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Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Autant le dire tout de suite: je n'ai pas aimé!



Je m'attendais à trouver dans ce livre une histoire traitant d'écologie agrémentée de relations humaines. Alors oui, ces ingrédients en font partie mais le problème, c'est que je n'ai pas trouvé beaucoup de sens dans tout cela.



Beaucoup de thèmes sont abordés, tous de façon trop superficielle à mon goût. Ils arrivent tous les uns à la suite des autres dans le récit mais sans vraiment de lien, ça n'a ni queue ni tête. Je suis d'accord que le tout se recoupe à la fin, que finalement tout (ou presque) à un sens mais, en attendant, j'ai lu plus de 100 pages sans vraiment comprendre où l'auteur voulait en venir et je vous assure que ce fut long!



J'espérais trouver un message, des convictions mais j'ai l'impression que les idées ont été jetées sur le papier sans avoir été creusées. C'est dommage.



Honnêtement, je ne pense pas retenter une lecture de cet auteur!
Lien : http://livresque.over-blog.n..
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"On dirait vraiment le paradis" fut le dernier roman, paru en 1982 et traduit en français en 2009, du romancier et nouvelliste américain John Cheever.

Un jour, un vieil homme du nom de Lemuel Sears retourne dans le village de Janice pour patiner sur l'étang de Beasley. C'est alors qu'il se rend compte que celui-ci sert à présent de décharge tenue par une puissante organisation criminelle. Alors qu'il lance une procédure en justice pour mettre fin à cette source de pollution, il tombe éperdument amoureux de Renée, un agent immobilier qui a la curieuse habitude de fréquenter les églises pour des raisons obscures et qui s'amuse à faire tourner le vieil homme en bourrique sous prétexte qu'il ne connaît rien aux femmes.
Pendant ce temps, deux couples, les Salazzo et les Logan, se lancent dans une querelle de voisinage.

L'étang de Beasley représente pour Sears un petit coin de paradis qu'il est tout prêt à défendre. Si le récit s'ouvre sur la découverte du vieil homme, l'auteur s'écarte volontiers du sujet pour s'arrêter sur la relation compliquée qu'entretiennent Sears et Renée et bifurquer ensuite sur des disputes entre deux mères de famille, d'abord pour une histoire de chien mort, ensuite pour un carillon et enfin au sujet d'une queue de poisson lors d'un passage à la caisse 10 articles.
Si l'auteur s'amuse à balader son lecteur d'un portrait à l'autre, ce n'est évidemment pas par hasard car chacun des protagonistes se veut impliqué d'une manière ou d'une autre dans l'affaire qui occupe Sears.

Ce billet sera court car autant le dire tout de go, je ne suis absolument pas parvenue à entrer dans ce roman. Si il existe au final des liens entre les différents personnages, l'impression de passer du coq à l'âne ne m'a toutefois pas quittée, j'ai trouvé les personnages inconsistants et peu crédibles, les digressions trop nombreuses (la partie de pêche entre Sears et le garçon d'ascenseur homo, gné?) et l'histoire en elle-même m'a fait mourir d'ennui. La seule chose qui m'ait un tant soit peu intéressée est le point de vue (minime quand même) de l'auteur, exprimé à travers le personnage de Sears, quant à l'importance de l'écologie et de la préservation de la nature.
Lien : http://contesdefaits.blogspo..
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Je remercie Livraddict et les éditions Folio pour m'avoir permis de lire un auteur jusque là inconnu pour moi.
Cette lecture, dont j'attendais certainement trop est décevante. En effet, au regard de la 4ème de couverture, je m'attendais à quelque chose d'assez écologique, à une immersion en pleine nature .Or ça n'est pas tout à fait cela, en tout cas à mes yeux.
Je me suis un peu perdue dans ces deux familles. L'intrigue amoureuse qui ne dit pas son nom, tourne un peu en rond.
Et l'étang devenu une décharge publique, dans tout cela ? J'ai trouvé que le sujet était traité très succinctement, un peu à la va vite ; comme si finalement on savait déjà que l'affaire est entendue, et qu'on l'expédie.

Et pourtant la lecture en elle-même n'est pas désagréable. le style est simple, quoiqu'un peu confus. Les moments poétiques ne manquent pas dans les descriptifs. L'humour ne manque pas non plus. Mais vous l'aurez compris, cela ne suffit pas à assouvir ma faim. En refermant le livre, je reste, en effet sur cette faim de grands espaces, de nature, de combat pour la préserver.
Je ne connaissais pas cet auteur, qui a bonne réputation, surtout dans la nouvelle. Je ne regrette pas de l'avoir lu, le livre est court. En revanche, je n'ai pas spécialement envie de poursuivre avec cet auteur.

Lien : http://leblogdemimipinson.bl..
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