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EAN : 9782290157671
288 pages
J'ai lu (12/09/2018)
4.25/5   60 notes
Résumé :
Depuis quinze ans, les femmes occidentales se détournent de plus en plus de la pilule. Lassées de subir les effets secondaires de ce médicament puissant – dépression, baisse de libido, migraines etc. –, elles sont nombreuses aujourd’hui à refuser ces souffrances. Face à cette désaffection, certains crient au retour en arrière. Pourtant, il devient difficile de fermer les yeux sur les effets de la contraception hormonale : produit cancérigène de première catégorie, p... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Tout d'abord, quelques mots sur la formulation du titre : l'utilisation de la première personne du singulier induisant une dimension subjective me semble tout à faire appropriée car, finalement, « Je » peut aussi bien être n'importe quelle femme. Cela permet au lecteur, quel qu'il soit, de s'identifier, de s'impliquer dès la lecture du titre, qui se trouve être en cursive, renforçant cet effet « personnel ». L'intérêt est toujours accru lorsque l'on se sent concerné. Ce titre reflète déjà la vision, la voix qui éclaire tout le contenu du livre. La voix déterminée d'une femme, son auteure bien sûr, mais aussi de toute femme désirant se joindre à un changement qui se veut nécessaire, car c'est dans l'union que ce dernier sera possible.
Ensuite, le sous-titre aussi a son importance. Malgré l'apparence graphique de la couverture pouvant sembler « ludique », « légère » (police en cursive comme sur certains romans, agencement esthétique des pilules sur fond bleu), le livre est à prendre au sérieux comme l'indique le sous-titre, comme un rappel, avec ses avertissements des risques. le dos du livre indique aussi le genre : « document ». Ainsi, le livre, de par sa simple couverture, fait déjà ce que ne fait aucune boîte de médicament : les effets secondaires apparaissent directement sur l'emballage.
L'accès à l'information ne doit pas rebuter. En ce sens, le côté coloré et esthétique de la couverture reste efficace car il doit attirer et rassembler le maximum de lectrices et de lecteurs.
La préface écrite par le Dr Spiroux de Vendômois, président du CRIIGEN, docteur en médecine, spécialisé en médecine générale et en médecine environnementale, témoigne de l'appui de professionnels, d'experts. L'enquête de l'auteure est validée à travers cette préface qui représente une bonne pré-introduction à un sujet épineux essentiel.
Concernant le contenu du livre en lui-même, j'ai plusieurs choses à dire.
Déjà, ce qui saute aux yeux, c'est la richesse des sources de recherches sur lesquelles s'est bâtie l'enquête. Il n'y a qu'à regarder les notes de bas de pages.
Aussi, la précision et l'exhaustivité des statistiques est bien visible, c'est du concret.
Je me suis surprise à me passionner lors de la lecture de tout le contexte historique autour de la naissance de la pilule, un vrai thriller. Ce développement historique est édifiant et nécessaire à cette enquête car les problèmes que rencontrent les femmes aujourd'hui sont la suite de ce passé toujours étrangement présent. Une maison ne tiendra jamais le passage du temps si ses fondations sont pourries. Elle abritera peut-être une génération mais finira par s'écrouler tôt ou tard. Je me suis sentie à la fois effrayée et révoltée par le rôle des eugénistes et la création de la pilule comme un outil de manipulation des masses.
J'ai apprécié les différentes parties du livre titrées, toujours précédées de bonnes phrases de transition qui guident la lecture, témoins du soin apporté à l'écriture de ce livre.
J'aimerais aussi énoncer un autre point fort de ce livre qui n'est pas juste une simple énonciation de faits, ni une simple enquête. C'est un appel à la communication, à un débat de nouvelles idées. En effet, le contexte est d'abord posé, puis développé, puis questionné. Mais ce n'est pas tout, il offre une « perspective constructive ». Ce livre fait comprendre l'urgence, ou les urgences, de la situation puis énonce, fait des propositions de changement, offre une diversité de nouvelles réflexions. Pour moi, c'est un appel. L'appel de milliers de voix réuni sous la plume volontaire de Sabrina. Et les hommes n'en sont pas du tout exclus, bien au contraire, ils s'y voient conviés. Plus qu'une vision féministe ou écologiste, j'y vois du bon sens.
