AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Le Casse tome 4 sur 7
EAN : 9782756017341
56 pages
Delcourt (25/08/2010)
2.94/5   35 notes
Résumé :
En 1977, l’Angleterre est malade: au plan économique, l’inflation est galopante, les entreprises obsolètes, le chômage en hausse, la livre sterling en baisse ; question morale, la population est partagée entre lutte syndicale et aspiration à l’ordre, la jeunesse attirée par la liberté radicale du mouvement punk. Dans ce contexte, Londres est sur les dents. La Reine Elizabeth ouvre son premier jubilé, tandis que les Sex Pistols, groupe interdit de cité, se prépare à ... >Voir plus
Que lire après Le Casse, tome 4 : La grande escroquerie, Londres, 1977...Voir plus
Le Casse, tome 1 :  Diamond par Hairsine

Le Casse

Trevor Hairsine

3.23★ (487)

7 tomes

Sarah - Dupuis, tome 1 : Les enfants de Salamanca 1/2 par Bec

Sarah - Dupuis

Christophe Bec

3.71★ (73)

2 tomes

Vlad, tome 1 : Igor, mon frère par Swolfs

Vlad

Yves Swolfs

3.37★ (397)

7 tomes

Hauteville House, tome 1 : Zelda par Duval

Hauteville House

Frédéric Duval

3.56★ (1206)

20 tomes

Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Immersion complète dans le Londres de 1977.
Une vague musicale punk incarné par le groupe Sex Pistols,.
Une cargaison importante d'héroïne, exhalant des relents de French Connection...
Un pays qui s'enfonce dans le marasme économique et sociale..
Et une touche so british qui m'a fait passer un excellent moment.
Je n'ai malheureusement pas accroché au graphisme mais j'ai apprécié cette redécouverte de Londres de la fin des années 70.

Commenter  J’apprécie          160
Ce n'est pas le meilleur de la collection : c'est certain. Cependant, ce n'est pas non plus le pire ! Il y a des défauts qui sont certes incontestables. le scénario est par exemple tarabiscoté si bien qu'on a du mal à suivre dans cet enchevêtrement de personnages divers.
Les allers-retour temporels gâchent vraiment le plaisir ainsi que la fluidité de ce récit.

On ne mesure pas réellement l'enjeu du casse : je crois savoir d'après mon interprétation tout à fait subjective qu'il s'agit de voler de grosses quantités de drogues à des parrains de la French Connection sur les docks de Londres à l'occasion des cérémonies du jubilé du couronnement de la Reine et d'un concert rock des Sexpistols : rien que cela ! Je tiens tout de suite à préciser que nous sommes bien dans l'ère qui est un peu antérieure à l'élection de Margaret Tchatcher au poste de Premier Ministre.

Pour les points positifs, on retiendra qu'il y a bien une ambiance très seventies ancrée dans les moeurs. C'est la période des mouvements punks et de la grave crise économique liée au deux chocs pétroliers avec ses millions de chômeurs. On sent poindre une violente critique politique face à la montée de la violence. On comprend surtout ce qui a motivé les anglais à revenir au conservatisme et à casser les syndicats. J'ai bien aimé l'effet boomerang qui se retourne contre le chef de la police fluviale. Nul n'est à l'abri du danger qui guette alors il ne faut pas juger trop hâtivement.

En tout cas, c'est la première fois que je vois brosser un portrait d'une Angleterre d'une période trouble que nous avons déjà un peu oubliée. Cet aspect historique va sauver la bd d'un naufrage programmé.
Commenter  J’apprécie          50
Après l'excellent « Soul Man » ce quatrième tome de la série de one-shots "Le casse" s'avère assez décevant et je me suis d'ailleurs royalement ennuyé lors de la lecture.

C'est dans un univers totalement différent de celui de "Travis" que nous plongent Fred Duval et Christophe Quet. le lecteur se retrouve dans une Angleterre en pleine crise sociale, qui voit émerger le mouvement Punk. L'immersion, à travers les dialogues de Fred Duval et les décors de Christophe Quet, s'avère immédiate et efficace.

