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3,31

sur 519 notes
Cette fin ma littéralement mise à plat..
Au début de ce livre j'ai été perturbée par le fait qu'il n'y ait pas de prénom, pas de description sur leurs physique, je ne rentrait ps autant dedans qu'un autre, mais l'histoire me plaisait, et j'en ai voulu plus alors j'ai continué et mis suis faite. Je me suis attaché à ELLE et j'ai fini par me détester LUI. Une histoire d'amour qui n'est finalement pas heureuse et qui n'aurai pas du voir le jour
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Elle vit avec son homme souvent absent.
Dans l'immeuble, Lui vit avec sa femme et sa fille.

Ils sont attirés l'un par l'autre. Irrésistiblement.
C'est une attirance puissante presque destructrice.
Une attirance, un amour qui les poussera à tromper leurs conjoints respectifs.

C'est un roman court et intense. Puissant. Sensuel.

Mais troublant. Peut-être dérangeant ? Cet amour leur fait mal mais surtout, surtout... Si cet amour doit vraiment voir le jour, il doit en passer par l'adultère.

Un petit roman que le lecteur ouvre pour ne le refermer qu'une fois terminé.

Une lecture que je vous conseille.


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Un amour sans limite pour elle
Une passion sans limite pour lui
Tous les deux ont couru sur les bords du précipice les yeux fermés guidés par leur désir impérieux.
Un livre incroyable et troublant
Une passion que certain ne pourront pas comprendre
Un amour étrange
Dans tous les cas un très bon livre
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On ne connait pas son nom. Mais l'on sait tout de la passion amoureuse qui va la dévorer.
Elle vient d'emménager avec son homme dans un superbe loft parisien. Elle est sur le point de se marier. Elle croise son voisin. Une rencontre qui va tout changer. Un seul regard pour la faire basculer dans une passion amoureuse. Plus rien de compte à part lui.


J'ai dévoré ce livre. J'ai adoré la plume de Géraldine Dalban-Moreynas. Les phrases sont courtes. L'écriture est très rythmée. Impossible de le lâcher.
J'ai aimé cette histoire. Il y a une expression qui dit « le coeur à ses raisons que la raison ignore », ce livre en est la parfaite illustration.
Deux personnes qui ne doivent pas s'aimer, se désirer mais qui ne peuvent lutter. Impossible de résister. Ce livre nous montre les beaux jours des passions amoureuses. L'excitation de jouer avec le feu sans se faire prendre. La passion c'est aussi des heures sombres. La jalousie, l'attente, les faux espoirs, les désillusions…
Bref, j'ai tout aimé dans ce livre que je vous recommande vivement !
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« On ne meurt pas d'amour « est un cri d'amour, une ode à l'amour, une déclaration d'amour, une véritable passion, une maladie d'amour. Dans son premier roman, Géraldine Dalban-Moreynas parle de la chose la plus universelle qui existe, parle de ce que chacun veut vivre, parle de l'amour, le vrai, le passionnel, le fusionnel, celui qui fait mal, celui qui enchante, celui qui nous tient à la vie, celui qui bouleverse, bouscule, fait trembler, pleurer, vivre! Bien sur, il est également question d'adultère mais l'amour frappe au hasard et ne connaît pas les règles. L'amour nous tombe dessus, quand on s'y attend, quand on s'y attend pas. Quand on est prêt, quand on est pas prêt. Quand on est célibataire, quand on est en couple. On ne sait jamais quand l'amour va arriver. L'amour est surprenant. L'amour est violent. L'amour est interdit. L'amour est puissant. L'amour est faible. L'amour est exigeant. L'amour est simple. L'amour est réciproque. L'amour est douceur.

L'histoire que vivent ses deux personnages est une belle histoire d'amour même si elle fait souffrir. Géraldine Dalban-Moreynas a trouvé les bons mots, les bonnes phrases pour décrire cet amour. Les difficultés de cet amour interdit ne sont pas oubliées bien au contraire. Les joies de cet amour sont puissantes. Pour décrire cela, l'auteure a eu une écriture percutante, poignante, pressée, essoufflée, amoureuse, tendre, sensible. Les mots sont jetés, explosent à la vue du lecteur. Les phrases sont courtes, cinglantes, dans un souffle, une respiration.

« On ne meurt pas d'amour » est un premier roman qui m'a percutée dans le bon sens du terme, où j'ai pu m'y retrouver à certains moments, où j'ai pu envier elle et lui, où la fin ne pouvait être que cette fin!

