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EAN : 9782359736533
216 pages
Ravet-Anceau (28/08/2017)
4.29/5   54 notes
Résumé :
Borg traque inlassablement sa princesse. Il a l’espoir de trouver en de très jeunes filles la pureté et l’innocence auxquelles il aspire tant. Mais, invariablement, ses proies le déçoivent. Surgit alors Slavko, son double diabolique. Lui se charge du sale boulot. Pour multiplier les chances de trouver une véritable princesse, Borg décide de gagner une grande ville : Caen. C’est là que son destin croise celui de Jean. L’homme est un ancien mercenaire aguerri rongé pa... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (38) Voir plus Ajouter une critique
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« Ce n'est pas une fable de Jean de la Fontaine 😉 »

Je pensais que j'avais compris la structuration d'écriture : simple et prenante, je continuais avec enthousiasme car je voulais savoir la fin de cette histoire dont j'avais deux ou trois idées en tête. Rien de tout cela, le roman est prenant oui, facile à lire oui mais je me suis faite plus que surprendre et à plusieurs reprises par l'écrivain alors que je pensais savoir. C'est de loin tranquille comme je le pensais au début. Il y a des rebondissements et une fin que je n'ai pas vu venir. Une grande partie du roman en huis clos augmente l'intensité du suspense notamment lorsqu'ils et elle se retrouvent dans la même pièce. Peu de personnages, on ne s'y perd pas, cela permet à l'auteur d'approfondir ces personnages dont certains leur côté obscur. Des personnages sont torturés de l'intérieur mais pas seulement, l'obstination de la prostituée me questionnait, je me demandais quel loup cela cachait.

L'intrigue se déroule en Normandie, un peu dans l'Orne et très vite à Caen (Calvados). L'écriture est fluide, il y a du rythme et des surprises, c'est imprévisible, et la fin est magistrale !

Bravo Christophe même un très grand bravo ! Je lirai d'autres de tes romans surtout L'année des loups. J'ai rencontré à plusieurs occasions cet écrivain, il n'est pas que doué, aussi il est abordable et drôle. Je vous recommande ce premier thriller de Christophe Dubourg !

Les loups et l'agneau
de Christophe Dubourg
Éditions Magnus (2023)
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Alerte ! Conquise ! Enchantée ! Coup de coeur ! (oui oui, tout ça !)

Je dégaine ma catégorie « livre qui décoiffe ta tête de lectrice sans te faire bouger de ton canapé ! » !


La vie est faite de rencontres…
Et il y en a certaines qu'on préférerait éviter…

Borg, est un personnage dérangeant, profondément malsain, il est celui qui fera basculer la vie de plusieurs personnes uniquement parce qu'elles se trouveront sur son chemin. Il est une espèce de cinglé, en rupture totale avec la réalité, schizophrène et obnubilé par la recherche de celle qu'il appelle « sa princesse », sorte d'idéal féminin. C'est bien d'avoir un idéal féminin, c'est moins bien quand elle a 8 ans et qu'il prévoit de l'enlever. Il n'est pas à la recherche d'amour non, il est à la recherche d'une proie pour assouvir ses fantasmes… Je ne sais pas si on peut vraiment ça appeler ça un fantasme, une obsession peut-être… Toute sa vie tournera autour de ça, il partira même vivre dans une grande ville uniquement dans ce but. Et lorsqu'il trouve sa cible, commence alors une traque sans merci pour s'en emparer. Il est de ceux qu'on ne voudrait pas croiser au détour d'une rue sombre un soir alors qu'on se balade seule dans la rue. Sous la plume de Christophe Dubourg il prendra forme, devenant terriblement réaliste et crédible grâce à des procédés d'écriture tels que l'introspection ou les flash-back, et pas de doute, mesdames, que si vous êtes un peu angoissée comme moi à l'idée de croiser un jour la route d'un psychopathe (mes lectures n'aident pas!), vous éprouverez une certaine inquiétude à la lecture de ce livre.

Ce qui procurera également un sentiment de malaise chez le lecteur angoissé, c'est quand il se rendra compte des dangers qui peuvent survenir à chaque instant de sa vie, même quand il n'y est pour rien et qu'il n'est en rien concerné par les histoires de vie des gens qu'il croise par hasard ; on est en fait juste là au mauvais endroit, au mauvais moment, et on se retrouve embarqué bien malgré soi dans quelque chose de terrible. Ici, deux personnages vont en faire les frais. le premier est une jeune prostituée qui en a trop vu, le second est un personnage que nous suivons en parallèle de l'histoire de Borg, Robert. Ce dernier, loin d'être un enfant de coeur, est également un chasseur, mais d'un autre genre que Borg car lui, il tue sur commande et pour une grosse liasse de billets. Et quand le chasseur devient la proie, c'est tout son monde qui s'écroule. Il ne sait pas comment réagir dans sa position de victime, il y aura une inversion des rôles, car c'est lui cette fois qui est devenu la personne traquée, et qu'il devra apprendre à se défendre pour s'en sortir.


