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3,55

sur 194 notes
En soit l'histoire n'est pas mal.
C'est un roman qui donne envie de réfléchir sur certaines choses auxquelles ont n'aurait jamais pensé avant.
Juste une chose, le roman va un peu trop vite à mon goût. J'aime bien quand sa prend du temps pour expmiquercertaines chose auxquelles sa peut être flou parfois.
mais je conseille tout de même pour un peu de divertissement ! &#xNaN;
Bonne journée
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Marc Elsberg, écrivain autrichien dont « Zero » est le second titre traduit en français, poursuit, après « Black out », l'exploration du thème des dangers de l'hyperconnectivité dans notre monde actuel.
Dans « Black-out », le ressort de l'action était la vulnérabilité du réseau électrique mondial qui pouvait être totalement paralysé par le biais des systèmes « intelligents » de type « smart grids ». Dans « Zero », nous allons plus loin, le problème est la connexion entre les individus eux-mêmes.
Dans un futur proche, un opérateur informatique nommé Freemee, nettement inspiré de Facebook ou Twitter, propose à ses adhérents une série d'applications, les Act Apps, présentées comme des aides au développement personnel. Il en existe dans tous les domaines : santé, efficacité au travail, sport, amour… En même temps que l'utilisateur constate une évolution favorable de son corps ou de sa personnalité, il participe à un classement mondial en recevant des points chaque fois qu'il met en pratique les conseils prodigués par les ActApps.
La condition pour profiter au maximum des services de Freemee est de lui fournir, et même de lui vendre, un maximum de données personnelles, qui du coup deviennent propriété de l'opérateur.
Le système est complété par l'utilisation de toutes les sources disponibles dans l'espace public, les tweets échangés par les internautes, souvent avec des photos ou des vidéos, les caméras de surveillance, publiques ou privées, et les lunettes connectées de type « Google glasses » que portent la majorité des abonnés à Freemee.
Or par un concours de circonstances, une journaliste, Cynthia Bonsant, aidée par de jeunes « geeks » amis de sa fille Viola, se rend compte que l'utilisation des ActApps peut amener à des morts violentes de certains usagers. Elle se lance dans une enquête au sujet de Freemee, aidée en cela par une mystérieuse organisation nommée « Zero », dont on ne saura pas grand'chose, à part qu'elle est composée de hackers très doués qui ont réussi à faire accéder des drones jusque dans le club de golf privé du président des Etats Unis.
Le récit est organisé en thriller, avec la mort violente de deux amis de Viola, les membres de Zero pourchassés par les services de sécurité des USA, certains cadres de Freemee qui ont des vues personnelles sur les buts de l'entreprise, et les internautes de toute la planète, comme un choeur de théâtre antique, commentant en direct les événements qui se déroulent sur une semaine.
Si le sujet lui-même des dangers de la diffusion des données personnelles est intéressant, bien que n'étant pas nouveau, le traitement romanesque est des plus classiques et ressemble à bien des histoires déjà lues ou vues, comme par exemple la série télévisée « Persons of Interest ». Les personnages sont bien tranchés, il y a des bons et des méchants. L'enquêtrice qui recherche la vérité est elle-même poursuivie et doit se cacher des autorités, et la vérité est révélée à la fin grâce à une clé USB perdue et miraculeusement retrouvée…
On a un peu de mal au départ à s'y retrouver avec tous les personnages, qui entrent en scène depuis différents horizons, et la narration passe des uns aux autres de façon très serrée, il faut parfois relire certains passages pour bien voir où on en est.
En définitive, un roman d'action classique, au service d'un plaidoyer pour plus de prudence avec nos ordinateurs et appareils connectés … A lire avant de devenir membre d'un réseau social !
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Son précédent roman (et premier roman, du moins sous ce nom), Black out, m'avait passionné l'année dernière, je me suis donc précipité pour lire ce nouvel opus au pitch excitant : toujours sur les risques de notre monde moderne, il aborde le sujet des technologies en réseau, de l'espionnage de masse et de la perte de liberté.
Malheureusement, on est loin de la réussite de Black out. Trop ambitieux ou trop vite écrit, je ne sais pas quelle est la cause, mais ce roman est moins prenant, moins marquant. D'abord, après une excellente intro, Zero n'est en fait pas le sujet principal et est oublié la moitié du roman. Surtout, il y a trop de personnages pas assez développés, on les mélange d'ailleurs tous tant la plupart manquent de personnalité, d'autant plus qu'on passe d'un groupe à un autre sans cesse et sans transition.
Les dialogues sonnent faux également. Que l'intrigue soit moyennement crédible n'est pas grave, c'est une oeuvre de fiction et l'auteur prévient en début de livre qu'il a simplifié des éléments ou imaginé des technologies qui n'existent pas, mais les personnages et leurs dialogues doivent être crédibles et pas ressembler à des acteurs récitant des discours visant à faire tout comprendre au lecteur.
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On connait depuis longtemps les listings de clientèle que les entreprises se refilent allègrement. On connait également les « scandales récurrents » d'états espions. Nous faisons tous partie d'une statistique ou d'une autre. Dans ces cas, nos données personnelles sont « volées » et utilisées sans notre consentement. Mais qu'en est-il lorsque vous donnez volontairement des renseignements perso? Êtes-vous plus à l'abri des malversations quand c'est vous-mêmes qui déballez à la face du monde votre vie et vos faiblesses? Ne tendez-vous pas le bâton pour vous faire battre?

