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4,11

sur 13812 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je crois qu'il est temps de poser la question du lectorat, car nous avons suffisamment d'années d'avis sur les sites de lecture pour nous en faire une certaine idée. de ce point de vue, Babelio me semble un espace formidable, qui permet à toutes et à tous de forger notre opinion (de le forger, donc de réfléchir avant, de lire énormément, de ne pas prendre sa subjectivité pour intéressante mais d'expérimenter celle-ci, et alors certains livres du passé réputés difficiles deviennent lumineux, ils sont la vie !), et il offre un outil d'étude incomparable sur le goût d'une époque, mais revenons à mon propos.
Comment peut-on donner une valeur littéraire à un livre comme celui-ci, qui n'en possède aucun ???
C'est un feel good book, très bien, mais qu'on ne vienne pas nous dire que ce genre de production est intéressante ? Il est du début à la fin une caricature et d'une grande médiocrité stylistique. Qu'il se vende beaucoup n'est la preuve de rien question valeur artistique, simplement cela peut, hélas, souligner notre bêtise à acheter ces produits simplistes, donnant du monde une image bête. Trois femmes : une intouchable en Inde, une autre ouvrière en Europe, une troisième success woman en Amérique du Nord. Elles vivent leur existence respectivement jusqu'à ce que les cheveux rasés de la première arrivent chez la seconde, une fabricante de postiche, qui en fait perruque pour la dernière, évidemment atteinte d'un cancer... On dit ce genre de livre réservé aux femmes : quelle honte de nous voir ainsi ! Non messieurs, nous ne sommes pas de pauvres filles fragiles ne pouvant supporter que des histoires aux émotions limitées et fort démonstratives dans un langage pauvre. Nous aimons Virginia Woolf, Colette, Hélène Cixous, Kathy Acker. Et pourtant, quand je lis les commentaires de mes semblables, je me dis que l'on donne le bâton pour se faire battre... Un roman qui, avec beaucoup d'autres, ne reflète que la sensiblerie de son lectorat de masse, féminin ou pas.
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La tresse a été il y a 3 ans LE roman qu'il fallait lire, dont tout le monde parlait et que les médias encensaient- le nombre de critiques sur Babelio témoigne également dans ce sens.
Bon... Et bien pour ma part, c'est une déception.

J'attendais un livre émouvant, travaillé, qui soulèverait des questionnements ou interrogations, au lieu de ça j'ai trouvé un roman qui est à ranger dans la catégorie feel good, ni plus ni moins. Certes, pour qui serait à la recherche d'une lecture simple et facile avec des bons sentiments, La tresse est toute indiquée. Mais voilà, j'en attendait plus.
Pour ce qui est de la narration, rien de bien recherché, et pour le même l'auteure empile les clichés les uns après les autres. Et côté style, rien de bien violent, on est plus face à l'écriture d'un scripte pour téléfilm d'M6 ou TF1 que sur de la littérature.
Un récit croisant les portraits de 3 femmes, d'accord mais quand on a lu des romans comme Les Heures de Michael Cunningham ou des romans d'Anna Hope comme le Chagrin des vivants... La tresse est tellement palo qu'il est à peine anecdotique.
Des histoires de femmes italiennes ou siciliennes ? Indiennes ou Canadiennes ? Là non plus la littérature n'en manque pas, de Sibilla Alerano à Golda Sapienza, Elena Ferrante, Arundhathi Roy, Margaret Atwood,.. Et tant d'autres ! Là encore, ce petit roman ne fait même pas une bonne synthèse de tout ce que ces femmes ont pu écrire.

Bien sûr, le destin de Lalita a tout pour émouvoir dans notre société occidentale où l'école est un droit, où le travail et esclavage des enfants dont la seule faute est d'être né pauvre est si loin de nos acquis culturels et sociaux que c'est insupportable- même s'il est de bon ton pour des bobos chics écolos et braves rebels de canapé de s'offusquer des mémoires de l'esclavage mais d'alimenter le marché des téléphones portables et autres objets technologiques qui fonctionnent au lithium creusé dans des mines qui utilisent les enfants.

