crimes sordides, action, manipulations se succèdent et viennent bouleverser la vie de nos personnages. le roman retrouve alors un nouveau souffle et se révèle difficile à lâcher ! Une intrigue beaucoup plus sombre qu'il n'y paraît au premier abord et qui se révèle être une bonne surprise au final !

Merci beaucoup à Babelio et aux éditions Bayard pour ce partenariat !
Commenter  J’apprécie          270
J'ai découvert ce livre dans le cadre de l'opération Masse Critique de Babelio et je remercie Babelio et l'éditeur Bayard de m'avoir fait découvrir une littérature originale qui n'est pas sans rappeler les "gothic novels" tellement typiques de la littérature anglaise.
Nous voici transportés en plein 19ème siècle, dans la campagne anglaise, dans un manoir battu par les vents, d'où le titre d'ailleurs..
Katherine est une toute jeune fille qui, suite à des revers de fortune et le décès prématuré de son père, est amenée à dépendre financièrement de sa tante Alice, ô combien cupide.
Sur ordre de sa terrible tante, elle doit se rendre au manoir de Darkwind où vit son oncle Tulman. le but de sa mission est de prouver que son oncle a perdu la raison et est en train de dilapider la fortune familiale.
L'accueil sur place sera plus que réservé.
Katherine va découvrir en son oncle une personnalité hors du commun, un inventeur plus qu'original qui crée des jouets étonnants et des automates fascinants.
Il est aussi épris de justice sociale puisqu'il a recueilli, parmi ses employés, des personnes rescapées des terribles "workhouses" où l'on internait les indigents.
Katherine va donc enquêter et s'interroger sur la légitimité de sa mission.
L'héritage familial mérite-t-il que l'on détruise ces projets avant-gardistes mis en place par son oncle?
C'est un récit très original, avec des rebondissements parfois inattendus.
Les personnages sont certes plutôt caricaturaux mais malgré tout attachants.
Le ton est très jeune et fait penser aux récits classiques d'aventures.
C'est un livre qui se lit facilement et qui nous plonge dans l'ambiance de l'Angleterre victorienne rurale.
Commenter  J’apprécie          200
J'ai lu ce livre dans le cadre de l'opération "Masse critique Babelio".
Comme c'est un roman destiné à la jeunesse, je me suis impliquée dans l'histoire en tant qu'adolescente (enfin j'ai fait mon maximum !) afin de rendre ma critique la plus juste possible.
Ma première remarque concerne l'écriture de Sharon Cameron que j'ai trouvée très adaptée au public visé. Les descriptions sont précises mais ne s'étendent pas inutilement. Le rythme est plutôt rapide, les événements s'enchaînent ce qui peut éviter l'ennui des jeunes lecteurs.
Ma seconde remarque porte sur le contenu : on se laisse facilement prendre par l'intrigue et par des personnages très attachants. La chronologie est cohérente et l'illustration des inventions extraordinaires de l'oncle loufoque est assez pertinente.
C'est un livre que je pourrais offrir sans hésiter, plutôt à une fille car ce roman m'a semblé d'une sensibilité plutôt féminine par son cadre et ses protagonistes. C'est romantique, légèrement gothique, un soupçon envoûtant et mystérieux. Il m'est arrivé aussi, au cours de cette lecture, d'avoir une petite pensée pour Jules Verne...
Pour conclure, j'ai trouvé ce livre très sympathique !
Merci une fois encore à BABELIO et aux éditions BAYARD pour cette lecture rafraîchissante !
Lien : http://uneautrelecture.blogs..
Commenter  J’apprécie          170
Une jeune femme issue de bonne famille mais sans le sous, contrainte de vivre sous la coupe d'une tante tyrannique pour un cousin mollasson. Une étrange demeure, un domaine avec un nom vivant en autarcie dans une Angleterre victorienne (?). Des personnages sombres inquiétant, un vieux fous attachant, des jeux bien cachés, le souvenir omniprésent d'une mère.
Ce roman a bien des atouts! Mais pour les découvrir il faut passer au dessus de la lenteur/longueur du début.Cela met du temps à démarrer, même si le personnage de Katharina m'a rapidement plu. Ensuite j'ai été gagnée par l'atmosphère du lieu, pas le caractère ombrageux de ses occupants.
Un bon moment dans une atmosphère bien construite, avec des personnages qui gagnent à être connus.
Commenter  J’apprécie          140
Nous sommes en 1852. Katharine Tulman, 17 ans, vit à Londres chez sa tante Alice, sa tutrice. Tante Alice est veuve de George, frère de Simon, le père de Katharine, lui aussi décédé. Complètement dépendante de sa tante à qui elle sert de comptable, la jeune femme ne rêve que d’indépendance et attend impatiemment sa majorité pour pouvoir toucher sa rente sur la fortune familiale. Hors tante Alice lui apprend qu’elle doit se rendre de toute urgence chez son oncle Tulman, le frère de George et de Simon, car celui-ci dilapide leur fortune commune. Elle doit se rendre auprès de lui, au manoir de Darkwind, examiner ce qui s’y passe, et éventuellement le faire déclarer dément, avant que Robert, son fils et elle-même ne soient complètement ruinés. Inquiète pour son propre avenir, Katharine part pour le manoir, avec la ferme intention de remplir au plus vite sa mission.
Oui mais…Arrivée sur place, Katharine découvre « oncle Tully », un être aussi étrange qu’attachant, et tout son univers construit sur le domaine de Darkwind. Passionné de sciences et de mécanique, il fait vivre tout son domaine, où habitent entre autre 900 personnes, autour d’un atelier de fabrication de jouets. Le personnel du manoir et tous les gens qu’elle rencontre semblent tellement dévoués envers oncle Tully qu’elle accepte de remettre sa décision à plus tard, et décide de rester un mois sur le domaine, ce qui lui donnera le temps de faire connaissance avec les habitants.
La question sera donc désormais : quelle décision prendre ? Faire déclarer oncle Tully dément et anéantir le domaine, ou mentir et le laisser continuer son œuvre ?
Entrer dans l’histoire ne fut pas une évidence dès le départ ; il m’a fallu un bon nombre de pages pour adhérer vraiment. Pourtant l’intrigue est bien menée et l’histoire ne manque pas de rebondissements, mais les ficelles sont grosses et la narration manque de fluidité. Les personnages, eux, sont très attachants, et c’est sans doute pourquoi j’ai fini cette lecture avec un sentiment de sympathie. Et puis, comme pourrait conclure oncle Tully : « Tout est bien comme il faut ! »
Je remercie Babelio et les éditions Bayard pour cet agréable moment de lecture.
Commenter  J’apprécie          142
Angleterre, XIXe siècle.
La fortune familiale des Tulman appartient à un vieil oncle illuminé qui semble dépenser sans compter, ce qui inquiète beaucoup Alice Tulman, la mère de l'héritier en titre. Elle charge alors sa nièce, Katharine, d'aller voir ce qui se passe dans ce mystérieux manoir et surtout d'apporter les preuves de l'irresponsabilité de l'oncle Tulman...

