L’Éternité s’accomplirait-elle avec nos traces de passage invectivant l’oubli ?
Le poème se veut vie dans les reflets possibles, le poète ne pouvant se satisfaire de l’érosion du temps à laisser disparaître les gestes.
C’est en cela que Patrick Devaux propose des « baisers soufflés » entre mémoire, écho, quais de gare et futur avec, peut-être, ce train qui emmène « la passagère de l’oubli ».