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3,32

sur 453 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
240 pages de déception.
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C'est la rentrée, le collège. Ils et elles sont Ici, dans un microcosme aux règles impitoyables. Les élèves se répartissent entre Hauts et Bas, sauf les impairs, il y a un Prince, des profs aveugles et plein de choses atroces. Ce roman choral de récit scolaire ressassé, Christelle Dabos le fait lentement mais sûrement s'enfoncer dans le fantastique...
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Alors, franchement, mes secondaires ce n'était pas toujours Byzance, je n'étais pas du tout dans les populaires, y en a qui voulaient me faire chier, j'ai eu des profs nazes mais crénom, il y avait aussi du bon et du beau. Alors oui les ados ont un côté grégaire, certain.es sont des abruti.es fini.es et deviendront des adultes détestables mais ce sont aussi de vrais individus capables de porter des choix et de se révolter contre l'injustice. Je sais bien qu'on n'écrit pas de roman pour dire que tout va bien mais là tout va si mal qu'on a carrément du mal à y croire. Pour moi ce roman est culpabilisant et j'ai été totalement agacée par cette nouvelle élève si différente et cette prof remplaçante ex- élève d'Ici providentielle... Même un film Disney Channel n'aurait pas combiné ces deux clichés. En fait, on dirait "Les éblouis" d'Aylin Manço avec un budget marketing, sans humour, sans sexe, sans croire que les ados peuvent être de bonnes personnes. Même si Christelle Dabos écrit bien, elle n'aurait pas été l'autrice de "La passe-miroir", je n'aurais pas lu ce livre jusqu'au bout
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Ce roman de Christelle DABOS est très déroutant et j'avoue n'avoir rien compris malgré ma grande détermination à aller au bout !!
Le contexte hyper violent m'a profondément gêné avec des caïds faisant régner la terreur dans leur classe, des élèves victimes résignées qui anticipent les humiliations de leurs bourreaux et cerise sur le gâteau, des profs lâches à l'extrême qui voient tout et ne font rien pour s'opposer aux brimades qui touchent les plus faibles.
Quelle image négative et défaitiste du collège à donner à des jeunes en perte de nécessaires repères ! Quelle négation désastreuse de l'action d'enseignants engagés qui, même dans des conditions difficiles, mettent en oeuvre des projets exigeants qui enrôlent leurs élèves même fragiles et transmettent les valeurs de solidarité, d'écoute et d'échanges dans la bienveillance !
De plus, ce récit est résistant au possible : des personnages nombreux parmi lesquels le lecteur se perd, des narrateurs différents, un fil narratif inexistant, pas de chute compréhensible (en tout cas pour moi) et un texte qui alterne entre réel et fantastique.
Je n'ai pas trouvé d'explications sur la problématique de certains personnages marquants comme Sofie dont on ne sait si elle est malade, phobique ou ex-victime de violences ou les desseins d'autres comme la prof, fragilisée ou Pierre, qui tue le seul élève qui lui tende la main...
Ce récit choral est dense avec 240 pages où l'on se fatigue en tant qu'adulte à chercher un sens à l'histoire et qui vont à coup sûr lasser les ados lecteurs fragiles...
Roman découvert dans la présélection 2024/2025 du Prix des collèges et lycées de Charente.
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Un début de lecture très décevante pour ma part. N'ayant pas lu La Passe-Miroir mais ayant entendu parler de son immense succès, je m'attendais à une pépite littéraire. Quelle déception dans les premiers chapitres ! J'ai d'énormes difficultés à ne pas abandonner ma lecture de part l'écriture de l'auteure. Pourquoi une telle vulgarité, une telle avalanche de grossièretés ? Je continue de m'accrocher, de balayer cette abondance d'obscénités. Quelque chose me retient... peut-être certaines tournures délicieusement bien écrites et sans doute aussi l'envie de découvrir ce collège qui sort de l'ordinaire.
Difficile de suivre les différents personnages dans ce lieu appelé ICI, chacun y joue un rôle, y a un statut défini au départ. On y parle de harcèlement, de soumissions, d'obligations... univers noir sans amitié. Est-ce vraiment le monde de l'adolescence ? Tout est confus, glauque si bien que je ne ressens aucune empathie pour ces différents collégiens qui se racontent tour à tour.
Un grand dommage !
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Alors que dire de ce livre… je viens à l'instant de le terminer…. Je savait que ce livre n'avait rien avoir avec la passe miroir. Mais la … je sort de cette lecture perdue, j'ai strictement rien compris ! Mais vraiment , je suis pommer , trop complexe, fond de harcèlement scolaire ok, mais j'ai rien compris, même la fin … je suis choquée d'être autant perdue à la fin d'un livre sa met JAMAIS arrivée.
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240 pages de déception... à éviter.

