AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,67

sur 47 notes
5
8 avis
4
13 avis
3
8 avis
2
3 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Merci à Babélio et aux éditions Phébus qui m'ont permis de découvrir Christian Chavassieux dans le cadre de cette Masse Critique.

1777-1794

Marie-Antoinette, mariée depuis sept ans au roi Louis XVI se languit d'enfant. Elle en adopte plusieurs qu'elle mignote avec amour. Elle leur donne un nouveau prénom, des vêtements princiers, une éducation de choix et des manières de cour. C'est ce qui arrive à un petit garçon de cinq ans, orphelin, qui devient la coqueluche des proches de la reine tant son visage aux commissures relevées semble constamment sourire. La reine l'appelle Martin Sourire. Adoration de part et d'autre. de courte durée pour Martin car en 1778, la reine devient mère et elle confie Martin à une domestique sans plus trop se soucier de lui. de main en main, le garçonnet finit vacher dans le ravissant hameau rousseauiste que Marie-Antoinette fait construire à deux pas du petit Trianon.

Lorsque la famille royale est emmenée à Paris en 1789, Martin la suit mais dans une autre direction. Il trouve un emploi dans le plus grand restaurant de l'époque, le Beauvilliers, et fait connaissance avec le peuple, brutal, miséreux et grondant, que la prise de la Bastille a conforté dans ses revendications. Plus tard, Martin devient l'homme de confiance de l'architecte Etienne-Louis Boullée. En 1790, empli de l'idéologie révolutionnaire, il entre dans la Garde nationale, puis devient volontaire et participe à la guerre de Vendée. Dans les rangs des colonnes infernales, le sang appelle le sang et l'idéalisme se transforme en assassinats répétés. Son retour au foyer sera compliqué.

Pas d'intrigues, pas de héros, pas d'identification. le personnage principal a été glissé dans cette partie de l'histoire de France pour permettre à l'auteur de s'épancher sur certains épisodes et personnages moins connus de cette époque troublée. L'idée est sympathique et plaide en faveur d'une recherche documentaire approfondie au détriment du roman.

La construction du hameau de la reine et l'ambiance active qui règne dans ce village miniature n'ont plus de secret pour le lecteur. La vie dans les cuisines du Beauvilliers fait immanquablement penser au Ratatouille de Pixar, tandis que l'oeuvre visionnaire et fascinante de l'architecte Boullée se lit passionnément à travers ses projets et dessins soigneusement conservés aujourd'hui à la Bibliothèque nationale. le chapitre consacré à l'action sanglante des colonnes infernales du général Huché à La Gaubretière, les paragraphes relatifs aux protagonistes de la Terreur ainsi que les pages commentant les supplices librement consentis des convulsionnaires, mettent du piment dans cette lecture agréable qui, faute de consistance dans les caractères des personnages, ne laissera cependant pas de souvenir durable.

Puisque Martin est un enfant volé, il semblerait logique qu'il cherche à retrouver ses origines, ses frères et soeurs mais il se contente d'une consultation chez un tarologue véreux. Dommage.

L'écriture est extrêmement soignée et renforcée par l'utilisation de vocabulaire de l'époque. Mention spéciale pour les annexes fort intéressantes qui témoignent de cet esprit de recherche et d'analyse de l'auteur : une chronologie simple mais efficace, un glossaire des mots anciens, une biographie significative de tous les personnages mis en scène et, surtout, une bibliographie annotée et commentée que, pour ma part, je ne me souviens pas avoir vue chez un autre auteur.

Nul doute que je me donnerai une autre chance de mieux connaître Christian Chavassieux.

2,5/5
Commenter  J’apprécie          494
Une belle découverte...

Bien entendu, pour commencer, je remercie Babelio et les éditions Phébus (le format et la mise en plage sont très agréables à la lecture) pour cette découverte dans le cadre de l'opération Masse Critique.

