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Jean-Louis Gauthey (Adaptateur)
EAN : 9782909990712
116 pages
Editions Cornélius (01/10/2002)
3.87/5   99 notes
Résumé :
It's impossible to write about Daniel Clowes's work without using the word "ennui." But his is a joyous ennui, if such a thing is possible, one that relishes the boredom of everyday life with a Zen enthusiasm. The title David Boring reflects his self-aware humor and captures the essence of an ordinary man living through a larger-than-life story. The main character lives with his best friend, Dot, in a large city, each looking for love and meaning. David in particu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Si vous n'avez pas d'attrait pour le bizarre, si l'idée de ressentir un certain inconfort lors d'une lecture vous répugne, fuyez ce « David Boring ». Si au contraire, vous aimez l'étrange, si vous n'êtes pas hostile au fait d'être dérouté par une B.D, si vous aimez être immergé dans la psyché un peu torturée d'un personnage, vous devriez vous y intéresser. Il y a dans les oeuvres de Clowes un ton si singulier, un tel étalage de névroses que je finis par me demander si le fait que ses livres me parlent tant ne serait pas le signe que je suis légèrement tordue… Encore une fois avec un livre de Clowes, j'ai pu ressentir ce vertige étrange, ce malaise qui devient source de plaisir.

« David Boring » est une oeuvre riche et assez cérébrale qui se prête à de nombreuses réflexions et analyses et qui demande sans doute plusieurs lectures pour pouvoir être totalement appréhendée. du coup, mon avis à chaud à l'issue d'une seule lecture sera sans doute un peu confus.

« David Boring » est un bien étrange voyage, une immersion bizarroïde, une sorte de psychanalyse sur papier où une certaine outrance se mêle à l'intime. Si le personnage principal est sans doute un alter-ego de l'auteur et si tout le récit est centré sur lui, la BD de Clowes n'est pas qu'un trip égocentrique pour autant. Il y a une certaine universalité qui se dégage du récit. Cela tient sans doute au fait que le personnage, bien que peut-être un peu plus névrosé que la moyenne, n'est pas un type extraordinaire. Il y a une certaine banalité en lui, tout un chacun peut par un aspect ou un autre se trouver une proximité avec lui. Il faut dire que le lecteur est totalement plongé dans la psyché de David. On y découvre ses angoisses, ses névroses liées notamment à une mère envahissante et à une figure paternelle absente et surtout une certaine idée de l'idéal féminin, idée qui se rapproche d'un certain fétichisme et qui porte en lui un complexe oedipien sous-jacent. Tout le récit tourne autour de ce fantasme obsessionnel. Les événements de l'intrigue découlent souvent de ce fantasme. La plupart des personnages peuvent être situés par rapport à David en regard de son fantasme. Sa mère, sa cousine, Wanda et Judy sont différentes incarnations de cet idéal féminin, que ce soit avoué ou non, tandis que Dot, la colocataire lesbienne de David, en est à l'opposé. Dot et David discutent régulièrement des goûts de David. Et Dot ne semble exister qu'en tant que confidente de David, ses tentatives de vivre sa vie se soldent par un échec. le personnage de Whitey n'est caractérisé que par ses goûts en matière de femmes, des goûts à l'opposé de ceux de David. Au contraire du personnage du professeur qui partage la même obsession pour Wanda que David. Et la caractérisation de ce personnage ne va guère plus loin que sa passion qui le définit totalement.

« David Boring » est une oeuvre très aboutie où le mélange des genres fait merveille. L'inattendu fait irruption dans une intrigue qui partait comme une banale histoire d'amour. L'atmosphère est si particulière chez Clowes qu'on a du mal à situer son histoire dans notre monde. On le placerait plutôt dans un monde très proche, très voisin mais pas tout à fait le même, un monde où les névroses prennent corps. Cette impression donne un ton inquiétant au récit. A la vie sentimentale d'un type ordinaire névrosé s'ajoutent des ingrédients de roman noir, de thriller angoissant. Même l'apocalypse n'est pas loin avec ces attaques terroristes qui sont régulièrement évoquées mais jamais vécues directement par David qui n'y assiste pas et ne s'y intéresse même pas vraiment. Ses problèmes amoureux ayant, à ses yeux, plus d'importance que l'état du monde, l'extérieur n'a aucune prise sur lui et la peur insidieuse qui contamine la société ne le gagne pas. A l'image de la lassitude perpétuelle qui habite le personnage, le rythme est lancinant et mélancolique.

