AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,78

sur 1153 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Oh putain, oh putain qui c'est qui qui est passé critique d'or depuis ce matin ?

Bah ouais, je ne vais pas vous la jouer humble, ça me fait grave plaisir, comme vos petits commentaires, vos culottes mouillées, vos petits mots d'amour… Genre mais j'en ai rien à branler, bien sur que non… bon les culottes mouillées, les mots d'amour, j'attends toujours… Pourtant Babelio foisonne de rencontres interdites, parfois l'histoire est belle, et parfois l'histoire est baise…

Tout d'abord je remercie ma mère, car sans elle, je n'aurais pas pu étaler ma connerie, mon père pour son langage à la familiarité engagée, d'une impolitesse alcoolisée qui fera de lui cet homme sein et de moi cet homme sain, prétextant quelques névroses sur un site littéraire, bafouillant ma vie anonymement, griffonnant quelques mots d'une vulgarité assumée, ou presque… ma timidité, ma simplicité et ma pudeur surprendraient bien du monde, petit homme ordinaire qui a su trouver une petite place parmi vous, sans prétention, juste ce qu'il faut pour donner un coup de pompe dans le cul de son ego qui s'est prit une putain de branlée ces derniers mois…

Et je vous remercie vous, mes copains anonymes, un peu moins anonyme pour certains qui se mouilleront aux souvenirs de ces rencontres, à la terrasse d'un café, dans un petit resto, et plus si affinités, découvrant ce personnage bancal à la vulgarité bien pendue, qui se joue d'un personnage fantasque, alors qu'il n'en est rien, ma culture se limite à des notions, je vulgarise tout parce que je ne sais rien ou peu, restons modeste et conscient de ce que l'on est , mais j'aime écouter, apprendre et parler, raconter des histoires, échanger, me marrer… et j'ai trouvé ici par hasard des gens réceptifs, qui ne se prennent pas au sérieux, qui acceptent l'humour comme un sourire, qui ne jugent pas, parfois quelque uns dérapent sur ma verve, s'imaginant un tas de truc rigolos sur qui je suis…

Beaucoup d'entre vous m'ont inspiré, et m'inspirent tous les jours, ce site est bourré de talents indéniables, longtemps complexé j'ai appris à accepter mes lacunes, et j'ai appris à écrire, sans ambition, juste pour me faire du bien, aligner quelques conneries, c'est plaisant, des fois je me fais marrer, des fois moins, je me supporte tous les jours faut dire et la tâche est rude, mais j'aime écrire, et Babelio me permet ces fantaisies parfois limites, sans tabou, sans censure, et je trouve ça plutôt classe…

L'anonymat permet toutes ces choses, le virtuel est parfois inquiétant, faut se méfier, mais des fois c'est très excitant, fantasmer sur des mots, un pseudo, un profil, puis apprendre à se connaitre, à s'apprécier, se découvrir des affinités, se raconter nos vies, nos misères, partager nos expériences …

Enfin bref toutes ces conneries c'est très mignon avec un peu de piano, un feu de cheminée, un petit chalet dans la montagne, un petit jacuzzi, quelques bulles, mais on s'en branle la tout de suite hein, c'est quoi cette niaiserie à deux culs ? ça dégouline de bouffonnerie, elle est partie ou ta virilité d'enculé ? manquerait plus que tu nous chantes une petite chanson à la pleureuse, tu fais dans le pathos là, guignol d'or ouais... en fait je suis sur que t'es une putain de gonzesse, comme dans les films qui te collent la goutte au bord des yeux dès que tu vois un bout de tissu rose bonbon... j'entends Céline Dion couler le Titanic dans ta voix de petite fille, donc t'arrête les violons qui se papillonnent les ailes sur tes écrits de princesse et t'enquille sur la salope bon marché... t'y fout pas les formes, mais un doigté, ou deux pour les grandes fontaines, et du romantisme dans tes yeux, avec du romantisme elle ouvre la bouche, la mon petit prince, c'est gagné, enjoy l'asticot, profite au lieu de raconter des putains de grosses conneries…

Ah mais fallait que je contre balance, que j'équilibre l'obsédé et la princesse qui sommeillent en moi…

A plus les copains.

