Que ta volonté soit faite

J'aime beaucoup les livres de Maxime Chattam. Ce qui est le plus intéressant avec lui, c'est qu'il explore différents univers et façons d'écrire. Des fois ça fonctionne pour moi, des fois non ! Que ta volonté soit faite n'a pas réussi à m'intéresser même si je loue l'idée de l'auteur et son hommage aux romans noirs américains. Clairement, j'ai eu beaucoup de mal à aller jusqu'au bout de cette lecture, je n'ai pas accroché aux personnages et forcément, c'est difficile de continuer un livre dans lequel on ne se sent pas à l'aise.

J'adore Maxime Chattam mais celui-ci est celui avec lequel j'ai le moins bien accroché.
L'histoire est assez singulière. Ce personnage, on va le détester, vraiment. Il incarne tour ce qu'il y a de plus mauvais chez l'être humain. Donc oui, vous allez le détester.
Au point de vouloir sa mort ?

Je suis passée à côté: version audio...le soir dans le noir et...je me suis endormie. Révoltée dès le début par le meurtre du chien, puis plus tard par la tentative de viol, je n'ai pas accroché; j'ai raté la fin dont on parle plutôt en bien.
Le psychopathe cruel n'a pas vraiment retenu mon attention.
A réécouter? Bôf.

Un livre pas inintéressant à lire, les recettes du bon polar y sont : Un serial dérangé des victimes, une enquête policière... mais personnellement ça s'arrête là ! L'histoire et la fin ne sont pas assez abouties, beaucoup de choses sont commencées mais aucune n'est aboutie...

Je n'avais encore jamais lu Maxime Chattam et je n'ai pas été déçue !!
La cruauté, l'infâme et la montée en puissance du personnage ne laisse pas de répits. On à l'impression d'être dans un coin du décor et on se sent oppresser, sans pouvoir intervenir
Je l'ai lu d'une traite ne pouvant m'arrêter avant de savoir ...
Plus jamais je ne cueillerais de coquelicot qui pour moi resterons associé à Jon Petterson bien après avoir refermé la dernière page !

Maxime Chattam sait manier avec adresse ses histoires cinglantes et personnages horrifiques; entre suspense et horreur, on suit dans Que ta volonté soit faite le diabolique Jon Peterson et l'évolution de sa noirceur cruelle et sa violence inné. Mais si je suis normalement une grande adepte des écrits de Maxime Chattam, je dois admettre que j'ai moins accroché à la fin de ce récit qui m'a laissée plutôt pantois. Certaines parties de l'histoire restent ainsi inexpliquées ce qui pourrait passé pour un choix narratif mais qui pour moi se ressent davantage comme une facilité d'écriture.

Oui, bon... Ça commence fort, très fort, même très très très fort et puis finalement , comme avec tous les titres de la deuxième vague de Chattam, ça s'essouffle assez vite.

Pour être honnête je crois aussi que j'en attends toujours trop de cet auteur, que j'aimais tant à ses débuts, et que cette attente très forte facilite la déception. 

Finalement même si ça reste une bonne lecture, avec une plume très agréable, il n'y a trop rien de novateur sur l'intrigue en elle même, ni dans les personnages et finalement on voit vite la fin arriver (avec lui c'est un peu trop attendu ou trop farfelu, j'ai du mal à trouver un juste milieu qui me ravisse).

C'était une lecture agréable, notamment la première partie qui m'a vraiment plu, mais avec ce livre j'enterre définitivement le culte que j'avais pu porter à l'auteur. Que ta volonté soit faite sera mon dernier de lui, je les ai donc tous lus et je ne chercherai pas à découvrir les nouveaux ;)

Je n ai pas adhérer à ce roman, certes bien écrit, qui se lit bien mais assez long à ce mettre en place.. et puis il n'y a pas vraiment de twist, la fin étant largement prévisible au 2/3 du livre!

Ce thriller commence bien, on y retrouve la patte Chattam. du glauque, du malaise, du dérangeant, la psychologie du méchant bien cernée, des allers retours dans le temps pour éviter les longueurs, des décors et personnages stressants ainsi que d'autres attachants... Tout y était ou presque. Alors pourquoi seulement trois étoiles ? Pour la fin. J'ai détesté. Il fallait oser. Mais c'était une erreur à mon sens. Je vais éviter d'en dire trop mais j'ai trouvé ça facile, bâclé. Bien que le titre trouve tout son sens avec ce final, ça casse complètement l'ambiance, le travail de l'auteur et l'implication du lecteur dans l'histoire jusque là. Dommage car c'aurait pu être un (presque) retour aux sources sans cet élément.

Carson Mills dans le Middle West et ses champs de coquelicots.
La bourgade abrite Jon Petersen, craint de tous, pervers brutal, violeur, tyran domestique... "un ogre d'enfant".

S'il n'a pas d'excuse, il a au moins des circonstances atténuantes. Né au milieu d'une fusillade entre méthodistes et luthériens, il ne connaîtra aucun de ses deux parents, tous deux décédés.

Élevé par son grand-père, un personnage rude et peu bavard, Jon grandira sans véritable ami.

Alors qu'il atteint ses 15 ans, une série d'événements se déroule à Carson Mills : viols de jeunes filles, décès de la bibliothécaire, disparitions d'animaux domestiques.

Sans être inquiété d'avantage, il quittera la ville mais y reviendra avec femme et enfant, des années plus tard, après des déboires professionnels et personnels.

Le shérif Jarvis Jefferson pourra-t-il confondre Jon cette fois-ci ?

A mon avis :
Pour nous guider jusqu'à la dernière page de ce livre, Maxime Chattam nous fait découvrir sur une trentaine d'années, un personnage particulièrement retord, auquel on a du mal à s'attacher.
C'est aussi le but recherché, car ce Jon Petersen est bien un monstre.

Mais contrairement à d'autres livres du même auteur, on ne rentre cette fois pas dans le détail des horreurs commises par ce personnage.
De fait, cela dilue l'animosité que l'on pourrait ressentir pour Jon, et on a régulièrement l'impression que le soufflet monte, monte, monte... et puis tombe en nous laissant sur notre faim.
Non pas que l'on fasse du voyeurisme, mais tout de même, nous amener au bord de l'horreur et nous laisser en plan c'est frustrant.

Le gros point noir de ce livre, c'est aussi sa conclusion.

Certes elle est tout à fait surprenante et originale, mais cette originalité ne m'a pas emballé et a fait tomber le soufflet une fois de plus... une fois de trop sans doute.

Même si l'écriture de Maxime Chattam reste très agréable et que la lecture de ce thriller, plutôt un roman noir comme le dit l'auteur lui-même, est aisée, il ne restera pas pour moi dans les annales des romans du genre.

Ainsi soit-il.

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