Prédateurs

Bizarrement j'adore Maxime Chattam, mais là... J'ai eu du mal.
Une guerre non nommée ( mais qui ressemble à une bien connue, entre l'attente en mer, le débarquement, la libération...) sert de toile de fond à ce thriller...

Enfin j'ai trouvé le côté thriller un peu faible, d'où la note, on dira bien mais pas top.

J'ai trouvé le coupable dès la première fois où on en entend parler, et le fond de la sous-intrigue sur le passé du lieutenant m'a sauté au visage dès qu'il a été évoqué en début de livre.

Le seul point positif se trouve dans la mise en scène des meurtres.


J'ai écouté cet ouvrage en livre audio et je vais faire une petite note supplémentaire à ce propos...

Les effets audio à deux balles avec une réverb mal calibrée pour faire croire qu'on parle dans une cave, les musiques insupportables avec 50000 coups de cymbales qui sont tellement mal mixées que ça couvre ce que disent les lecteurs....
Et sans compter l'abominable remix de la sonnerie aux morts à la guitare électrique sur une rythmique digne des films érotiques de M6.

La qualité des lecteurs est plutôt moyenne...
Je pense notamment à un personnage qui a une certaine voix une fois où on le rencontre et qui a la voix de Monsieur Burns des Simpson quand on le rencontre plus tard...

Que de maladresses.

Si je tenais seulement compte de cette version audio..... Je ne mettrai qu'une demi étoile, mais j'essaie de prendre du recul et de me dire que l'histoire était quand même plutôt bien.... Mais pas top.

Je n'ai pas encore eu la chance de tous les lire, mais pour moi le moins bon Chattam parmis la dizaine que j'ai dévoré.

Ca reste un bon roman, bien sur. La noiceur des Chattam se retrouve des les premieres pages. Mais au dela de la noirceur des meutres, le coté atypique des personnages est trop poussé. L'enigme avance trop peu et certains passages sont beaucoup trop longs, d autres un peu baclés. On n'est pas non plus vraiment surpris, ni tenu en haleine.

Un peu long

Le talent de M. Chattam pour décrire la noirceur des meurtres, de la guerre... il y a des rebondissements, des fausses pistes mais il y a aussi des lenteurs qui cassent le rythme. un bon thriller, un bon chattam mais à mon sens pas le meilleur

Ce roman expose la traque d'un serial killer au millieu d'une guerre sans nom. Il fait partie du cycle de l'homme et de la vérité avec les Arcanes du Chaos et la Théorie Gaïa. Ce cycle nous plonge dans ce que l'homme a de plus sombre.
Pour le roman Prédateurs l'auteur s'intéresse à l'essence du crime. Il s'attache au côté psychologique des assassins. j'ai énormément apprécié ce côté profilage et étude psychologique. Cependant, le reste du roman évoluant autour de la guerre ne m'a pas autant captivé, sans doute parce que je ne suis pas habituée à ce type de lecture et que je n'ai aucune connaissance militaire.
J'ai été surprise par la description des scènes de crimes. Ce dernières étaient très précises et plutôt sanglantes, sordides, cruelles. Ce qui amène à un résultat assez gore et nous restitue une image assez précise des crimes. Peut-être trop! Il faut avoir l'estomac bien accroché! J'ai tout de même trouvé que c'est ce qui rendait le livre et l'enquête intéressante. en effet, on est amené à se demander quel genre de personne est capable de faire subir des horreurs pareils à d'autres êtres humains et pourquoi?
En conclusion, j'ai apprécié la lecture du livre mais ma préférence pour le moment reste pour les Arcanes du Chaos.

L'auteur décrit son livre comme l'intrigue de Seven dans le contexte de Il faut sauver le soldat Ryan. Et voilà, le ton est donné. Au milieu de soldats livrant une guerre dont on ne connaît ni l'époque, ni les camps qui s'afrontent, ni les raisons, un tueur vient semer le chaos en commettant des crimes d'une atrocité horrible. Encore une fois, Maxime Chattam prouve avec brio qu'ils maîtrise son terrain en pondant des scènes sanglantes et violentes qui font frémir et vous laissent vaguement nauséeux. Derrière l'intrigue, c'est une réflexion sur la guerre et sur la nature humain, thèmes favoris à l'auteur. La fin est moins spectaculaire que les autres romans de l'écrvain mais le récit est d'une imparable efficacité.

J'ai préféré le précédent Chattam mais uniquement au vu du lieu du déroulement de l'intrigue. Elle se passe en pleine guerre et de ce fait, je me suis un peu ennuyée sur les descriptifs des scènes de batailles... peut-être est-ce dû à mon esprit féminin... Cela étant dit, l'intrigue en elle-même est très bien menée et on ne s'attend pas du tout du tout du tout à ce que le meurtrier... ou la meurtrière... ou à moins que ce soit bien un meurtrier... ou bien une meurtrière.... enfin... le ou la coupable soit celui-la.. ou celle-ci... Bref, je vous laisse le découvrir si vous aimez les bonnes intrigues
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Moins emballé par ce Chattam même si ça reste un bon livre.

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Etant un lecteur assidu de Maxime Chattam, j'ai été un peu déçu par cet énième plongée dans la brutalité de l'homme. Cette fois ci nous embarquons dans une guerre sans nom, sans date, sans visage. C'est la police des moeurs avec un charismatique lieutenant qui doivent élucider des meurtres plus sanglants les uns que les autres. L'oeuvre d'un habile névrosé sévissant au sein même de l'armée. Un tueur dans un contexte de tuerie.
Je me place sur l'exigence que je voue à l'auteur. J'ai trouvé l'histoire trop étirée, une mécanique trop bien huilée pour surprendre alors on tente de faire dans l'horreur avec des scènes terribles, gênantes même (la maison et le puits..)
Le dénouement également qui souffre de trop de rebondissement alors oui pendant un moment on ressent la tension , mais qui est ce fou psychopathe? lui , lui ou ah ça y est lui, ah non? ah quand même pas lui? et forcément quand les noeuds se défont on se dit que ce n'est pas une bonne idée d'en abuser, c'est trop déroutant.
Pas assez d'histoire de fond alors on joue sur les personnages principaux avec des fêlures, torturés.. cela à fini par me lasser malgré une plume qui, je pense, sauvera toujours ce talentueux auteur

Lu une série de titres de cet auteur, et suis assez déçu : répétitif et ultra violent, en résumé. Avec une trame toujours identique : un héros et une héroïne, des rebondissements de type deus ex machina pour sauver la mise au héros.
Ce qui peut sembler intéressant la première fois, la théorie de la violence, est en fait assez didactique. Dommage, j'aime bien les grandes séries de policiers/thrillers.