La construction narrative est parfaitement maîtrisée. Il y a plein d'allers et retours, de motifs qui se répètent, se répondent les uns aux autres. C'est en parfaite adéquation avec le sujet de l'oeuvre. Tout comme le dessin qui sert parfaitement le propos. Avec un grand sens de l'économie, Clowes compose des cases sobres, épurées qui transcrivent très bien l'apathie mélancolique des personnages et la solitude des espaces urbains impersonnels. Clowes démontre ici qu'il est aussi à l'aise avec le noir et blanc qu'avec la couleur.

Avec son sens si personnel d'une certaine poésie inquiétante Clowes propose avec « David Boring » une oeuvre magnétique, hypnotisante, troublante et perturbante.
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Je suis plutôt adepte des BD "classiques" avec héros récurrent (Tintin et Astérix ont peuplés ma jeunesse) ou des comics de super-héros de style Xmen ou Spiderman. En BD comme en comics, je suis généralement moins attiré par les "one shot", et il faut toujours un détail original pour que je me penche sur l'une d'entre elles.
Ici, outre le petit autocollant "sélection des bibliothécaires" apposé sur la couverture qui reste souvent pour moi un gage de qualité, le titre m'a tout de suite intrigué. David Boring, personnage principal et titre du comics, est aussi le pseudo choisi par l'acteur Esteban (encore un pseudo) pour la partie musicale de sa carrière. Seulement... aucun lien entre lui et cette BD puisqu'il a choisi ce nom comme une parodie de David Bowie (et c'est peut-être aussi la même référence à David Bowie qui a décidé Daniel Clowes à nommer ainsi son personnage, les grands esprits se rencontrent parfois !).

Passé le contexte anecdotique du choix du livre passons à l'histoire elle-même. Elle est vraiment baroque et ne peut que laisser un sentiment d'étrangeté. Ce qui le résumerait le mieux : c'est à la fois extrêmement réaliste et totalement irréel. le mélange des genres entre l'enquête criminelle et le récit intimiste trouble l'esprit. Si on rajoute un contexte politique marqué par le terrorisme biologique, on est parfois totalement circonspect. le coeur du récit reste néanmoins les émois, les fantasmes, les aventures amoureuses du personnage éponyme. Et quoi de plus normal puisque quand on a l'age du héros et qu'on est très souvent célibataire, le sujet est forcément central dans sa vie.

Ce anti-héros est vraiment parfait dans son rôle, puisqu'il a un abord totalement lisse, un physique de premier de la classe passe-partout, rien d'extraordinaire... mais les péripéties de sa vie à parti du début de l'ouvrage sont en revanche totalement hallucinantes. le talent de l'auteur est vraiment de nous faire naviguer entre les différents axes de son récit en nous faisant oublier un temps les autres. Alors que les morts s'enchainent finalement tout au long du récit, on les oublie parfois totalement pour s'intéresser aux états d'âmes intimes du héros. L'histoire est également servie par un graphisme très fifties, renforcée par des extraits du vieux comics du père de David (encore un élément qui ne peut que nous perdre, on recherche des liens entre le comics et le reste de l'histoire... et comme le héros, on en trouve pas !). le décalage est produit entre cette ambiance désuète et un contexte politique qui ressemble plutôt à celui de notre époque.

Une histoire très originale et déstabilisante mais malgré tout bien agréable à lire. de quoi donner envie de découvrir le reste du travail de son auteur, notamment Ghost World qui a connu la consécration par son adaptation pour le cinéma.
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Ce tome comprend une histoire complète et indépendante de toute autre. Elle a fait l'objet d'une prépublication dans les épisodes 19 (acte I paru en 1998), 20 (acte II, en 1999) et 21 (acte III, en 2000) du comics "Eightball".

David Boring (20 ans) est en train de s'envoyer en l'air avec une superbe jeune femme à l'aube d'une carrière de modèle. Il rentre chez lui et rend compte à Dot Paar, sa meilleure amie qui est également sa colocataire et une lesbienne. Bien qu'étant non violent, il exerce le métier d'agent de sécurité. Il reçoit un coup de téléphone de Whitey Whitman, un ancien copain d'enfance, qui annonce qu'il vient s'inviter chez lui dès le lendemain. Après l'avoir récupéré à l'aéroport, David et Dot l'emmène prendre un verre dans un bar. Là Whitey drague une jeune femme avec qui il part. le lendemain il est mort. Alors que David se rend à son enterrement, il croise Wanda Kraml, l'incarnation de son idéal de la perfection féminine. Il en tombe amoureux.