C'est là ma 1ère participation à une opération Masse Critique, et J'ai débuté la lecture de ce roman avec un a priori : celui de devoir fournir une critique juste et responsable d'un auteur a priori peu connu. Je savais seulement qu'il s'agissant d'un roman historique sous la révolution française, et d'un roman d'apprentissage autour de Martin, garçon étrange (voir 4ème de couverture).
Là était bien sûr l'intention première de l'auteur, je suppose, mais j'y ai trouvé bien plus, qui justifie une note, pour moi, plus qu'honorable, et de conseiller la lecture de cet ouvrage.

Ma critique sera, de prime abord, sévère en ce qui concerne le procédé narratif : classique, et efficace, tout au plus.
C'est à dire que, sur 340 pages, la "vie volée" de Martin prend progressivement corps, se construit, s'étoffe, assez lentement, en trois parties chronologiques bien nettes, une quasi unicité de temps, de lieu, d'action : du théâtre classique en somme.
Les dialogues, assez rares, alternent avec des descriptions qui, au début, m'ont semblé fastidieuses, et la petite histoire de Martin, progressivement, se mêle à la Grande Histoire qui se déroule sous ses yeux. Christian Chavassieux en profite alors pour développer de longues anecdotes sur Versailles, Paris, puis les guerres de Vendée. On a alors le sentiment que la "petite histoire" de Martin n'avance pas, et ne sert que de prétexte à un travail d'érudition sur cette époque. le rythme ne semble s'accélérer, et raviver un peu de suspens, dans les 2ème et 3ème parties, que parce que Martin, poussé par sa Marianne, s'en mêle de plus en plus.
Ce parti pris de l'auteur "refroidit" au début, et rend aussi les personnages un peu froids : ils semblent distants, simples observateurs des événements qu'ils traversent.
La langue assez précieuse, peu spontanée, adoptée dans la 1ère partie, participe aussi de cette prise de distance, qui n'aide pas à rentrer dans le roman...

Et pourtant... il m'aura fallu dépasser les 110 premières pages pour réaliser que tout cela est savamment calculé (ce que confirme la lecture des notes en fin de volume) et fait -aussi- toute l'originalité de ce roman !
Ainsi, le Martin mutique, qu'on pourrait croire autiste dans la 1ère partie, et qui me faisait penser au Grenouille de Suskind, se révèle un formidable témoin de son temps, sur lequel chaque événement s'imprègne comme sur une page blanche : ce Martin n'a pas de passé -ou si peu-, et est -presque-vierge, lorsqu'il "naît" à la fin du 1er chapitre en quittant son jardin. Nul autre que lui, symboliquement, n'aurait pu former si beau couple complémentaire avec la Marianne parisienne de la seconde partie, qui l'accompagne dans son apprentissage citoyen, avant de participer activement à la grande sauvagerie des guerres vendéennes.
De même, les ruptures de langage, travaillées et voulues par Christian Chavassieux, se révèlent être un excellent vecteur pour nous immerger -comme il s'immerge visiblement lui-même- dans ces 3 environnements successifs : Versailles, le Paris de 1790, la Vendée. On passe de Sade ou Cazotte à Léo Malet en passant par Balzac. On apprend moult vocabulaire mais il ne s'agit pas, comme on pourrait le penser de premier abord, d'un étalage de l'auteur, mais d'un vrai enrichissement de l'ouvrage.
On sent également que l'auteur aime les mots, partant parfois dans des diatribes qui font peu avancer l'histoire mais sont belles et poétiques en elles-mêmes.
Enfin, la lecture (aussi passionnante que le roman lui-même) des annexes finira de convaincre le lecteur que, finalement, derrière le sourire figé de Martin, et la distance prise par rapport à des personnages -réels ou pas- et des événements -petits ou grands, mais souvent richement documentés- , l'effacement relatif du scénario, Christian Chavassieux donne au lecteur une place plus grande, une confrontation plus directe avec l'événement historique. Nos consciences du XXIème siècle se trouvent transportées, par ces véhicules sensibles que sont les personnages, dans un siècle qui s'osait politique, et interrogea avec force la citoyenneté, le vivre ensemble, la liberté d'expression, dans les actes et pas seulement dans les mots... en est-on encore capable aujourd'hui, avec autant de force et de candeur ?...

