Une lecture qui nous attrape à bras le corps. En variant les registres avec dextérité, en orfèvre de la langue,
Patrick DA SILVA nous tend en miroir la vie intérieure des gens du commun.
Le livre va crescendo jusqu'au texte final, onirique, entre la vie et la mort : "C'est ainsi, on s'éteindrait d'abord dans la fuite des rêves."