Pour le bouquin :
Quatre mois pour terminer ce roman, c'est dire à quel point j'étais passionné... L'auteur a du talent c'est indéniable mais je n'aime définitivement pas ce style de roman un peu trop terre à terre... Pourquoi je l'ai acheté ? Euh en faite je pensais acheter le roman d'un autre auteur plus connu, je garderais son nom pour moi tellement j'ai honte de ma connerie... Ce bouquin est adressé aux personnes qui aiment les conspirations américaines...
Commenter  J’apprécie          5526
Après avoir découvert le talent de conteur de R.J. Ellory avec le remarquable "Vendetta" et avoir été séduite par l'envoûtant et original "Seul le silence", je me réjouissais de découvrir ce nouvel opus.
A mon vif regret, je n'ai pas trouvé "Les anonymes" à la hauteur de ses précédentes productions. Peut-être est-ce dû à la répétition d'effets déjà exploités dans ses précédents romans, tels que la confession d'un mystérieux criminel (le mafieux de Vendetta), l'apprentissage du crime (re-Vendetta) et l'intrigue autour d'un tueur en série (Seul le silence). du coup, les thèmes abordés dans "Les anonymes" m'ont semblé réchauffés et nettement moins attractifs.
L'inspecteur Miller, figure centrale du roman, nous est présenté comme le prototype du flic solitaire, asocial et cachant bien évidemment un secret, personnage vu et revu dans ce genre littéraire jusqu'à l'usure et j'avoue avoir rapidement alterné entre ennui et désintérêt au point d'hésiter à lâcher le morceau après 200 pages (le roman en fait presque 700).
Un rebondissement dans l'intrigue m'encourageait à poursuivre et la curiosité de connaître le fin mot de l'histoire me motivait à aligner les 500 pages suivantes.
Hélas, au final, je ne suis guère plus enthousiaste, le noeud de l'intrigue nous est dévoilé dans un long dialogue où toutes les révélations attendues nous sont expliquées de façon linéaire par l'un des protagonistes, c'est lourd et loin de la finesse à laquelle nous avait habitués Ellory dans ces précédents ouvrages…
Commenter  J’apprécie          130
J'avais aimé Seul le Silence, j'ai été déçue par Les Anonymes : rien d'original, me semble-t-il, dans cette histoire que j'ai trouvée pleine d'inconséquences, une lenteur dans le récit qui a donné lieu à d'inutiles répétitions.

Surtout, le personnage principal m'a semblé sorti d'un film des années 50 en collectionnant les caricatures : le flic ironique mal compris, qui semble se draper dans son rôle quand il est simplement désagréable et vaguement malpoli.

La trame est pourtant intéressante, les crimes en série dont il doit élucider le mystère masquent une réalité beaucoup plus complexe.
Commenter  J’apprécie          110
Mon premier Ellory, que je voyais comme un nouveau maître du roman noir, et c'est quand même ce que nous vend la 4e de couv, « entre Robert Littell et James Ellroy, (…) tension digne des polars les plus captivants (…) écriture remarquable (…) thriller du siècle nouveau (...) ». Avec le Guardian qui en remet une couche, « véritable aboutissement du genre, (…) thriller de cette ambition, de cette puissance et de cette maîtrise », je n'avais qu'à bien me tenir.
Ben ça a fait flop. Une histoire dont on connaît quasiment la fin dès le début, grâce au procédé du double narrateur (à manier avec modération dans le thriller, à mon humble avis, mais non, là le tueur lâche tout), et qui traîne en longueur, dont le seul suspens tient au temps que mettra le flic (évidemment déprimé mais tout près de retomber amoureux) à apprendre (même pas à comprendre tout seul, faut tout lui expliquer) ce que tout le monde sait déjà mais préfère oublier (la scandaleuse mais impunie toute-puissance états-unienne). Sans surprise, la réponse est : un certain temps.
Commenter  J’apprécie          60
Je suis passée complètement à travers ce roman. 

Le fond de l'histoire n'est pas mal même si j'ai du mal avec les complots en général, mais là, c'est bien vendu donc ça passe. 

Cependant, j'ai trouvé le style lent, les personnages fades, le récit trop décousu pour que ça me plaise.

À la fermeture du livre, je me suis dit "tout ça pour ça".

Trop de lenteurs et de répétitions m'ont perdue.


Mes plus :

- Histoire originale 


Mes moins :

- Trop de longueurs 

- Personnages apathiques 

- Trop de répétitions


Commenter  J’apprécie          30
Pour être honnête j'ai eu un peu de mal à lire ce bouquin, non pas parce qu'il est ennuyeux mais parce que :

1. il est quand même plutôt mollasson dans l'ensemble
2. il y a des histoires dont je n'ai pas compris “le pourquoi” elles étaient là (après c'est peut être juste moi qui n'avais pas mis mon cerveau en état de marche)
3. je n'aime pas la politique
4. encore moins la politique américaine
5. il y a beaucoup trop d'interludes politiques que je résumerai simplement par bla bla bla bla... et trop d'apartés introspectives qui freinent le rythme du livre (ce qui ne devait certainement pas être l'effet escompté... encore quelque chose qui n'a pas du fonctionner avec moi !!)

