Neuvième tome de Witch, probablement le dernier tome de la saga (en romans) que j'ai lu étant plus jeune, ou du moins celui dont je me souviens spontanément... Les tomes suivants seront donc des découvertes de cette adaptation en romans jeunesse.
Cette fois, nous retrouvons les cinq Gardiennes qui doivent affronter quelque chose de terrible : un contrôle de français pour Irma, crucial pour obtenir un rôle dans la pièce de théâtre... Pièce montée et réalisée par Hay Lin, à la demande de la directrice. La jeune fille a décidé de mettre en scène un conte asiatique raconté par sa mère, une histoire qui résonne étrangement avec les pouvoirs des Witch...
Si j'adorais ce tome de Witch - notamment la bande dessinée, que j'ai relue plus souvent - quand j'étais plus jeune, j'étais curieuse de voir ce que j'allais en penser adulte. En effet, je craignais que ce conte asiatique et la manière dont l'univers expose tout cela soit du racisme ordinaire. Ça n'a pas été le cas, du moins je n'en ai pas eu l'impression. Toutefois, il est vraiment dommage de ne pas donner d'indications du pays originaire de ce fameux conte...
De la même façon, la grand-mère de Hay Lin qui parle dans une "vieille langue asiatique". Oui, mais encore ? Ça n'avait pas vraiment plus de sens que de parler d'une vieille langue européenne, par exemple. Mais mis à part ces points qui m'ont agacée, je n'ai pas relevé d'autres choses dérangeantes.
C'est une des relectures des romans les moins intéressantes selon moi, puisque les illustrations, dans ce récit, apportaient beaucoup. Il y a moins d'action et je n'ai pas trouvé tant d'intérêt à l'intrigue par rapport aux précédents tomes. Toutefois, j'ai passé un bon moment !
Commenter  J’apprécie         160
Tome lu en une soirée, malgré la langue anglaise. Je commence à bien comprendre et à ne plus avoir besoin de dictionnaire, je suis tellement contente !!! Ce tome finalise le premier cycle. Forcément tout et bien qui finit bien, mais avec quelques rebondissements à faire fondre les coeurs les plus durs...
Commenter  J’apprécie         10
Mais les appétits de Phobos ne s'arrêtaient pas là. Il avait décidé ensuite de s'en prendre à la Terre. Il voulait se nourrir de sa beauté et de tout ce qu'elle avait de bon. Ce qui conduirait inéluctablement à la destruction de la planète.
Mickey - La souris du futur (Walt Disney 100 ans)