après des années de bon et loyaux service.l,agent de renseignement Keith Landry est brutalement remercié pour cause de fin de guerre froide.il quitte Washington et revient chez lui, a spencerville décidé à tourner le dos à la violence,
et de me plus jamais tuer
mais en retrouvant la terre de ses ancêtres, il retrouve surtout Annie prentis son amour de jeunesse.le vit-nam les ont séparés et Annie a épousé l, homme le plus puissant de la ville,
individu brutal et maladivement jaloux.pour
libérer Annie des griffes de ce mari sadique,Keith va devoir livrer son dernier combat, le plus rude et le plus personnel.un combat qui va l,obliger a rompre son serment, et a faire appel à tous ses talents d,ancien soldat et d,agent de renseignement.
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Contrairement à ce que le titre et le résumé peuvent laisser penser, on est plus dans une aventure "sentimentale" que dans un vrai thriller plein d'action. Bien sur, Landry a un passé d'agent secret et courtiser la femme du sheriff (qui partage ses sentiments) va envenimer les choses. D'autant que ledit sheriff est (j'allais dire évidemment) bête et méchant et tout puissant dans le comté. J'aurais pu dire "évidemment" car en fait l'histoire est assez classique, vu et revu dans des tas de series ou téléfilm: le beau héros va vouloir sauver la pauvre fille victime d'un mari brutal et tout puissant. Alors c'est bien raconté, mais c'est un peu trop "classique" pour moi, si encore Landry se servait de son expérience passé pour lutter (un affrontement à la Rambo ou le pro echappe à la traque des forces de l'ordre par exemple) cela aurait pu donner un autre atrait mais non, même la fuite du couple illégitime enfin venu après bien des pages reste relativement plate. Une mauvaise surprise chez un auteur dont j'ai beaucoup aimé d'autres livres
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Il n'y avait jamais rien eu d'autre,dans cette relation épistolaire,qu'une amitié profonde fortifiée par le temps sauf peut être une fois de ci de la,une lettre rédigée aux heures tardives de la nuit,ou surgissait une ligne ou deux qui contenaient plus que le simple "salut comment va?".Un jour qu'il séjournait en Italie,il lui avait avoue:"J'ai vu le Colisée de nuit pour la première fois.J'aurais voulu que tu sois la."
Elle avait répondu : je l'ai vu quand j’étais en Europe, Keith,et tu sais quoi?j'ai eu la même pensée que toi."
les mort gouverne les vivant.
Le Déshonneur d'Elisabeth Campbell