Evidemment, les apparences sont trompeuses, et Katharine va vivre une aventure trépidante et dangereuse dans le domaine de Darkwind.

Ce premier tome des aventures de Katharine est plutôt sympathique : suspense, rebondissements, aventures, mystères, tous les ingrédients sont là pour faire passer un moment agréable au lecteur.. Les personnages sont bien campés, le décor joliment planté.

Une lecture jeunesse divertissante, sans être transcendante.
Merci à Babelio et aux éditions Bayard jeunesse pour cette découverte.

Commenter  J’apprécie          100
Nous sommes dans l'Angleterre du XIXème siècle. Katharine est une jeune fille 17 ans qui vit avec sa tante (sa tutrice) à Londres et qui travaille auprès d'elle en tant que comptable. Un jour, tante Alice lui confie une « mission » : se rendre au manoir de Darkwind, lieu d'habitation de son oncle Tulman, ceci pour attester de la folie de son oncle et donc le faire interner. En effet, selon sa tante, Frederick Tulman a perdu la tête et dilapide tout l'argent de la famille…



C'est un accueil quelque peu étrange que reçoit Katharine, arrivant dans ce manoir sombre et vide à en glacer le sang.

Puis, une étrange découverte va faire son apparition, l'oncle Tully entreprend certes des travaux couteux dans ce domaine, mais ceci pour fabriquer des automates dans son atelier…. C'est un peu comme un grand enfant perdu ans le monde des adultes, ou un adulte plongé en enfance….

A côté de ça, elle rencontre les habitants de ce domaine tels que Madame Jefferies, David (son enfants), Lane, ou encore Ben Aldrigde. de l'amitié et peut-être de l'amour vient se mêler à cela.

Elle se laisse alors trente jours pour réfléchir, rester dans ce manoir, avant de prendre une décision qui pourrait s'avérer terrible…. Attester de la folie de son oncle ? Mais quelles en seraient les conséquences ?



Recherches, questionnement, secrets, trahison …



Au départ, j'ai eu un peu de mal à rentrer dans cet univers, je n'étais pas envoutée par cette lecture. Peut-être à cause de l'aspect « étrange » de Darkwind et de l'accueil qu'a reçu Katharine, je ne sais pas. Mais peu à peu, j'ai pris du plaisir à suivre cette histoire, l'intrigue à commencer à se dévoiler et l'action a donc en quelque sorte vraiment commencé !

J'ai aussi apprécié de personnage de Katharine, une jeune femme qui se développe, qui grandi, qui s'émancipe en quelque sorte...



Au final, ce fut une belle lecture, et j'attends donc le tome 2 !

Lien : http://voldelivre.canalblog...
Commenter  J’apprécie          70




Lecteurs (177) Voir plus



Quiz Voir plus

La cité de l'oubli

Qui est l'héroïne dans cette histoire ?

Nadia
Lydia
Manon

20 questions
10 lecteurs ont répondu
Thème : La cité de l'oubli de Sharon CameronCréer un quiz sur ce livre

{* *}