En conclusion, donc, une belle découverte : un roman qu'il ne faut pas lire comme simple fiction dans un cadre convenu, mais au contraire comme mettant en vedette, avec force détails et par tous les sens, par nombre d'astuces qui embellissent le récit, trois environnements, et une page de notre Histoire.
Commenter  J’apprécie          200
Découverte de l'écrivain Christian Chavassieux avec ce livre fort documenté sur un sujet qui est peu diffusé: l'adoption par la reine Marie Antoinette de plusieurs enfants. le terme d'adoption est un peu excessif car les enfants n'ont pas été appelés Capet mais ils ont soit conservé leur nom lorsqu'il était connu, soit ils ont reçu un autre nom selon la fantaisie de la reine. Ce sont des enfants qui sont devenus des "protégés" de la reine et qui ont eu accès à son entourage intime et au même traitement que les enfants royaux, l'affection profonde en moins peut-être.
Le premier enfant "protégé" par la reine fut François-Michel Gagné vers 1776, qu'elle prénomma Armand, tout comme le fils ainé de sa meilleure amie, la princesse de Polignac.
J'ai l'impression que l'écrivain Chavassieux s'est inspiré beaucoup d'Armand Gagné pour nous servir le personnage de Martin Sourire. Et c'est très bien ainsi puisque l'on sait beaucoup de choses sur cet Armand Gagné.L'affaire gagne en crédibilité.
Armand Sourire, le personnage fictif du roman était un joli poupon blond de 5 ans lorsque Marie Antoinette l'a pris avec elle. Il n'avait pas de nom et elle lui donna celui de Sourire car cet enfant était mutique et arborait en permanence un rictus apparenté à un sourire qui ne laissait pas apparaitre ses états d'âme. Mais c'était un enfant qui comprenait tout en dehors du fait qu'il ne s'exprimait pas.
Lorsque la Révolution Française chassa les souverains de Versailles, Martin Sourire avait depuis longtemps décidé de quitter Versailles et de se mêler à la foule de Paris.
Il est donc parti à pied un jour avec son balluchon et a exercé de petits métiers jusqu'à ce qu'il accède, par recommandation, à une place d'homme à tout faire auprès d'un architecte renommé. Cette situation stable lui permit de se marier, de fonder une famille et de s'instruire.
Très bizarrement Martin Sourire s'est enrôlé dans la garde nationale puis est devenu un sans -culotte effréné. Son ancien "frère" Armand deviendra (ceci est documenté) le "terroriste le plus sanguinaire de Versailles", c'est ainsi qu'il figure sur les documents de l'époque.
Etrange revirement de la part des "protégés" de la reine qui ne reçurent que des bienfaits matériels et spirituels de la part de la souveraine. Ils n'ont pas pu se soustraire à une espèce de revanche amplifiée par leur mal inné .
J'ai bien aimé la première partie du livre, fort bien documentée, employant un style désuet et très XVIIIè avec des mots du temps jadis, mais pas trop, ce qui rendait la lecture charmante. On apprend beaucoup de choses sur la vie courante à cette époque.
Puis, il a fallu aborder le tournage que prenait la vie de Martin Sourire avec son engagement total dans la guerre de Vendée, décrite sous la forme de monologue intérieur (le personnage est toujours mutique) avec un descriptif à vous dresser les cheveux sur la tête et à se demander jusqu'où irait la malveillance et la cruauté de Martin Sourire.
Lecture mitigée mais pas inintéressante du tout. Avec les remerciements chaleureux pour les Editions Phébus et pour Babelio dans le cadre de Masse Critique.
Lien : https://pasiondelalectura.wo..
Commenter  J’apprécie          50
Mes impressions concernant ce Martin Sourire restent on ne peut plus mitigées.