[ Un premier roman MA-GI-STRAL ! ]

N'ayons pas peur des mots, j'ai adoré ce thriller qui se lit d'une traite en une soirée, et j'ai peine à croire qu'il s'agit du premier livre de l'auteur tant j'ai trouvé l'écriture aboutie et le travail réalisé pour provoquer un sentiment intense d'angoisse parfaitement maîtrisé.

L'auteur joue avec le huis-clos pour créer un cadre angoissant et oppressant, sombre à souhait, qui m'a donné l'impression d'être enfermée dans une sorte de catacombes sans pouvoir en sortir. C'est noir, c'est lugubre, ça suinte l'humidité qui sent mauvais, et l'auteur réussi parfaitement à vous donner l'impression d'y être ! Je trouve d'ailleurs ce livre très cinématographique, dans le sens où j'ai parfaitement ressenti cette atmosphère, que j'ai vraiment réussi à m'imaginer à la place des personnages car tout y est décrit, et que cela nous donne une lecture très immersive.

Je suis passée par plusieurs sentiments différents durant ma lecture : d'abord l'effarement, devant l'horreur du comportement et des travers de Borg, et puis j'ai lentement basculé dans une tension extrême, provoquée d'une part, par sa personnalité, mais également provoquée par le rythme important et le suspense de tous les diables que nous impose Christophe Dubourg durant l'enfermement des personnages jusqu'au dénouement final.



[ le mot de la fin ]

Un p**ain de talent !

Si vous aimez les personnages tordus à souhait, et que vous éprouvez un certain sadisme à observer les victimes qui s'acharnent avec l'énergie du désespoir pour s'en sortir, ce livre est fait pour vous !

Ça faisait un moment que je n'avais pas lu un livre avec une ambiance aussi glauque, et qui vous laisse une impression désagréable une fois la dernière page tournée.

L'auteur, libraire de profession, a réussi le tour de force de séduire la serial lectrice exigeante que je suis, grâce à un premier thriller parfaitement maîtrisé.

Je valide et je recommande évidemment !
Lien : https://anaisseriallectrice...
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Voilà un nouvel auteur qui ira loin s'il continue dans cette voie.

J'ai beaucoup aimé ce thriller, on est jusqu'à la fin surpris des rebondissements, ne les voyant pas venir... et pourtant en y réfléchissant bien cela ne pouvait être qu'une évidence.

Un auteur rencontré par hasard à la librairie au moment de la période spécial (thrillers, policier), en l'écoutant parlé à un journaliste, il m'a donné envi d'en savoir un peu plus sur son livre. Très sympa et à l'écoute, je le remercie pour cette lecture fort agréable.

Un livre que je ne peux que vous conseiller de découvrir.
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Chroniquer revient à donner son point de vue, son ressenti vis-à-vis d'un roman dont on ne connait l'auteur qu'à postériori… parfois. Ici, l'exercice est tout autre. Il convient de faire le même exercice avec le 1er roman d'un copain. La pression est élevée. Pour l'un comme pour moi. Donner son sentiment avec lucidité et recul, franchise et analyse. Mon avis ne vaut que ce pourquoi NigraFolia est fait. le partage de l'expérience littéraire. Alors, en avant. Lâchons les freins et plongeons.

Les loups et l'agneau de Christophe. Christophe Dubourg, chroniqueur normand de Zonelivre passe de l'autre côté. Il saute dans le côté obscur de la force avec un 1er roman noir. Très noir. Il touche ce qui me révulse le plus, ce que je n'ai jamais pu supporter. Sa thématique, l'horreur générée par ceux qui touchent aux enfants. Au sens littéral du terme. Ceux qui les violentent et les tuent.

Pour le synopsis, soit je te renvoie vers la 4ème de couv'.

Mais j'ai bon coeur, alors, saches juste, lecteur attentif qu'il s'agit de Borg. Pas le joueur de tennis. Non ce Borg là, a un double maléfique et une passion. Il veut trouver sa princesse, celle qui le fait fantasmer. le problème est qu'elle prend corps, dans les corps de toutes jeunes filles. Régulièrement déçu par ses proies, il passe la main à son Slavko, son double sanguinaire et sans pitié pour les éliminer. Au détour de sa quête, il croise celui de Jean, un ancien mercenaire torturé par son passé devenu tueur à gages. Et au milieu, il y a Alice, 8 ans et Robert Chevallier, son père et objet du contrat de Jean. le tueur devient une proie, tout comme Christine, une prostituée présente au mauvais endroit, au mauvais moment. Voilà pour ce qui est du contenu. Pour ce qui est de l'histoire… à toi de jouer, lecteur de cette chronique, file faire l'acquisition de ce roman paru chez Ravet-Anceau.