Je tenterai tout de même de voir comment ce roman a été adapté pour les enfants car, pour ce public en revanche l'histoire peut être très pertinente et suffisante.
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Devant le raz-de-marée médiatique et l'avalanche de critiques hyper-positives, j'appréhendais un peu de commencer ce court roman mais je me suis laissée porter et je n'aurais pas du.
Je n'ai pas du tout aimé.
Certes les histoires sont touchantes par moment mais elles m'ont surtout semblé terriblement peu originales. L'idée des trois histoires qui se croisent est sympathique mais le lien n'a rien de subtil (dès les premiers chapitres, ce lien était limpide) ni rien de très original.
J'ai trouvé le style plat pour ne pas dire basique avec une tendance à la succession de synonyme qui m'a agacée pendant toute ma lecture. En effet Colombani ne dit pas "Sarah est une battante", non, elle dit "Sarah est une battante, une guerrière, une amazone, une warrior, une combattante, une Terminator" (j'exagère à peine) et c'est comme ça tout le temps.
J'ai également trouvé indigeste la façon dont nous sont exposés les fruits des recherches que l'auteure à menées, essentiellement dans les chapitres consacrés à Smita. Chaque rencontre qu'elle fait est l'occasion d'une petite anecdote/d'une information sur l'Inde, ses castes et l'hindouisme.
Certaines phrases m'ont également laissées plus que perplexe...je n'ai plus le livre sous la main à l'instant mais écrire que Sarah s'effondre "comme le World Trade Center"...euh...je reste sans voix.
Bon, je ne vais pas m'étendre, je n'aurais pas du le lire, j'aurais du écouter mon instinct.
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Voilà un livre que j'aurais adoré aimer tant on m'en a dit du bien. Je l'ai débuté avec gourmandise mais j'ai été rapidement rassasiée.

Je n'ai pas du tout aimé le style de Laetitia Colombani que j'ai trouvé froid, impersonnel et fade.

Les thèmes abordés sont intéressants - j'ai même appris beaucoup de choses sur les Intouchables - mais ils sont survolés. Aucun n'est abordé en profondeur, le roman manque cruellement d'épaisseur.

Et puis j'ai senti venir la fin à des kilomètres et elle ne m'a pas émue ni fait réfléchir. Je n'ai pas attendu ce roman pour me poser des questions sur ma place dans le monde ni pour comprendre que nous étions tous connectés d'une manière ou d'une autre.

Je me sens vraiment triste d'être passée à côté de ce roman. J'en attendais peut-être trop ou alors je deviens difficile avec le temps... Tant pis ! J'espère que ma prochaine lecture me plaira davantage :-)
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Ce bouquin était sur toutes les lèvres il y a quelques mois, je m'étais promis de le lire à l'occasion. Ce fut celle de la sortie poche.
J'ai calé assez vite, monsieur l'Ennui s'étant invité dans les pages avec ses potes Gnangnan, Pleurechaumières et TheShowMustGoOn. J'ai gardé assez d'intérêt pour suivre Smita jusqu'au bout, sans doute parce que, comme le dit très bien le bouquin, le monde se fout des misères Indiennes, donc ces dernières avaient une certaine fraîcheur dans le récit.

Tout ça pour dire que je me suis demandé pourquoi un tel succès.

Le Parisien enjoint en couverture de l'offrir et de le conseiller. Que dalle. Au mieux vais-je le laisser dans ma maison de vacances. (Et depuis quand suivrais je les ordres d'un quotidien parisien). D'autres livres (parfois aussi bien médiatisés) parlent bien mieux de la difficultémerdefardeau d'être femme (je pense direct à la Servante Écarlate) (je ne cherche pas loin) (je dois encore faire la vaisselle), d'être en plus malade ou défavorisé.

Oui, donc, bref (toujours pas) je me suis dit que si ce petit livre a eu autant de succès, c'est que l'heure est effectivement grave mes sœurs. On préfère louer un petit bouquin de rien, qui ma foi raconte pas grand chose et pas très bien, plutôt que de faire bouger nos droits.

Inadmissible !

Levons nous pour être reconnues et louées à notre juste valeur afin d'éviter les navets à succès (enfin demain)(quand il fera moins chaud).
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Un livre à fuir ? En tous les cas, un livre sans âme. Une mécanique très bien construite. Très scolaire. Sans style. On sent bien le labeur de l'auteure sérieuse qui a bien travaillé. Bonne documentation. Technique visible.

En lisant La Tresse, on finit par se pincer. On repense à France Culture. Aux éloges des lecteurs. Au succès inattendu. On finit par prendre peur. Suis-je atteint d'une maladie rare qui m'interdit désormais d'avoir accès à la « bonne » littérature ? Suis-je le seul ?

Heureusement, les critiques de quelques rares mécréant(es) me font revenir de mon effroi (vive les « une » étoile !). Non, La Tresse n'a rien d'un bon livre (ouf !). Roman jetable. À succès, mais jetable.

Certains et certaines, parmi les plus critiques d'entre nous, s'en sont même pris au lectorat. Et oui, des gens ont bien (beaucoup ? Passionnément ?) aimé. Dur…

La question du lectorat est complexe. On le sait. Lire, c'est au fond, à chaque fois, une remise en cause. Une façon de relever le défi du sens et du sensible Un effort, oui. Mais une aventure surtout. L'alchimie d'une rencontre. La découverte d'un style.
Difficile dans ces conditions d'être jugeant, tant ce cheminement du lecteur est personnel, voire intime.