Je regrette principalement le peu d'action et le manque de charisme du héros, qui se laisse balloter par les évènements pendant une bonne partie de sa vie.
Après une enfance à Versailles, d'abord auprès des domestiques, puis dans une ferme utopique créée pour la Reine, il se lance à Paris suite au « déménagement » des souverains aux Tuileries. Il découvre alors un tout autre monde, de misère et de survie, et des idées politiques surgissent. Il mène une vie assez tranquille, jusqu'à la Terreur… et la troisième partie du roman est définitivement plus brutale que les autres. le changement est violent, mais bienvenu tant le reste du livre est plan-plan.

Historiquement parlant, c'est très intéressant. Certains chapitres décrivent très bien les moeurs des Parisiens de tous niveaux sociaux dans les années prérévolutionnaires, d'autres sont très précis en ce qui concerne des évènements que l'Histoire a un peu moins retenus que d'autres.
J'ai vraiment eu l'impression de vivre cette période révolutionnaire de l'intérieur, loin des grands hommes.
Les explications données par l'auteur dans les annexes donnent un éclairage intéressant au livre, c'est une excellente idée qui devrait se faire moins rare !

Le style de l'auteur est sans défaut. Fluide, mais au lexique riche et précis, c'est sans conteste un autre point fort du livre !

Non, décidément, seul le manque d'action est à regretter dans ce livre. Cela aurait peut-être semblé irréaliste, mais Martin aurait aussi pu essayer un peu plus activement de retrouver sa famille. Finalement, on ne voit pas très bien ce qu'ajoute à l'histoire le fait qu'il ait été « volé » par Marie-Antoinette… à part nous faire approcher les souverains de plus près, certes.
Commenter  J’apprécie          30
Ce livre me tentait beaucoup de par le fait de ne pas savoir que Marie-Antoinette avait adopté des enfants. Autant j'ai apprécié l'enfance de Martin une fois adopté autant la troisième partie ne m'a pas convaincue au point de ne pas arriver à terminer ce récit. Lecture inachevée et donc mitigée pour moi. Je remercie Babelio et les éditions J'ai Lu de m'avoir permis de découvrir un pan de cette histoire méconnue à travers la Masse-Critique de septembre.

Sur un caprice, Marie-Antoinette adopte celui que l'on appellera Martin Sourire le sauvant de la misère. Sept ans que les rumeurs vont bon train sur celle qui n'a pas encore enfanté. Son désir d'enfant est tel qu'elle en adopte et Martin est l'un d'eux, vite oublié par l'envie de la reine qui se lasse vite d'où une jalousie féroce pour rester dans ses bonnes grâces. 

Enceinte, la reine délaisse Martin pour s'occuper de son enfant à naître. Trimballé de main en main, Martin devient de plus en plus sauvage et assiste à la mort par pendaison d'un père braconnier et ce devant son fils.

Devenue vacher du hameau de la reine, Martin mène une vie paisible et routinière. L'hiver 1788 hantera longtemps les mémoires, le froid touche tout le monde sans distinction, augmentant le nombre d'indigents, le pain vient à manquer, les émeutes sont de plus en plus nombreuses jusqu'à ce jour où le couple royal et leurs enfants sont arrêtés et emprisonnés. L'occasion pour Martin de reprendre sa liberté et de voir au-delà des murs de Versailles. 

Paris et sa Révolution, ses crève-la-faim, la misère de tout un peuple voilà ce qui attend Martin même s'il travaille pour un grand restaurant. Amoureux de Marianne, vendeuse de café dans la rue, Martin se pose des questions sur sa vie auprès de la reine, sur ce qu'elle aurait pu être si la reine ne la lui avait pas volée. Il s'engage et revient de la guerre de Vendée traumatisé. 