Je trouve que « J'arrête la pilule » remplit bien son rôle d' « actualisation du savoir ».
Le ton du livre, le langage, est clair, direct, énergique mais sage. Il ne sert pas seulement à convaincre mais aussi à encourager le lecteur à remettre en question ce qui est et à penser par lui-même, en dehors de tout carcan. de plus, le livre fait encore une fois ce que ne font pas les médicaments (ni la plupart des médecins) : il donne des conseils. Comme le précise l'auteure, elle n'est pas « anti-pilule », elle offre donc des conseils à celles qui prennent la pilule, afin d'en limiter les effets secondaires. La lecture de ce livre fournit le minimum de l'accompagnement et du soutien dont devrait bénéficier chaque femme en mauvaise posture. de ce fait, la création du classement des méthodes contraceptives est un super outil, à la fin du livre.
J'ai bien aimé l'utilisation personnelle du « je » au tout début puis à la toute fin du livre, comme une boucle, un cycle, qui avec la mention de ta grand-mère rappelle le cycle de la vie et par conséquent l'importance de la réconciliation intergénérationnelle en conclusion.
Enfin, l'association de l'écologie et du féminisme me semble à moi aussi essentielle et extrêmement logique. L'essentiel restera toujours la vie.
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Merci Sabrina Debusquat d'avoir su mettre des mots sur cette petite révolution qui monte en moi depuis un an.
Ce livre est une révélation. Il m'a permis de me recentrer, de mettre à jour mes envies, de retrouver le contrôle de mon corps. C'est le livre dont j'avais besoin. Celui qui manquait à ma bibliothèque d'apprentie féministe.
Je sais que Babelio ne sert pas à déballer sa vie et encore moins à témoigner sur la relation que l'on a avec son corps. Mais voilà, pour cette critique de livre, je vais faire une exception.
Voilà maintenant un an que j'ai arrêté la pilule suite à un mal-être grandissant. Je n'arrivais pas forcément à mettre des mots dessus à l'époque, mais en résumé, j'avais l'impression d'avoir perdu le contrôle de mon corps. Bouffées de chaleur, perte de cheveux, perte de libido...J'étais prisonnière de quelque chose qui me dépassait.
La pilule m'a été imposée par ma gynécologue afin d'éradiquer mon acné, puis approuvée par ma mère qui n'avait plus besoin de se préoccuper de ma sexualité. Je n'ai jamais dit non, je n'ai jamais dit oui. J'ai subi. Ce petit cachet est alors devenu mon quotidien pendant dix longues années et il a amené avec lui son lot de déconvenues. Mais je n'ai pas tout de suite fait le rapprochement vu qu'elles se sont installées là doucement, petit à petit, grignotant mon bien-être.
Et un jour, après un enième changement de pilule, une énième perte de cheveux catastrophique, j'ai tout arrêté.
Depuis je réapprends à aimer mon corps, sans bouffée de chaleur, sans perte de cheveux. J'ai gagné une nouvelle liberté que je n'osais pas exprimer de peur d'être jugée par mon entourage.
Le livre de Sabrina Debusquat permet d'exprimer tout ce qu'une génération de jeune femme n'ose dire de peur d'affronter le regard des autres, de peur de contredire une autre génération qui s'est battue pour cette merveilleuse pilule. Mais les choses évoluent, les besoins aussi, il est temps d'écouter de nouveau son corps et d'engager un nouveau combat.
Merci Sabrina Debusquat et bravo !
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J'ai trouvé beaucoup d'informations intéressantes dans ce livre, et me suis rendue compte que j'avais une vision faussée de l'arrivée de la pilule. Pour moi, c'était quelque chose de post 68, dans un contexte de libéralisation de la femme.
Hors, la pilule est un pur produit post colonialisme. Il est à noter une part importante de l'eugénisme dans l'histoire de la pilule, en effet sous prétexte de défendre les droits des femmes, cette dernière a vu le jour grâce a un mouvement politique et idéologique (et grâce notamment à Margareth Sanger, une infirmière américaine et féministe et un biologiste Monsieur Picpus).