Et pourtant…

On peut s'interroger en effet. Pas seulement sur le lectorat. Mais quid des médias, et leur art dithyrambique de la louange forcée ? Quid des éditeurs et leurs choix de publication ? On surfe sur des effets de manche, lard (pardon, je pensais écrire l'art) facile. Consommation de masse. Tromperie sur le désir de lire. Comme si le désir pouvait se massifier. Cette martingale de la vente à coup sûr, attrape-tout, est la condition du bon lecteur docile. Je ne le blâme pas. Les projecteurs éclairent violemment jusqu'à l'aveuglement, pointant ce qu'il faut lire, ou pour être honnête, ce qu'il faut vendre.

Car c'est bien là le drame du conformisme commercial. Qu'un auteur se voit réfuter par un éditeur. La raison ? Une production très réduite. Des choix restrictifs. Au final un livre qui ne correspond pas à ce que l'éditeur recherche dans ses collections.

Mais que recherche-t-il ? En lisant La Tresse, on se pince le nez…

L'éclairage médiatique vaut force de loi. Ce qui est visible est lu. L'industrie du livre, qui ne peut se permettre de prendre des risques, le sait très bien. Ce qu'elle publie, elle doit le vendre. C'est une nécessité de marchand. L'énormité du buzz médiatique répond trop souvent à ce seul schéma.

Nous mesurons tous combien l'idée même de célébrité, de médiatisation n'a aucun sens pour mesurer la qualité d'une lecture possible. J'entends par « possible », celle que nous espérons et qui bouleverse et chavire l'âme.

Aussi, ne nous plaignons pas.
Il y a un avantage sérieux à lire des mauvais livres.
Ils fédèrent les lecteurs mécontents.
Une autre façon de contourner le diktat consumériste à la recherche des pépites qui n'auront pas été éclairées.
À nous de ne pas tomber dans le piège !
Tout ce qui brille n'est pas littérature…
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Le voici donc, le phénomène littéraire du moment, le livre qui s'est hissé parmi les meilleures ventes actuelles, alors que son auteure était jusqu'ici totalement inconnue ! Souvent - mais pas toujours -, je me tiens à l'écart de ces romans dont tout le monde parle. Pas par snobisme littéraire, non - en tout cas pas uniquement ! - mais pour les mêmes raisons qui me font passer très rapidement sur les sites dits incontournables des destinations touristiques pour aller me perdre dans les endroits plus méconnus, dont personne ne parle : c'est souvent là que l'on découvre les plus beaux trésors...
Bref, La tresse ayant été sélectionné par le comité de lecture des 68 Premières fois, c'était l'occasion de faire une entorse à mes principes !

Vous le savez sans doute, il s'agit de trois histoires de femmes, sur trois continents, illustrant dans trois registres différents le combat que les femmes doivent livrer, où qu'elles se trouvent et quelle que soit leur situation, pour conquérir une place égale à celle des hommes, voire pour simplement exister. C'est un sujet qui bien évidemment me touche, les luttes féministes étant à mon sens loin d'être un combat d'arrière-garde.
Smita, Indienne intouchable réduite à vider à mains nues les latrines des habitants de son village pour espérer être rémunérée de quelque reste de nourriture, Sarah, brillante avocate canadienne élevant seule ses trois enfants, sacrifiant tout à sa vie professionnelle pour espérer obtenir la reconnaissance qu'elle mérite, et Giulia, soumise au patriarcat de la société sicilienne, représentent ainsi quelques-uns des archétypes féminins d'aujourd'hui. En tant que femme, ces tranches de vie ne peuvent que susciter en moi un sentiment de révolte.
Mais j'avoue que la forme littéraire m'a laissée un peu sur ma faim. le roman est bref : 224 pages pour raconter trois destins, c'est peu pour faire place au développement psychologique des personnages et à la mise en place d'un contexte socio-historique.
On passe alternativement de l'une à l'autre de ces héroïnes, sans avoir le temps de s'attacher à elles ni d'éprouver de véritable empathie. du coup, alors même que j'ai conscience que ces personnages renvoient à de terribles réalités, ils me paraissaient caricaturaux. En outre, la façon dont les trois récits s'entremêlent m'a paru un peu cousue de fil blanc.

