Les nuits blanches

« Les Nuits Blanches » est un récit plus court de Dostoïevski. Je l'avais lu avant de visiter la ville fin juin – début juillet, pendant ces quelques jours où le soleil ne se couche pas à Saint-Pétersbourg et où la foule se promène vers trois ou quatre heures du matin sur la Perspective Nevski, sortant des restaurants et cafés. C'est l'histoire d'un jeune homme désoeuvré qui déambule le long des canaux pétersbourgeois pendant les nuits blanches. Sur un pont, il aperçoit une jeune fille qui pleure. Il n'ose l'approcher, jusqu'à ce qu'il s'interpose quand un ivrogne cherche à l'importuner. Il raccompagne Nastenska dans sa maison et elle se confie à lui…
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Un homme solitaire rencontre dans la nuit une jeune femme qui se faisait embêter par un homme ivre, il décida de l'aider. Cette rencontre va bouleverser sa vie.

C'est un petit roman d'amour dans les rues de Pétersbourg, un mélange d'émotions entre amour et tristesse.

La narration de cette nouvelle est pure, j'avais l'impression que Dostoïevski nous racontait son propre rêve.

J'ai lu rapidement ce livre, car j'ai beaucoup aimé, j'étais comme absorbé par cette histoire.

c'est trop beau, je suis emotion, la minute entière de félicité m'a suffit, comment ça j'ai pas le droit de mettre pas le nombre de mots que je veux je veux plus mettre de mots mais je suis obligée rahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh

J'ai lu ce petit roman « tout doux » en transition entre deux lectures plus lourdes, résultat je me suis bien trompé !
Ce récit m'a bouleversé.
Dostoïevski maitrise son art à la perfection et m'a fait passer par tous les états intérieur.
Un chef-d'oeuvre pour ma part qui mérite réflexion et attention.

Mon premier livre sur une histoire d'amour, je ne savais pas à quoi m'attendre et j'ai été agréablement surpris. On y découvre un homme solitaire qui a cessé de croire en l'amour. J'ai beaucoup aimé le fait que l'histoire se déroule sur seulement 5 jours, on peut voir un réel changement d'émotion par lesquels passe le protagoniste. Et bien qu'il est toutes les raisons du monde d'être triste ou d'en vouloir à la terre entière a la fin du livre, il choisit de voir le côté positif et le verre à moitié plein avec cette phrase que j'adore et qui m'a marqué : « mon dieu ! Une pleine minute de béatitude ! N'est-ce pas assez pour toute une vie d'homme ?… » j'ai en revanche pris aucun plaisir a lire, dans mon édition, la lecture par michel del castillo, j'ai l'impression que ça n'ajoute rien au livre et que c'est uniquement la pour rajouter des pages. Mais l'histoire est très enrichissante et rapide

Cette longue nouvelle est tendre et touchante. Je n'avais jamais lu d'ouvrages de cet auteur et j'aimerai en découvrir davantage. La plume est belle, un peu lyrique et les sentiments romantiques. On se balade avec le jeune homme entre rêveries et amour naissant. Une belle lecture à découvrir le temps d'une soirée ou d'un après-midi cosy.
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Après "La femme d'un autre et le mari sous le lit" j'enchaine avec mon deuxieme Dostoïevski, Les nuits blanches . Largement supérieur au premier (que je n'avais vraiment pas aimer), ce livre nous conte l'histoire d'un homme errant dans les rues la nuit. Un soir, il croise une jeune femme en sanglot. Et il finis par oser l'aborder. L'amour est le sujet principale. La promesse, la dévotion, l'abandon, l'amour est partout. J'ai beaucoup aimer ce court texte de cet auteur russe. J'espère être prête pour ses pavés qui, je l'espère, seront eux aussi d'une tel plume !