La théorie Gaïa

Je ne suis pas loin de lâcher Chattam pour de bon. Encore un roman plus que moyen pour clore ce cycle de l'homme. Cette trilogie est décevante. Où est donc l'auteur qui a écrit "L'âme du mal"? Tout manque d'épaisseur, de substance. Les personnages sont lisses, l'intrigue ennuyante, les dialogues insipides. le thème était intéressant, mais son développement raté. En bref, un mauvais roman de gare.

Je me suis ennuyée ! Je ne suis jamais entrée dans l'histoire car cela reste sans surprise. Pas de rebondissement, pas d'empathie pour les personnages qui restent plat.
Bref, une expérience pas très bonne pour moi que ce Chattam. Dommage...

Pioche d'octobre 2017, choisie par Patience82.

Plus c'est gros, plus ça passe.... Pas tout le temps, car franchement j'ai un peu l'impression que Chattam a fait son Maurice en poussant le bouchon un peu trop loin, histoire totalement improbable et qui clôt de manière poussive la trilogie de l'homme.
Personnages stéréotypés typique "Chattam univers" bobo, trentenaires dynamiques, bien pensants, bien gentils, sans aspérités.
Les rebondissements de rigueur sont présents, le personnage qui sert de twist final également, bref contrat rempli pour un livre calibré qui n'apporte, du coup, aucune émotion.
Pourtant le propos avec l'approche écologique est intéressant et la dénonciation de nos deviances narcissiques pertinentes (surtout si on se rappele que les réseaux sociaux n'existaient pas au moment de la sortie du livre) malheureusement l'intérêt de cet analyse se perd dans tout cet univers estampillé frisson grand public.
Clairement une période de creux dans l'oeuvre de cet auteur que cette trilogie, qui me semble, vouloir trop caresser son lecteur dans le sens du poil, heureusement que Chattam s'est bien repris depuis.

Encore une fois, un avis mitigé. J'aime l'écriture de Maxime Chattam qui m'embarque à chaque fois. J'ai toujours beaucoup de mal à décrocher d'un de ses romans. Ce fut le cas encore une fois. Malgré cela, l'histoire m'a laissé sceptique, certaines ficelles du livre étant un peu trop faciles à mon goût. L'histoire est plaisante, bien construite, avec tout le suspens nécessaire. Pour ceux qui connaissent on y retrouve même un peu de l'ambiance de la série « Lost ». Ce que je n'ai pas trop aimé c'est le ton alarmiste qu'il prend en ce qui concerne l'état de la planète. Certes, la Terre va mal, l'homme l'a trop martyrisée, mais je ne peux ni ne veux croire au tableau qu'il en dresse – l'histoire se situe dans un futur proche mais indéterminé. J'aime quand dans un livre je peux trouver quelque part une note d'espoir, si minime soit-elle. Dans le cas présent je cherche encore. J'attends que Chattam revienne à ce qui m'a fait aimer ses écrits : le vrai thriller, pur et dur, dans le style de la Trilogie du Mal.

Bon, ce livre tient en haleine, c'est sûr. Mais l'écriture... moins trois étoiles ! Des effets de style, juste pour le style. Des personnages tellement clichés, aux réactions on ne peut plus clichées également.
Non, vraiment, si Maxime Chattam sait ficeler une intrigue, il faudrait vraiment que quelqu'un d'autre prenne la plume.

Depuis une dizaine d'années, et grâce au succès phénoménal de sa trilogie du Mal, Maxime Chattam s'est imposé comme l'un des grands noms du thriller français, aux côtés de son meilleur ennemi Franck Thilliez. Avec La Théorie Gaïa, c'est désormais sur son propre terrain que Chattam tente de battre ce dernier, avec un thriller scientifique aux accents futuristes, ambiance théorie du complot et société victime de ses propres dérives.

D'emblée, l'intrigue apparaît un peu déséquilibrée, avec cette alternance régulière de chapitres consacrés les uns à Peter sur le Pic du Midi, les autres à Emma sur Fatu Hiva : la tension narrative, à son comble dans les parties consacrées à cette dernière, retombe lorsqu'on retrouve Peter dans son laboratoire des Pyrénées, où le suspense monte beaucoup plus lentement. C'est dommage, car certains passages montrent un véritable talent pour l'épouvante et le survival, à tel point qu'il est parfois difficile de trouver le sommeil par la suite...

L'écriture est toujours aussi simple et efficace, et l'auteur est le maître des retournements de situation, ce qui fait de la Théorie Gaïa un redoutable page-turner, même s'il reste globalement bien en-dessous de Maléfices, par exemple.

En ce qui concerne les personnages, ils sont plutôt intéressants dans l'ensemble, et les héros se montrent assez attachants, même si le côté "Wonder Woman" d'Emma, dans les derniers chapitres, se révèle lassant et peu crédible. Mais les personnages secondaires, pour la plupart, ne sont qu'ébauchés, puisque Chattam se concentre avant tout sur l'action, et certains sont franchement stéréotypés, amenant des rebondissements hyper prévisibles et dignes d'un mauvais James Bond, avec trahisons convenues et coups de théâtre en cascade.

Et si l'idée à l'origine du roman est intéressante et plutôt bien exploitée, il faut bien avouer que, malheureusement, le dénouement est fort décevant, attendu, tiré par les cheveux, et sans finesse. Chattam nous avait habitués à bien mieux, et l'on espère qu'il ne s'agit là que d'une légère baisse de régime.
Lien : http://ars-legendi.over-blog..

Désolé, pour moi surtout je n'accroche pas du tout avec le style de cet auteur.

Un peu déçu par ce thriller post-apocalypto-évolutionniste. Il laisse peu de place à l'imagination tant les références à la biologie évolutionnaire sont nombreuses. La théorie Gaïa soutient que l'homme, à travers une mutation génétique, devient ultra violent et retrouve ses instinct les plus bas mettant au péril sa survie.
J'ai pas trop accroché, dommage.

J'ai apprécié ce moment de lecture proposé par maxime Chattam, le contexte en 2019 est toujours d'actualité car dans notre monde il ya de plus en plus de catastrophes naturelles. Cependant j'ai eu du mal à me plonger dans l'histoire je me suis pas lié avec les personnages de ce roman. Maxime Chattam ne me déçois jamais quand il nous livre des mots sur un papier.

Bien ficelé, original, addictif. Comme on aime.