On a des doutes sur la fiabilité des tests réalisés par la société qui a créé la pilule. Cette dernière avait des liens politiques et peu de regard critique, notamment de la part de l'organisme américain qui attribue les autorisations de mise sur le marché des médicaments aux USA.
Chose intéressante également des essais de contraception ont été effectués sur les hommes pour éradiquer l'homosexualité, mais en raison d'une atrophie des testicules, ces tests ont été arrêtés. En revanche, le nombre d'effets secondaires sur les femmes, cela n'inquiète personne!
On voit donc que nous ne sommes pas dans l'imagerie que l'on peut avoir sur ce sujet.

Une baisse de la natalité était déjà présente en 1870, il n'y avait donc pas d'effet de la pilule, c'est la connaissance des couples qui ont permis cette baisse. Avec la pilule on est passé de 2,6 à 2 enfants par femme. La pilule renforce l'efficacité de la contraception mais c'est surtout l'attitude des femmes et leur volonté de conquête de liberté qui ont fait évoluer les choses.

C'est un certain progrès, mais de très nombreuses femmes se plaignent d'effets secondaires, que les médecins se plaisent à minimiser voire à faire croire à l'affabulation.
Attention, l'effet de la pilule dure jusqu'à 20 ans après son arrêt, les hormones se stockent dans les graisses et quand une femme est enceinte ou qu'elle a besoin d'énergie, les graisses se libèrent et, les hormones synthétiques circulent dans le corps.
On note également qu'une carence en zinc induite par la pilule reste une piste pour l'explication de l'autisme.
Enfin, les hormones dans la pilule sont des perturbateurs endocriniens et sont pour autant considérés comme un médicament. À noter que le bisphénol est 1000 fois moins puissant qu'une des molécules de la pilule. Cette dernière associée à des progestatifs, décuplent l'action de cette molécule.
On voit ainsi des malformations et une féminisation des espèces aquatiques, mais aussi au-delà des rivières.
Donc la molécule EE2 est un perturbateur endocrinien, et s'il s'allie avec un autre, il y a un effet cocktail (exemple manger une pomme avec des pesticides et prendre la pilule).

Ainsi, comme je l'ai dit, beaucoup d'informations très intéressantes sur l'histoire de la pilule, mais aussi ces effets peu connus, car ne concernent que les femmes, donc "faudrait savoir ce qu'elles veulent "...! L'auteure nous met en garde sur de nombreux points, tout en spécifiant bien ne pas avoir la solution miracle. Mais nous sommes une nouvelle génération qui fait plus attention à ce qu'elle mange, consomme et ingère, donc c'est un appel pour que l'on ne se laisse pas dicter ce que l'on ressent au fond de nous, mais aussi et surtout pour que les autres générations poursuivent ce combat de liberté.
Le petit guide à la fin du livre qui répertorie toutes les méthodes contraceptives et leur efficacité est très instructif.
Seul bémol, si on apprend plein de choses, les 100 dernières pages sont très redondantes.
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Le sujet reste encore discret et pourtant il devient de plus en plus omniprésent dans les conversations entre femmes.

La pilule.

Ce moyen de contraception révolutionnaire, au moment de sa mise sur le marché, a changé la sexualité des femmes. Enfin, c'est ce que l'on nous a toujours dit. Une femme sous pilule est une femme libre de vivre sa sexualité comme elle l'entend. Une femme qui ne risque pas de tomber enceinte à tout va. Une femme qui a le contrôle de son corps…

Et si en réalité, c'était tout le contraire.

Car, finalement, au moment où la pilule a été mise en vente, quel recul avait la communauté scientifique pour assurer aux femmes que c'était vraiment le moyen de contraception idéal.

Quand on constate aujourd'hui, le nombre de scandales qui émerge autour de la pilule (pilule de 3ème et 4ème génération retirée de la vente, effets secondaires impressionnants et dont la liste ne cesse de s'allonger…) ne cesse d'augmenter même si la presse a naturellement d'autres chats à fouetter. A moins de s'intéresser à la question, on reste dans un flou artistique. Ce qui n'empêche pas les femmes de la remettre en question et de favoriser d'autres moyens comme le DIU, l'anneau ou encore l'implant…

C'est pour cela que le livre de Sabrina Debusquat m'a tout de suite attirée. J'arrête la pilule dresse un portrait sans concession de ce moyen de contraception et des autres aussi.

Je rejoins l'auteur sur un point. Comment aujourd'hui, alors que l'on cherche à être plus respectueux de notre corps, qu'on est soucieux de tout ce que l'on ingère et des effets que cela peut avoir sur nous, continuons-nous à avaler bêtement cette petite pilule sans broncher ?