L'histoire d'un orphelin adopté par Marie-Antoinette, son parcours de Versailles à la Révolution Française !

Un roman historique très documenté (annexes, chronologie des événements historiques, glossaire, biographie des personnages et bibliographie...), malheureusement je n'ai apprécié que la partie de l'enfance de Martin, la troisième partie axée sur la guerre ne m'a pas attirée. Il n'en reste pas moins que ce livre amène à connaître un pan de notre histoire méconnu et mis en lumière.
Lien : https://leboudoirdulivre.wor..
Commenter  J’apprécie          20
Ici, j'ai découvert un roman, qu'il serait peut-être plus pertinent de nommer « documentaire », avec le sentiment de suivre un observateur-clé, Martin, témoin privilégié (?) de son époque. Sous prétexte d'aborder avec une très grande justesse l'histoire politique et sociale de l'Ancien Régime à Versailles, puis la Révolution française, en suivant la vie de ce jeune orphelin, l'auteur nous sert ici une véritable plongée dans l'histoire mais aussi, à mon sens, dans la fragilité et la noirceur de l'âme humaine. Une quête d'identité volée sur fond de Révolution, traitée avec beaucoup de finesse.
Cette reconstitution historique se décline d'une manière assez théâtrale, en trois parties distinctes :
- l'enfance orpheline, silencieuse, incomprise et solitaire d'un Martin arraché à sa famille dans sa petite enfance, qui vit dès lors dans une véritable prison dorée, de laquelle seule la nature peut le faire sortir. Un enfant sauvage, perdu au milieu des plaisirs de Versailles et de la futilité des aristocrates, le tout exposé en une lecture charmante et sensiblement désuette,
- la découverte de la vie à Paris : la véritable naissance de Martin ?
- la période de la terreur : Martin vit la révolution du côté d'un peuple devenu complètement sauvage, son permanent discours intérieur accentuant le malaise et la distance par rapport à la violence des actes accomplis.
Le roman, d'un style recherché, est vraiment très documenté et passionnant.
Je le recommande vivement à tous ceux qui apprécient les bons romans historiques !
Encore une fois, un grand merci à Babelio qui m'a permis de découvrir, grâce à ses opérations « Masse critique », un roman vers lequel je ne serai peut-être pas allée, et aux éditions Phébus pour ce qui fût pour moi un vrai plaisir de lecture.
Commenter  J’apprécie          10
Du point de vue d'un gamin ramassé sur une route pour ces beaux yeux, nous voilà embarqués dans un monde clos auquel lui seul a accès : celui imaginé par la reine et aussi vu par ses yeux d'enfant qui grandit sans rien avoir vu, vécu, d'autre.
Fascinant et jamais ennuyant, puisque celle qui nous attire ici , #marieantoinette , il faut l'admettre, apparait pour s'évanouir bien vite de la vie du petit, mais fait des apparitions toujours, physique ou en pensées.

En découvrant les pavés d'écriture, sans ponctuations du moindre dialogue, j'ai craint d'être mangée par la densité. Mais les chapitres ne sont pas très longs et le style reste accessible, l'histoire calme certes, accroche bien l'attention, avec assez de descriptions pour illustrer de manière riche aussi bien le milieu où vit Martin que la société de courtisans qui gravitent autour, dans et au delà de Versailles.
Commenter  J’apprécie          00
On retrouve Martin tout au long de vie et va vivre le début de la révolution française. On retrouve une vision assez intéressante de la vie à cet époque là. On retrouve un personnage atypique, on ne sait pas vraiment quoi penser de lui
Le texte est un peu lent à certains moments où des fois on a envie de sauter des pages. Ce que j'ai aimé c'est vraiment le côté historique du livre.
Commenter  J’apprécie          00


Lecteurs (107) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3186 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}