Le texte est incompréhensible. Ou est son éditeur ?..

présenté comme un chef d'oeuvre littéraire, c'est, en fait, un texte très prétentieux et sans intérêt.

POUR QUI écrit Dabos ? Pour ses lecteurs ? Non, plutôt, pour satisfaire son ego et remplir ses poches... hélas.
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J'étais vraiment enchantée de lire le nouveau Christelle Dabos même si le résumé m'avait l'air pas mal mystérieux.

Malheureusement je n'ai pas aimé. Pourquoi ?
Les chapitres courts s'alternent assez rapidement entre différents personnages, ce qui donne du rythme au roman, et ça c'est un bon point.
Très vite j'ai compris que l'action allait se dérouler au sein d'un collège un peu... particulier. Cet endroit obéit à des règles. Les Hauts et les Bas. Les pairs et les impairs. Ceux qui ont tout et ceux qui n'ont rien et sont traités comme des invisibles, ou bien pire parfois.
Le ton est dur, froid, incisif, et j'ai eu énormément de mal à reconnaître la plume de l'auteure. L'ambiance est glauque, au sein de ce collège où de drôles de choses semblent se passer, ou le temps semble avoir une emprise... différente.

Le problème c'est que je suis restée perplexe du début jusqu'à la fin. J'étais ballotée entre différents personnages, différentes actions, auxquelles parfois j'aurai voulu de plus amples explications. J'avais du mal à cerner l'histoire, elle m'échappait complètement. J'ai essayé de trouver du sens, je n'en ai trouvé aucun même si je suppose que ce livre dénonce plusieurs choses : le harcèlement scolaire, l'adolescence, les changements... mais malheureusement ça n'a pas pris. J'ai été perdue plus qu'autre chose et en refermant le livre je me suis sentie égarée. Je n'avais pas compris le but de tout cela, et j'étais bien déçue...
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Ouf, j'ai enfin terminé ce livre et je me sens soulagée.
Cette lecture a été une épreuve pour moi tellement il était dur : par la thématique, par la violence des scènes, par l'écriture difficile à suivre et à comprendre. On a du mal à savoir qui est qui dans ce roman choral, on confond parfois les personnages tellement leur existence se ressemble. du coup, on a du mal à s'attacher à eux.
J'ai détesté l'attitude des adultes de cet établissement. Je sais qu'il y a plusieurs lectures possibles de ce roman puisqu'on nage dans une atmosphère fantastique, mais je n'ai pas accroché. J'ai été très souvent perdu, je n'ai pas tout compris dans ce livre. Il faut un niveau de lecture assez élevé pour bien l'appréhender ce qui me fait dire qu'il ne s'adresse pas aux ados ou jeunes adultes, mais plutôt aux adultes qui ont pu prendre du recul depuis leurs années collège pour mieux appréhender ce sujet difficile qu'est le harcèlement scolaire.
De plus, il n'y a aucune mise en garde en début de livre sur les sujets évoqués dans ce livre.
Bref, ce n'est pas un livre que je recommanderais à mes élèves. c'est carrément un objet littéraire non identifié, qui aurait pu justement être intéressant sur l'originalité mais qui nous perd.
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Je me suis accrochée pour finir ce livre, en espérant beaucoup de la fin de l'histoire, mais non, le dernier chapitre ne parvient pas à me faire sortir de ce sentiment de malaise. J'ai trouvé l'atmosphère violente et glauque, les personnages pas attachants, à part Sofie... C'est peu de dire que cette lecture a été décevante.
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