une histoire de vengeance
un peu comme marie octobre, pour ceux qui connaissent. après la guerre marie qui faisait partir d , un groupe de résistants réunis les survivants, pour savoir qui a trahi leur chef. la les survivants recherche un
certains Mallory qui les aurait donné sous la torture.
mais deux d, entre eux vont se faire tuer. les trois autres vont faire appel à corridon, lui même agent secret pendant la seconde guerre mondiale.il va accepter de le rechercher,
jusqu'à ile perdu d, Écosse.
un scénario efficace avec un petit suspense qui tient la route jusqu'au final.👍.
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Après 60 pages toujours pas d'intérêt dans cette histoire tarabiscotée et mauvaise tout comme les personnages.
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- c'est d'un meurtre qu'il s,
agit, dit corridon, vous y
avez réfléchi?
- vous n,appeliez pas meurtre, l,exécution de maria Hauptmann et des autres traitres, remarqua
ranleigh.
- tuer un type en temps de guerre et le tuer maintenant, c'est pas pareil. si je tue quelqu'un
aujourd'hui, on m, arrêtera,
on me jugera, on me pendra peux être.
- c'est oui ou c'est non.
- c'est non pour mille livres.
- c'est a dire?...
- vous voulez que je risque ma vie, et personnellement, je trouve qu'elle vaut plus de mille livres.
Il choisissait donc ses victimes avec un soin extrême, s’assurant toujours que l’importance du butin justifiait le risque. Ses doigts étaient d’une dextérité incroyable. Il pouvait voler une montre au poignet de son propriétaire, cueillir un portefeuille protégé par l’épaisseur d’un pardessus et détacher des boutons de manchettes sans que la victime se doutât de son infortune. Escamoter un collier ou une broche, ouvrir un sac à main au bras d’une femme et ramasser l’argent qu’il contenait étaient pour lui jeux d’enfant.
Il y avait chez cette femme une dureté qui excluait définitivement la pitié, l’amour, la bonté et, malgré son corps souple, malgré sa beauté, elle avait quelque chose d’impersonnel. Il n’aurait jamais eu l’idée de lui faire la cour : elle était aussi asexuée qu’un mannequin de cire ; et il se demanda quelle avait été sa vie, quelles expériences l’avaient ainsi modelée.
Et, debout au sommet de l'escalier, serrés les uns contre les autres, ils dégageaient une impression d'unité et de force qui rappela à Ranleigh le temps où ils affrontaient ensemble le danger et se sacrifiaient à la cause commune, face à l'ennemi. En dépit de sa position fausse, Ranleigh éprouva un sentiment d'intense surexcitation et de joie. Il comprit dans un éclair que pour lui, la vie c'était cela !... on vivait l'aventure, au lieu de la découvrir dans les livres. Et il se rendit compte, non sans étonnement, que si c'était à recommencer, il n'hésiterait pas à lier son sort à celui de ces deux étrangers. Sans eux, il aurait mené, à l'heure actuelle, une existence mesquine au fond d'une triste banlieue.
« Tout ici est fait pour abriter l’amour », songeait Corridon cyniquement. Un énorme divan trônait dans la pièce. En face de la porte, se dressait un buffet à cocktails, en acajou massif, bourré de bouteilles et de verres de toutes dimensions, en cristal taillé.
Bande annonce du film Eva (2018), nouvelle adaptation du roman Eva de James Hadley Chase.