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Les histoires d'amour finissent mal ... en général !
Ici, c'est inéluctable, quelque chose ne fonctionne pas dans ce couple singulier et le lecteur cherche à comprendre le pourquoi et le comment des choses, sans d'ailleurs trouver de réponse plausible. Sinon que la passion est dévorante et faite pour s'éteindre quand le vent mauvais souffle trop fort. C'est le thème de ce roman, bien construit quoique parfois déroutant.
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Ils habitent dans la même copropriété : elle, en bas, lui au deuxième étage. Elle vit en couple depuis quatre ans, projette de se marier. Il est marié, père d'une petite fille de 2 ans. Ils se croisent, ils se jaugent, ils se cherchent, ils s'attirent comme des aimants. Pourquoi ignorer l'évidence ? Faut-il céder à la tentation ? « Plus tard, ils se diront que c'est à ce moment-là que tout a commencé. Ils se diront qu'il était vain de lutter. Il y a des histoires contre lesquelles on ne lutte pas. »

On ne meurt pas d'amour est un roman sur la passion dévastatrice, celle où les moments de bonheur intense flirtent avec l'envie de crever, celle qui n'épargne ni ceux qui jouent, ni les pièces rapportées. Une banale histoire d'adultère me direz-vous… On a déjà lu ce genre de récit cent douze fois.

Sauf que… Il faut un peu de talent pour que le lecteur adhère à cette histoire qui n'est finalement pas la sienne, encore plus pour qu'il consente à replonger un peu dans ses souvenirs, et autorise ainsi que la mémoire de ses entrailles se réveille…

En faisant le choix narratif de ne donner aucun prénom, c'est il ou elle, Géraldine Dalban-Moreynas autorise l'identification de chacun, et favorise les réminiscences d'un passé peut-être enfoui.

J'ai aimé cette passion qui commence par l'écrit, des sms envoyés, des sms reçus, le pouvoir de choisir les mots qui vont faire naître une relation. C'est beau les mots quand ils sont bien choisis, ça réveille le corps endormi dans une vie engourdie.

Presque chaque fin de chapitre mentionne la date. Cette mélodie métronomique parfaite, qui permet d'estimer le temps où le coeur et le corps exultent, permet aussi la datation du moment où les choses commencent à s'enlaidir. Si l'amour dure 3 ans, la passion, combien de temps dure-t-elle ?

L'auteur décrit avec force émotions ces moments où les amants vivent hors du monde et hors de temps, où rien n'existe plus, où seuls les rendez-vous, clandestins, volés, soustraits comptent, où les instants les plus banals deviennent magiques, où l'amour, lentement, s'immisce sous les pores de la peau, quand dans les vies des autres « elle sent les tensions qui flinguent le quotidien émerger, les frustrations de l'un contre l'autre, de l'un envers l'autre, de l'un à cause de l'autre ? »

Parce que les amants sont d'abord humains, et qu'il est difficile de mettre son cerveau sur pause, d'autres émotions font rapidement leur apparition : le manque, l'absence, la dépendance, la peur. C'est le retour à la réalité. Et la réalité, c'est moche, ça tord le ventre, ça fait vomir, sans empêche de dormir. Dans cette histoire adultérine, il a « mon homme » et « ma femme et ma fille ». La réalité les fait passer de deux à cinq et même si « les histoires secrètes sont toujours romantiques », leurs histoires respectives changent la donne. « Ce n'est que le début de l'enfer ».

J'ai aimé l'écriture simple, sans fioritures qui laisse la part belle aux émotions, les positives, comme les négatives, la passion qui terrasse tout sur son passage, et vient s'écraser en se vidant de sa substance pour laisser place à la souffrance et au néant. Je pourrai écrire que l'auteur dénonce la lâcheté des hommes… « Il est prêt à tout, à tout piétiner, tout renier. Et il renie. Il donne le premier coup de poignard à celle qu'il disait aimer, pour sauver sa peau. » Je ne crois pas que ce soit de cela qu'il s'agisse. Il y a chez « il », plus d'égoïsme que de lâcheté. « Il » a une analyse différente de la situation, il prend les décisions avec sa tête, quand « elle » les prend avec ses tripes. Je ne suis pas parvenue à le détester…

Si la fin est attendue, elle clôt superbement cette histoire passionnelle. À s'en arracher les tripes… La justesse des mots, des procédures, le silence glacé et glaçant font tomber toutes les promesses faites, tous les mots écrits, tous les instants volés.

On ne meurt pas d'amour, non, mais on pourrait. Moi, je pourrais…

Cela pouvait-il finir autrement ? Non, bien sûr que non. C'est toute la beauté de leur histoire.