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Lien : http://runmyworld.fr/arreter..
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C'est un livre nécessaire que toute femme prenant une contraception devrait lire (ou toute jeune femme sur le point d'en prendre une) car il informe notamment sur les dangers que peut représenter ce choix mais également sur son histoire et sur ce qu'elle représente dans l'histoire des femmes. La contraception est un point noir en ce qui concerne l'égalité des sexes, c'est toujours à la femme de supporter ces désagréments même si l'homme a tout à fait sa part de responsabilité également. Il est temps que les moeurs changent et que les femmes se libèrent des effets secondaires et des conséquences néfastes que peuvent provoquer la prise d'hormones. Nos mères et nos grand mères se sont battues dans le passé pour l'avortement, le combat de notre génération est celui de réclamer une contraception saine, sans effets secondaires, et de manière générale une contraception plus égalitaire. Ce livre traite également de toutes les autres formes de contraception existantes et des dégâts de ce médicament sur l'environnement. Il est très bien écrit, je ressors de cette lecture beaucoup plus instruite sur le sujet et il me permet d'avoir des arguments à l'appui quand on parle avec des amies ou bien lors d'un débat. Ce n'est pas aussi prenant d'un roman je vous l'accorde, mais certaines histoires sont tellement dingues qu'on ne lâche pas le bouquin ! (Surtout au début) Donc vraiment foncez!
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Citations et extraits (44) Voir plus Ajouter une citation
Bien que de nombreuses féministes refusent de l’entendre, cette remise en question est avant tout opérée par les femmes elles-mêmes. En arrêtant la pilule, en mettant fin au tabou des règles ou en dénonçant les violences gynécologiques, une nouvelle génération de femmes nous bouscule avec un féminisme sans concession. Leur façon d’exiger que leur intégrité corporelle et leur opinion ne soient pas des options force à constater que cela n’était pas totalement le cas jusque-là.
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Ces témoignages permettent de prendre conscience des concessions, voire des sacrifices, que font les femmes pour assumer la charge contraceptive. Le « prix de l’égalité », en quelque sorte. Et ce n’est pas un phénomène isolé ou mineur, comme on le croit trop souvent. Ces effets sont une réalité pour la majeure partie des utilisatrices de la contraception hormonale. Sur la durée de prise, une utilisatrice va souvent subir au moins un effet secondaire, la plupart en subiront plusieurs. Et si certaines femmes perçoivent immédiatement des effets secondaires, de nombreuses autres ne les découvrent que par hasard lorsqu’elles arrêtent la pilule. En effet, les effets secondaires des hormones se manifestent souvent si progressivement que les utilisatrices ne se rendent pas compte que leur pilule en est la cause.
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Malgré les espoirs louables que portait la pilule, rien n’effacera le fait que la misogynie et le paternalisme de l’époque ont permis de passer au-dessus outre toutes les mises en garde quant à sa sûreté. Les inventeurs de la pilule ont sciemment choisi de passer sous silence tout ce qui pourrait donner une image négative de leur produit et les considérations politiques et sociales ont achevé d’étouffer tout esprit critique. Cet état d’esprit initial contribue encore à l’aura d’intouchable qui entoure la contraception orale.
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La pilule et les contraceptions hormonales ont apporté de très bonnes comme de très mauvaises choses. Elles troquent le risque de grossesse contre la roulette russe des effets secondaires. Elles font prendre des risques, parfois intolérables, à des jeunes femmes en parfaite santé mais elles apportent également une efficacité que beaucoup apprécient. Alors, certes, nombreux seront ceux qui clameront que toute tentative d’enrayer « ce pour quoi nous sommes faits » se paie. Que nous devons nous y contraindre. Je m’efforce d’avoir une vision plus progressiste et optimiste. Oui, je crois la nature merveilleusement bien conçue. Elle recèle de nombreux mystères qui nous posent des questions métaphysiques vertigineuses. Mais, je me rappelle aussi que cette même humanité croyait auparavant inéluctables les maladies qui limitaient notre vie à une cinquantaine d’années. Heureusement qu’à l’époque certains rêveurs, certains « fous » ont persisté à lutter contre le « cruel destin ». Et il n’y a pas de raison qu’il n’en soit pas ainsi pour la contraception.
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Le malaise est si profond qu’aujourd’hui des femmes
préfèrent aller s’informer sur Internet qu’auprès de leur
médecin… Est-ce que ce n’est pas là mon rôle de journaliste, que de porter aux yeux de tous un tel phénomène?
Ce n’est pas acceptable qu’on laisse les femmes seules et
démunies comme ça. Pas acceptable qu’on leur rétorque
« c’est dans votre tête» quand elles disent qu’elles ne supportent pas leur pilule. Je veux que les femmes puissent choisir leur contraceptif en toute conscience. Sans zone d’ombre. Je n’ai pas à les juger ou à leur dire quoi penser. Personne ne devrait le faire. Si les Françaises, en 2017, se détournent de la pilule, il y a des raisons. Je veux comprendre ces raisons et les exposer sur la place publique pour que plus personne ne puisse les ignorer. J’aimerais répondre concrètement aux questions auxquelles ne répondent ni leurs docteurs ni Internet. En fait, je crois que le plus grand des féminismes, c’est de répondre aux demandes qu’expriment les femmes sans chercher à penser à leur place.
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Vidéo de Sabrina Debusquat
Focus Info
Sabrina Debusquat - " j'arrête la pilule " La journaliste Nidhya Paliakara a reçu une confrère, Sabrina Debusquat, dans son Grand Angle du JT sur TV5Monde. Sabrina Debusquat est l'auteur de "j'arrête la pilule" paru le 6 septembre.
Son livre de 300 pages est le fruit d'une année d'enquête sur le sujet de la contracteption féminine. Son enquête questionne, - sans juger du bien fondé de la contraception féminine - les dangers probables, réels et méconnus, de la pilule contraceptive sur le corps et l'environnement.
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