Pour cette histoire, Daniel Clowes (scénariste et dessinateur, cette BD est en noir & blanc, avec des niveaux de gris) a choisi une narration centrée sur le personnage de David Boring qui apparaît dans 95% des scènes. Il y a en plus des petites cellules de texte dans lesquelles le lecteur découvre la voix intérieure de David Boring. Ce personnage ne semble pas avoir d'ambition dans la vie. Il a une apparence très ordinaire, avec une belle raie sur le coté, et une musculature peu développée. Il fait preuve d'un talent certain pour emballer les poulettes. Ses 2 principaux objectifs sont de se tenir à l'écart de sa mère qui habite dans une petite ville de campagne éloignée, et de coucher avec des femmes dont l'apparence correspond à ses critères très arrêtés sur les canons de la beauté féminine. Pour le reste, Boring a un caractère plutôt passif, acceptant les événements comme ils viennent. Dot, sa colocataire, semble avoir pour seul objectif de trouver l'amour auprès d'une jolie femme, mais ses conquêtes ont toutes déjà un petit ami.

L'histoire de David Boring se déroule dans une réalité proche de la notre, où le surnaturel n'existe pas. C'est tout juste si Clowes joue le temps de quelques cases avec l'idée d'une médaille porte-bonheur. Mais au final cet élément sert plutôt de leitmotiv que de ressort dramatique. C'est d'ailleurs l'une des composantes de l'histoire que de mettre en avant des leitmotivs dans la vie du personnage. Il y a en particulier son attirance pour une forme particulière de postérieur chez les femmes. Après que Dot en ait fait le constat au cours de la conversation, chaque fois que Clowes choisit un cadrage qui met au premier plan le derrière d'une femme, le lecteur fait immédiatement le lien avec cette attirance qui flirte avec une forme douce de fétichisme pour Boring. Il y a d'autres motifs visuels qui ne sont répétés que 2 fois, telle la femme se baignant dans la mer (page 33 et page 116). le lecteur en retire l'impression que la vie de David Boring s'inscrit dans une forme de prédestination, renforcée par l'apparition le temps d'une case de l'oeil de Dieu (imaginé par Boring). Clowes indique par là que Boring est entièrement à la merci de son imagination d'auteur.

La présence de l'auteur derrière les cases et les agissements des personnages se fait également ressentir dans les quelques événements arbitraires qui insufflent une tension dramatique similaire à celle d'un récit d'action tels qu'un coup de feu ou une mystérieuse épidémie. D'un coté il est possible d'y voir un artifice de l'auteur souhaitant insérer une forme d'énergie liée à l'action ; de l'autre il est possible d'y voir une volonté délibérée de la part de Clowes de faire ressortir la théâtralité de son récit pour que le lecteur ne se concentre plus que sur les états d'esprit du personnage principal.

Quoi qu'il en soit, Daniel Clowes adopte un ton narratif le plus prosaïque possible, le plus terre à terre possible, en évitant tout sensationnalisme. Cette volonté est apparente dans les illustrations. Clowes utilise un style à la fois réaliste et simplifié pour que chaque image puisse être assimilée immédiatement à la lecture. Pour autant, chaque case contient des informations visuelles qui rendent chaque personnage unique, chaque lieu spécifique. Dès la deuxième case, alors que Boring est en train d'avoir un rapport sexuel avec cette jeune femme, le lecteur peut se promener avec les yeux dans cette chambre : une lampe de chevet au style vieillot, quelques vêtements par terre, une commode sur laquelle est posé un vase, les rideaux, la silhouette de quelques immeubles. En une seule image, Clowes sait décrire tout un lieu qui donne des informations sur la personnalité de son propriétaire. Son travail sur le langage corporel et sur les expressions proscrit toute exagération ou comportement outré. La finesse de ses traits lui permet de faire passer toute sorte de sentiments et de sensations par le jeu des acteurs. Il y a également de savants découpages de séquences (certaines muettes) qui décrivent une action, tout en transcrivant avec aisance la tension entre les personnages ou leur état d'esprit. Par exemple, Boring se lance à peloter les fesses de sa conquête du moment, tous les 2 allongés sur un lit. le lecteur perçoit toute son hésitation, sa tension intérieure, l'intensité dans la retenue de ses mouvements.