Christophe, homme doux et presque timide, malmène ses personnages torturés dans une sorte d'huis-clos d'où les odeurs nauséabondes viennent percuter les narines du lecteur. Preuve en est que l'on a tous un double maléfique.

Dans un lieu immonde se joue un drame. Sous les yeux du lecteur, se déverse une litanie de violence, d'horreur et d'émotions. Sous les remugles, la décomposition, l'écriture aboutie engendre une tension, une ambiance glauque. le travail de Christophe mène le lecteur en bateau. Il y prend plaisir. Moi, rivé à mon fauteuil, je prends conscience d'un lourd sentiment d'angoisse.

Les personnages peu nombreux sont parfaitement maîtrisés. On sent le travail acharné, les heures passées à les sculpter, les façonner. Dans la glaise, la boue et parfois avec une légère lueur d'espoir.

Borg, est dérangeant, agressif, souillé et corrompu. Jean brouillé par son passé sombre peut-être à la recherche de la rédemption. Restes Christine, Robert et Alice. L'innocence et la tranquillité de la provinciale Caen s'en trouvent malmenées.

Christophe malmène aussi son lecteur. Car Les loups et l'agneau est truffé de surprises jusqu'à la fin. Mais là, motus ! Saches seulement tranquille lecteur de cette chronique que tu n'es pas au bout de ton étonnement. Je n'ose savoir d'où est venue cette inspiration. Fait est que je vais le regarder différemment le gars Dubourg.

En conclusion, c'est un très bon 1er roman qui n'a pas à rougir et tient la comparaison avec une ribambelle d'auteurs reconnus. Comme un bon café, c'est noir et serré. Très noir. Très serré. Un Ristretto. Et pourtant ce roman court et vif se lit avec une facilité déconcertante. Comme quoi, même les copains peuvent être dotés d'une excellente plume.
Lien : https://nigrafoliablog.wordp..
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La Kronik d'Eppy Fanny
Christophe Dubourg, je l'ai rencontré à Noeux les Mines pour l'édition des Mines Noires 2017 où il avait déjà été mis dans la lumière.


Je l'y ai retrouvé avec plaisir cette année et nous avons fait une colo dissipée ensemble. C'était en mai chez les irréductibles Bretons de Plaine-Haute.


Ce livre-là, j'avais très envie de le lire depuis sa parution. C'est chose faite.




L'histoire :


1962, Jean, un barbouze mandaté par le SDECE (devevu la DGSE) fait son job. Sans état d'âme. Il n'en faut pas. Puis tuer le responsable de tant de morts, rien de plus qu'un assassinat supplémentaire.« Juste une rentrée d'argent en guise de bonne conscience pour le travail bien fait ». (Extrait p.15)

1963, une fillette de 13 ans, séductrice et très libre, que son père a du mal à canaliser, est amie avec un « Yougo » Borg. Il est plus âgé, et différent. Pour lui elle est une princesse. Sa princesse. Audrey ne se doute pas que Borg est accompagné, possédé par celui-qui-sait, Slavko. Celui qui sait n'aime pas Audrey. Il est dangereux et lorsqu'il prend le contrôle, totalement, le pire arrive et cette 1ère fois ne sera pas la dernière. « Il n'aimait pas la façon dont ça s'était passé. Non pas qu'il déplorait la mort d'Audrey, non… Il avait aimé jusqu'à ses couinements dans ses derniers instants de vie… Il ne regrettait rien mais se disait juste qu'un meurtre ne s'improvisait pas. Qu'il lui faudrait prendre quelques précautions les prochaines fois. ». (Extrait p.27)

Les années passent. Slavko est toujours dans la tête de Borg et leurs pulsions combinées n'ont rien d'un conte de fée. Les princesses trouvées, chassées, séquestrées qui croisent leur route démoniaque ne rêvent plus au Prince charmant. Ne rêve plus du tout. Elles sont sur le qui-vive ne serait-ce que pour avoir un répit avant que la lumière ne s'éteigne sur elles et ce qu'elles sont devenues.