Lien : https://aude-bouquine.com/20..
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Elle est journaliste, fiancée à un homme très occupé et souvent absent avec qui elle va bientôt se marier. Ils viennent tout juste d'emménager dans un grand loft parisien. Il aura suffi d'un regard à peine échangé avec un nouveau voisin pour que sa vie bascule. Il est marié, a une petite fille. Mais le trouble puissant qu'il a éprouvé en voyant sa voisine fait vaciller son monde. Une femme et un homme, attirés, aimantés, vaincus d'avance par le sentiment indomptable qui les assaille, les fait plier, grignote leurs esprits, dicte leurs gestes, envahit leur monde respectif. A quoi sert de lutter quand l'autre devient un telle évidence ?

Ouvrir On ne meurt pas d'amour, c'est plonger à corps perdu dans une passion dévorante qui épuise les corps et les coeurs. Géraldine Dalban-Moreynas livre, rythmant en métronome, les instants d'une histoire dévastatrice qui, en quelques mois, aura marqué à jamais une femme, un homme, des familles, ébranlant toute certitude, révélant aussi les lâchetés ordinaires. Ce premier roman ne m'a pas particulièrement séduite (sans m'ennuyer pour autant) : il y manque, à mon goût, un brin d'originalité dans le style pour traiter un thème tellement déjà largement rencontré en littérature (et ailleurs).
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Nous sommes à Paris, un jeune couple vient d'emménager dans un loft qu'ils viennent tout juste de retaper. Ils sont plein de projets, ils vont se marier et certainement, faire un bébé. Mais voilà qu'un dimanche, nos amoureux (les personnages n'ont pas de prénoms) vont croiser un autre couple de l'immeuble et c'est la chute. La jeune femme du rez-de-chaussée et l'homme de l'étage se voient, se reconnaissent. Ils savent qu'ils sont en présence de quelque chose de grand. Ils entament alors une relation adultère qui aura raison d'eux.
Le roman se raconte en deux temps. D'abord, la montée en puissance; la naissance d'une passion d'abord platonique (regards surpris au détour de repas entre amis ou en sortant de chez soi...) puis charnelle (découverte d'un nouveau corps, d'une nouvelle façon d'aimer...).
Puis la retombée dans la dure réalité: est-ce-bien réel ? Les sentiments sont là, ils existent? Que va-t-on faire ?
J'ai beaucoup aimé la deuxième partie du roman qui remet les pieds dans la réalité. D'un côté, la prise en main de la situation par la femme qui ouvre les yeux, qui ne veut pas vivre dans le mensonge et qui est prête au sacrifice pour vivre son grand amour. de l'autre, la lâcheté de l'homme, sa peur du changement, ses promesses non tenues.
Merci à NetGalley et aux éditions Plon de m'avoir fait découvrir ce joli roman en avant-première.
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J'ai toujours eu un faible pour les romans sur l'adultère. Comprendre les mécanismes qui y poussent, les enjeux, les conséquences. Découvrir ce qu'un geste anodin peut engendrer, déclencher, ou simplement cacher. Ça me fascine autant que ça m'effraie. Ce roman avait donc, sur le papier, tout pour me plaire. Je n'en ressors absolument pas convaincue.

D'abord, comme souligné par beaucoup, l'utilisation des pronoms impersonnels « il/lui » et « elle » me détache des personnages principaux, met une certaine distance avec eux et finalement avec toute cette histoire d'amour. L'écriture est aseptisée, sans émotion aucune, trop hachée à mon goût.
Ensuite, je crois que je sature des romans sur ces « bobos parisiens » (sans condescendance), dont le quotidien est trop éloigné du mien et qui ne me fait pas rêver. Je préfère les contextes plus simples, plus campagnes.

Les premiers chapitres m'ont pourtant bien plu, relatant la tension, la proximité, les premières limites qu'on franchit sans totalement franchir la ligne rouge, les messages, l'impatience. Puis lorsque tout bascule, je n'arrive plus à accrocher. Je n'aime pas leur histoire d'amour, je ne la comprends pas, je n'y crois pas. J'ai l'impression de voir deux gamins pourris gâtés, incapables de choisir, faisant un caprice, à vouloir le beurre et l'argent du beurre (surtout lui !).

La fin m'a elle déroutée. Ultime doigt d'honneur de la vie à cette histoire d'amour qui n'en était pas une, forçant un choix à se faire dans des circonstances plutôt éprouvantes. Je ne sais quoi en penser.

Ce petit roman se lit en quelques heures seulement, et heureusement.
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