Ce deuxième tome est dans la même lignée que le premier : je l'ai dévoré tout aussi rapidement.
Ruby commence à se dire qu'il se peut qu'elle soit belle et bien la fille et l'héritière de Lucifer. Tout en essayant de gérer la Bête qui s'est réveillée en elle et qui ne pensent qu'à tuer la Terre entière et copuler avec les 4 frères Dalton, elle doit survivre aux emmerdes colossales que la vie n'arrêtent pas de lui mettre entre les pattes, autant de son ancienne vie humaine et de sa future vie de démone et reine des enfers, enfin ça c'est si elle arrive à survivre. Un vrai bonheur quoi !
Toujours plus de développement des relations entre les personnages, de développement personnel de l'héroïne qui doit surmonter des traumas passés et des épreuves actuelles en plus de l'inconnu qui l'attend, de développement dans l'intrigue avec l'arrivée de nouveaux personnages, de petits moments pour faire chavirer le palpitant (cf une des citations que j'ai posté).
Si vous avez aimez le T1, ne vous posez pas de question et lisez le T2. :)
- Lu en VO -
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"King of Fools, eh?" Moira said as we slid out of our booth.
"Every queen needs a king," Rysten murmured, opening his wallet to lay down a hundred-dollar bill. Moira didn't comment as she stepped ahead, getting ready to wade into the night.
Rysten followed behind and I watched for a moment, smiling to myself.
"Why have one when you can have four?" I whispered, trailing after them.
People always said the road to Hell was paved with good intentions, but no one's intentions are ever actually good. We all are a little selfish. More than a little for most of us. I couldn't trust someone who walks with good intentions, but I could bargain with someone who had honest ones.
I didn't know who I was right now. I was Ruby. I was Lucifer's Daughter. I was a monster. I was... living the best I could in our messed-up world and doing the best I can.
But sometimes, you just gotta let a devil take the wheel.
Some days happiness is not easy; it is a choice. Despite it all— I chose to smile.
You branded me, Ruby Morningstar. There's no getting rid of me now.