Par le biais de la vie étrange de David Boring (à la fois active et passive), Daniel Clowes s'amuse à mettre en scène la vie intérieure de son personnage, et à dresser un portrait psychologique sophistiqué et nuancé. Il joue avec le thème du complexe d'oedipe, sans en dire le nom, Boring cherchant un sens dans le dernier objet laissé par son père (un comics de superhéros). Il s'amuse à tester les limites des dispositifs narratifs en attirant l'attention du lecteur sur le caractère arbitraire des événements exceptionnels. Il décortique une forme douce de narcissisme, avec une expression de la force vitale sous la forme d'une sexualité peu sublimée. Sous des dehors de chronique de la vie d'un personnage falot et égocentrique, Daniel Clowes met en scène des principes psychologiques, sans jamais recourir au vocabulaire propre à la psychanalyse. Il préfère montrer plutôt que d'expliquer. Il aboutit à un récit hypnotique peuplé de personnages à fortes personnalités, attachants malgré leur caractère bizarre.
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La vie de David Boring est loin d'être ennuyeuse... Jeune homme d'une vingtaine d'années, intelligent, mais un peu trop obsessionnel, David vit avec son amie Dot, qui, elle, se cherche encore sexuellement. Ils sont simplement amis. David cherche une femme idéale, pour lui, d'après ses critères, très spécifiques. Il la rencontre un jour dans un bus qui le mène à l'enterrement de son ami d'enfance, Whitey.
A partir de là, la vie de David Boring devient digne d'un film, ou d'un roman graphique !
Daniel Clowes, auteur du cultissime Ghost World, revient avec ce graphic novel inclassable. Une histoire très intéressante et bizarre, très profonde et complexe, se cache derrière ce mystérieux titre "David Boring"... Se dévore.
(Lu en version anglaise originale, parce que c'est moins cher, et que ça fait travailler l'anglais...;)
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C'est un bien étrange roman graphique que celui-ci. On ne s'attache pas du tout au héros mais on le suit bien volontiers dans ses aventures sexuelles.

La narration est volontairement détachée à l'image de ce David Boring qui paraît bien étrange dans ses réactions. C'est à la fois un récit intimiste et légèrement décalé. Il y a une atmosphère de fin du monde où l'on se demande ce que les protagonistes font là. Ce mélange a un peu du mal à passer.

Il y a trois parties et j'avoue nettement avoir préféré la première. Il est question également d'assassinat et de tentative de meurtre. On aura droit à des explications ; cependant des ombres demeurent. Les interrogations demeurent…

Le scénario est torturé à souhait et les intrigues se multiplient. On aurait aimé plus de linéarité bien que cela soit tout à fait abordable.
Néanmoins, je dois bien avouer que ma lecture a été quand même agréable. Les dialogues ne sont pas insipides et il y a suffisamment de mystère pour nous captiver. Et surtout une authenticité dans les relations entre les personnages qui fait du bien. On était un peu en manque de tout cela.

La conclusion n'est pas vraiment à la hauteur de cette oeuvre originale ou peut-être à contre-courant de ce qu'on pouvait en attendre. le dessin reste également figé. Cependant, on pourra essayer pour se faire une idée.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
(small part in english...)
Tumult ! I had forgotten the eerie callousness that came to her in times of distress. All sufferers were belittled with quaint diminutives as though, by contrast, her solitary, sexless adulthood was the only valid tragedy.
(in french now....)
Tumulte ! J'avais oublié la dureté à faire frémir qui lui venait dans les moments de détresse. Toutes les victimes étaient rabaissées avec des diminutifs désuets, comme si, avec le contraste, son âge adulte solitaire, asexué était la seule tragédie valable.
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- J'ai connu un homme, une fois, qui était persuadé que l'éternité qui succède à la mort se passait toute entière à examiner en boucle chaque minute de sa vie terrestre... Un peu comme si on regardait une cassette vidéo, encore et encore...
- Quoi ? Comme un genre de jugement dernier ?
- Non, non... comme si notre vie, cette vie, n'était que du fourrage... Quelque chose qu'on mettait de côté pour que notre esprit puisse ruminer dans l'au-delà...
- Ouais, ben... Moi, je suis chrétien.
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Avec l'amour, il est souvent difficile de définir le bon tempo : si tu te précipites, tu risques de tout perdre. Si tu temporises, le train peut quitter la gare sans t'attendre et si tu te dis que c'est le bon moment, tu joues à quitte ou double.
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En un sens, j'étais soulagé que Whitey soit mort. On ne peut jamais faire réellement confiance à quelqu'un qui se souvient de tous les détails embarrassants de votre adolescence.
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Je suis David, votre narrateur éponyme. David Jupiter Boring, premier du nom. Mon père était dessinateur de bandes dessinées (pas le type qui dessine S...N dans les années 50). Je suis né le sixième jour du mois de mai 1978 à 21h10.
Nous sommes aujourd'hui le 24 février 1998. 2 heures 40 du matin. Depuis que je me suis installé en ville, j'ai eu des rapports sexuels avec six femmes. Avant cela, jamais.
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