Pourtant, au départ je trouvais ça plutôt intéressant, je me suis dit tiens je vais apprendre quelque chose et puis finalement petit à petit j'en suis arrivée à sauter des pages pour me concentrer sur l'histoire du livre.

Dommage car l'idée de départ est plutôt bonne, il faut l'avouer : on démarre sur les chapeaux de roues : 4 meurtres, 4 modes opératoires identiques, un serial Killer dans toute sa splendeur. Pourtant, on apprend très vite (via une aparté introspective) que la dernière victime : Catherine Sheridan attendait son assassin, ce qui n'est quand même pas ordinaire ! Là on se dit qu'on tient quelque chose de pas mal du tout : “Comment est ce que l'histoire va s'enchaîner ?”.

L'affaire est confiée à deux flics : Roth, un père de famille sans histoire et équilibré et Robert Miller, un célibataire un peu “perturbé” par une récente mise à pied et qui sort d'un procès long et difficile. Ils vont alors se retrouver dans une histoire bien plus compliquée qu'il n'y parait et vont enchaîner impasses sur impasses. Il n'y aurait-il pas quelqu'un de bien plus puissant qui s'amuserait à tirer des ficelles invisibles pour le commun des mortels ? RJ Ellory dresse petit à petit la toile de fond d'un véritable scandale d'état, Robert Miller finira t-il par mettre la main sur le pot aux roses ?

Quand je vois tous ces gens autour de moi qui ont adoré ce livre, je me dis que je suis certainement passée à côté de quelque chose, je ne devais pas être dans un bon “mood”... Raison pour laquelle d'ailleurs, j'attends avec impatience vos commentaires sur cet ouvrage.
Lien : http://www.nola-tagada.fr/ca..
Commenter  J’apprécie          30
J'espère retrouver dans chaque nouveau polar à succès la fébrilité que j'ai connue en tournant les pages du "Chuchoteur "de Donato Carrisi, mais là, si l'écriture est excellente, j'ai carrément décroché en cours de route (il faut dire qu'on a affaire à un gros pavé), et le dénouement du schmilblick m'a vraiment déçue.
Lien : http://anyuka.canalblog.com/..
Commenter  J’apprécie          30
J'avais trouvé en librairie Seul le silence....je l'ai dévoré.....et me suis jetée sur Vendetta....deux livres dont je n'ai pas décroché...Où j'ai aussi bien aimé l'écrituré.....que l'histoire....Mais j'avoue avoir été déçu par Anonymes....Pourtant les premières pages vous emmènent ....Mais très vite cela retombe....Trop long...Bref....je n'ai pas été séduite par Anonymes que les autres textes de Ellory....
ceci dit Un grand auteur....que je ne peux que recommander...
Lien : http://brigitte.jerome@yahoo..
Commenter  J’apprécie          30
J'avais dévoré les deux premiers ouvrages traduits en langue française, à savoir "seul le silence" et "vendetta", et c'est avec un immense bonheur que j'ai attaqué ce roman.
Très très grosse déception, près de 700 pages d'ennui, c'est interminable.
J'ai tenu à aller jusqu'au bout parce que je sais qu'Ellory sait nous réserver de grosses surprises et nous tenir en haleine.
Là, je n'ai pas adhéré, et même s'il tire à boulets rouges sur les agissements de la société américaine, en citant bien souvent les noms des protagonistes, ce qui ne manque pas d'audace, "les anonymes" sera malheureusement très vite oublié.
Même le style d'écriture qui faisait merveille dans les deux précédents volumes ne trouve pas son égal ici. Dommage.
Commenter  J’apprécie          20
J'abandonne... j'ai lu environ 150 pages, et j'attends toujours qu'il se passe quelque chose.
C'est bien simple, le roman suite 2 flics qui enquêtent sur un meurtre.
Alors ils tournent en rond, interrogeant quelques suspects sans grand intérêt. de temps en temps, on a droit a la pensée du meurtier qui n'a aucun sens.
Et il y a cette fille. Qui connait a un lien avec l'assassin. Lequel? On le saura peut-être dans les dernières pages...
Presque a la moitié du bouquin et aucun élément pour l'enquête. On suit les flics qui ne font rien. Qui vont a droite. Qui vont a gauche. Vu qu'ils n'ont aucun indice, et bien ils brassent du vent.
C'est d'un ennui incroyable!
Commenter  J’apprécie          10





Lecteurs (2918) Voir plus



Quiz Voir plus

R.J. Ellory en 10 questions

De quelle nationalité est RJ Ellory ?

américaine
britannique
sud-africaine
néo-zélandaise

10 questions
68 lecteurs ont répondu
Thème : R.J. ElloryCréer un quiz sur ce livre

{* *}