Je ne dirais pas que je me suis ennuyée ni que j'ai passé un désagréable moment avec ce livre. Il est extrêmement facile à lire et joue sur une corde sensible qui peut, manifestement, toucher son public. Mais d'un point de vue littéraire, disons que je le trouve un peu faible. Cependant, s'il peut contribuer à faire prendre conscience de la persistance des inégalités entre les sexes et de la nécessité de défendre encore et toujours les droits des femmes en tout point du monde, alors souhaitons qu'il continue de connaître le succès !
Lien : https://delphine-olympe.blog..
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Le parcours de trois femmes, dans trois pays, de trois conditions différentes. Il y a Smita, en Inde. Née dans la caste des intouchables, au plus bas de l'échelle sociale, elle est condamnée à ramasser à main nue les déjections des familles des autres castes, sans autre rémunération que ce que ceux-ci consentiront éventuellement à lui donner (un bout de tissu, un peu de nourriture, parfois rien). Mais Smita a décidé que sa ville ne connaîtra pas ce destin et qu'elle ira à l'école.

La deuxième femme est Giulia, en Sicile. La jeune femme travaille dans l'affaire familiale de son père, qui travaille le cheveu vivant. Activité en voie de disparition puisque cette entreprise est la dernière de Sicile. Lorsque le père décède c'est à Giulia de reprendre les rênes et de tenter de sauver son héritage.

Enfin il y a Sarah, au Canada. Elle est avocate dans un grand cabinet d'affaires. Mariée et divorcée deux fois elle a trois enfants qu'elle voit à peine tant elle est centrée sur sa carrière professionnelle. Jusqu'à ce que la génétique ne la rattrape.

Trois femmes qui, à des degrés divers, se battent dans un monde d'hommes, dans des organisations aux lois dictées par les hommes. Trois femmes qui refusent la fatalité pour prendre en main leur destinée. Trois femmes aux destins liés par une tresse.

J'attendais beaucoup de ce livre encensé par le public et par la critique. Trop peut-être. Au final une grosse déception et une chronique qui va aller à l'encontre des critiques générales sur ce livre.

Certes on peut louer la volonté de Laëtitia Colombani de défendre les droits des femmes partout (ou presque) dans le monde, au travers le destin de trois femmes qui refusent de se plier et se révoltent (plus ou moins) contre les traditions, les coutumes, les pratiques, les habitudes, les lois sociales édictées par les hommes. Mais….

Parce qu'il y a pour moi un gros « mais » (et même plusieurs). Tout d'abord le choix des personnages : plus que Smita c'est sa fille Lalita qui m'a touchée. Pour l'auteure le personnage de Smita n'est que le prétexte à dresser la (longue) liste du pire des traitements réservés aux femmes en Inde. Chacune des évocations de ce personnage est source d'un article du catalogue des outrages, des vexations faites aux femmes de sa conditions. Facile quant on est dans son salon avec son PC et son smartphone mais concrètement on fait quoi pour changer cette situation ?

Giulia est certes volontaire, mais elle ne va pas lutter longtemps et c'est grâce à un homme qu'elle va s'en sortir. Quant à Sarah, j'ai détesté ce monstre d'égoïsme et de « naïveté » et la façon dont elle s'en sortira, grâce au sacrifice de la moins fortunée des trois. Enfin le style, même pour un premier roman, est loin d'être exceptionnel, avec quelques passages assez irritants de platitude comme la comparaison entre l'effondrement de Sarah et le 11 septembre.

Bref, grosse déception pour une histoire cousue de fil blanc, avec des personnages sans grand relief et un discours plus que convenu qui n'apporte rien à la cause des femmes.
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trois destins croisés.. qui m'ont fait penser au roman d'Eric Emmanuel SCHMITT "femmes au miroir"... même procédé littéraire…
Roman sympathique qui je ne me laissera pas un souvenir impérissable.
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Je pense que je suis franchement à contre courant de tous les avis dithyrambiques sur ce livre. Pour être honnête je n'ai jamais vraiment eu envie de le lire. Il ne m'a jamais tenté. je ne sais pas pourquoi : j'avais vu l'auteur en parlé dans une interview au moment de sa publication, et je trouvais ses commentaires sans saveur.
Mais voilà, je consomme beaucoup de livre audio, et j'ai déjà lu ce qui me faisait très envie dans les bacs de la médiathèque, me voilà lancé dans la découverte de ce qui me fait moins envie en attendant les prochains achats.
Heureusement, cette écoute était assez rapide.
J'ai trouvé ces trois histoires trop plates, pas assez approfondies, les personnages sans profondeur. Alors qu'en fin de CD, dans une interview l'auteure explique qu'elle voulait profiter de la liberté du roman pour approfondir les sentiments de ses personnages ; ce qu'elle ne peut pas faire dans l'écriture d'un scénario. J'étais très étonné d'un tel commentaire.
Normalement je suis d'un naturel très empathique avec les personnages des romans que je lis, et là - rien - j'étais spectatrice agacée par la lenteur du récit. Parce ce que c'est court, mais aussi très lent avec sans arrêt des répétitions encore et encore, dans le même chapitre, mais aussi d'un chapitre à l'autre.
Je me suis ennuyée.
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