C'est au sein de cette atmosphère parfaitement mise en place que les auteurs vont développer un casse sous forme de polar mafieux et sur arrière-fond politique. Entre narcotrafiquants et fans de Sex Pistols qui s'offrent un concert sur la Tamise au moment où la Reine Elizabeth fête son jubilé, les auteurs s'amusent à brouiller les pistes. Entre les nombreux allers-retours, les nombreux personnages, le fond politique et le mouvement Punk, "La grande escroquerie" a finalement beaucoup de mal à émerger. Et même si les auteurs parviennent à préserver l'identité des auteurs du casse jusqu'à la fin, le lecteur a du mal à accrocher au récit.

Le trait plus rough que d'habitude de Christophe Quet et les détails qu'il intègre au sein des décors favorisent l'immersion au sein de ce Londres en pleine crise sociale. Malheureusement, le scénario manque de fluidité et ce quatrième casse a du mal à sortir de la brume londonienne.
Commenter  J’apprécie          10
Quatrième tome de la série mais le troisième que je lis. Comme les histoires sont indépendantes, cela ne pose pas de problème. Toujours le thème du casse…. Cette fois-ci, nous sommes à Londres en 1977.
Autant le dire tout de suite, ce tome-là ne m'a pas convaincu. Peut-être que la période choisie me parle moins… Peut-être est-ce le scénario moins travaillé ou moins fin que les autres… Peut-être est-ce le dessin… Peut-être est-ce le manque de surprise, la lassitude…. Ou tout simplement pas le bon moment pour le lire.
Je pense tout de même que d'un point de vue objectif, il manque un peu de tout dans cette bande-dessinée, elle est un peu en dessous dans tous les domaines. Même la chute finale qui faisait la réputation de cette série est moins ciselée, moins surprenante.
Côté scénario, les multiples flashbacks sont assez fatigants et ne permettent pas de vraiment rentrer dans l'histoire. L'utilisation de personnages connus est intéressante mais aussi casse-gueule et finalement ne sert pas vraiment l'histoire.
Commenter  J’apprécie          20
4ème opus de la série " le Casse " l' action se déroule cette fois en 1977 en Angleterre en pleine vague contestataire.
L' histoire se révèle très confuse et difficile à suivre. Elle suscite peu d' engouement par un manque total de personnages avec du charisme. Seul le final nous surprendra un peu mais sans être du niveau du précédent tome ("soul man") de la série.
Pour ma part les dessins ne rattrapent pas du tout les faiblesses de ce récit. Bien au contraire ils ont un côté très simplistes et naïfs. Ils ne soulignent, en aucun cas, les expressions des visages. Aucun mouvement ne se trouve mis en exergue. On pourrait qualifier l' ensemble de cette oeuvre par le terme : monolithique.
Commenter  J’apprécie          10

Citations et extraits (3) Ajouter une citation
" - Dans la marine de sa majesté, il fut un temps où les mutins étaient pendus puis leurs corps étaient jetés à la mer.
Ce pays aurait bien besoin d'appareiller sous les ordres d'un homme de fer comme le capitaine Bligh au temps du BOUNTY !
- Qu'est-ce que vous dites, James ?
- Je dis qu'il faudrait pendre tous ses anarchistes, mon capitaine !"
Commenter  J’apprécie          90
Les films parlent de mensonges. Ils cherchent à rendre les choses glamour.
Commenter  J’apprécie          40
"paraît que les derniers seront pas les moins biens servis, ce soir!" p44
Commenter  J’apprécie          10

Videos de Fred Duval (64) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Fred Duval
"Jour J, qui a tué le président ?", Fred Duval, Jean-Pierre Pécaud, Colin Wilson, éditions Delcourt
Conseil lecture de la bande dessinée par Stéphane Nappez, co-fondateur de l'association Baraques Walden.
Entretien mené à l'Abbaye de Jumièges (département de la Seine-Maritime)
Vidéo : Paris Normandie
autres livres classés : margaret thatcherVoir plus
Les plus populaires : Bande dessinée Voir plus


Lecteurs (64) Voir plus



Quiz Voir plus

PARIS, secteur Soviétique

A quelle date se déroule l'histoire ?

1951
1957
1934
1922

7 questions
1 lecteurs ont répondu
Thème : Jour J, Tome 2 : Paris, secteur soviétique de Fred DuvalCréer un quiz sur ce livre

{* *}