Extrait p.36 :
« Princesse…
Princesse…
Ce dédale de pourriture.
Mon immonde univers.
Mon enfer.
L'odeur écoeurante qui est aussi la mienne. La chair putréfiée, décomposée, qui pose les jalons de ma trop courte vie.
A vomir… »

Et un jour, l'improbable se produit. Les routes de ces deux prédateurs vont se croiser. L'un vieillissant mais toujours dans le métier, l'autre devenu un adulte redoutable doté d'une force herculéenne et dont la part sombre a grandi d'autant.

23/12/1981 –
« … difficile de ne pas voir l'incendie qui s'est déclenché aux Nouvelles Galeries, un méfait supplémentaire du tueur du vendredi… Encore trop tôt pour l'affirmer. Ce qui est certain en revanche, c'est que le nom du tueur est une fois de plus dans toutes les conversations… » Extrait p.86

« Flash spécial… enlèvement à Caen… Rebondissements dans l'affaire de l'assassin de prostituées… Il semblerait que le tueur ait modifié ses habitudes, changé de méthode… Nous ne parlons plus de meurtre mais également d'enlèvement… » Extrait partiel p. 91

Car Borg n'a pas pu résister. Il a enfin trouvé SA poupée. Celle qu'il attend depuis toujours et peu importent les obstacles, elle est à lui. Là dans son antre, même si pour ce faire il a dû embarquer le père moribond, ainsi que la prostituée qui se trouvait sur son chemin et ce type dangereux dont le regard sent la mort. Sa princesse s'appelle Alice. Son père, Robert Chevallier était la cible de Jean. Pour ce qui est de Christine, la prostituée, disons que ce n'était pas son jour.
Mais voilà, la Princesse reste mutique et refuse de collaborer, le type dangereux n'a pas peur de la mort. Il la fréquente depuis trop longtemps. Et lui aussi refuse de parler.
La colère de Borg gronde. Celle de Slavko déborde. D'abord dans la tête de Borg où il résonne de plus en plus fort. Puis…
Mais les êtres ne sont pas toujours ce qu'ils paraissent, le salut n'est pas toujours au RDV. le pardon non plus.
Christophe nous offre un final inattendu et une histoire très sombre.

C'est un 1er roman prometteur avec quelques maladresses inhérentes à un premier roman, et qui, pour ma part, me le rendent encore plus attachant. Un très bon moment de lecture.
Lien : https://collectifpolar.com/
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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
Les princesses, ça n’existe pas, c’est que dans les films, avait-elle insinué.
Elle était sérieuse, il le savait. Il l’avait regardée longuement, se dandinant d’un pied sur l’autre. Pourtant il n’avait rien répondu, de peur qu’elle se moque. La voir se jouer de lui aurait été un signe de tromperie. Il ne le supportait pas. C’eût été un aveu même de défaite. La peur de perdre sa princesse Elle était sérieuse, il le savait. Il l’avait regardée longuement, se dandinant d’un pied sur l’autre. Pourtant il n’avait rien répondu, de peur qu’elle se moque. La voir se jouer de lui aurait été un signe de tromperie. Il ne le supportait pas. C’eût été un aveu même de défaite. La peur de perdre sa princesse était plus forte que tout.
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Personne ne sait exactement où et quand sont apparues les premières armes à feu. Ce qui est certain en revanche, c’est qu’au fil des siècles, les armes ont toujours exercé un pouvoir de fascination chez l’homme.
L’individu assis contre le mur jauni près de la fenêtre n’y dérogeait pas.
Leur développement, au cours des guerres, est en quelque sorte le reflet de l’évolution de l’humanité : en perpétuelle transformation et toujours prompte à donner la mort.
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« La voix du monstre revient peu après, sonore et sépulcrale. C’est un timbre qui semble sourdre des abysses, tel un monstre des profondeurs. C’est ce que s’imagine Alice. Pourtant, selon les moments où la voix se fait entendre, certaines nuances et intonations semblent différentes. On pourrait presque penser que deux personnes cohabitent dans un même corps.
Deux monstres. Deux ogres. Alice trouve cela étrange. Repliée dans un coin de la caverne, elle serre les mains sur sa poitrine, sanglote en silence ».
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Ça ressemblait à un mariage contre nature, une hérésie. La gaieté des chansons associée aux lieux glauques représentaient une union impossible, aussi opposée que la vie et la mort.
Le temps semblait s’être étiré, pareil à un élastique plus ou moins tendu. La lumière naturelle, le soleil ou la pluie n’effleuraient jamais sa peau, si bien qu’elle ne pouvait pas quantifier le temps qui passe, ni appréhender les saisons.
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Le visage boursouflé par les larmes et le chagrin, elle hurle des paroles incompréhensibles aux badauds qui essaient sans succès de la calmer. Dans sa main, un ours en peluche sourit malgré le drame. Un cliché certes, mais un cliché qui fera la une du Ouest-France du lendemain.
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