Act Apps… Vous connaissez? Non? Après lecture de Zero, vous ne serez plus surpris… c'est l'ensemble de toutes ces petites applications que nous trouvons très pratiques parce qu'elles nourrissent notre fainéantise en réalisant le job à notre place, en facilitant notre vie et nous apportant un gain de temps… Plus besoin de réfléchir, les Act Apps sont nos secrétaires particulières, nos coachs, nos chauffeurs, nos mémos, nos guides spirituels… Un petit clic et tout est plus confortable… Endormez-vous les gens, les Act Apps veillent pour vous, vous suggèrent, vous guident, filtrent les infos, vous recommandent, vous ouvrent un monde meilleur… Mais attention: donnez, donnez de vous, de votre personnalité, de vos humeurs… les algorithmes, les programmes sont là… pour calculer, paramétrer, prévoir, anticiper, construire et vous promettre le paradis. Mais adieu votre libre arbitre, bonjour le conditionnement et la manipulation!

Quand une entreprise privée propose un produit nommé Freemee qui, à une lettre près, signifie « libère-moi », chacun est tenté par ce progrès fabuleux. Mais chacun ignore que votre smartwatch et vos lunettes connectées vont emprisonnent magnifiquement aux systèmes de surveillance, vous n'êtes plus jamais seul, plus jamais libre. C'est Big Brother à son firmament. C'est la déshumanisation à son apogée avec l'essor de la technologie.

Dans son premier roman, Black out – Demain, il sera trop tard, Marc Elsberg nous parlait du danger d'un black out général dans un thriller angoissant et magistral, nous parlant des choix de nos gouvernants dans la gestion de l'énergie… le citoyen lambda subissait passivement ses choix, bien heureux d'en profiter mais risquant sa subsistance quand l'énergie n'était plus au rendez-vous… Mais avec Zero, le citoyen lambda n'est plus passif, il est acteur d'un système dangereux. Et en cela, ce roman est divinement agaçant et titille fortement notre parano car il nous renvoie à chaque page à notre propre comportement avec le virtuel.

La proie, c'est vous, c'est moi! Cobaye plus ou moins consentant et naïf pour tomber sous l'emprise et le contrôle total de la dictature virtuelle. le mariage incestueux entre les arcanes du pouvoir et l'appât insatiable du gain des sociétés privées marque la fin de l'homme tel qu'il a existé jusque là. Et Zero, activiste, donneur d'alertes, objet de toutes les traques, est peut-être celui qui inversera la tendance… à moins que le train en marche n'ait déjà pris trop de vitesse…

J'ai adoré ce roman, habile et fidèle reflet de notre société d'aujourd'hui, avec juste un brin d'avance sur notre réalité. Au travers de ces personnages de différentes générations, de différents horizons, c'est le plus grand danger invisible de notre modernité qui tisse sa toile en nous enveloppant dans de la soie rose pailletée… Et si on ouvre les yeux, il est déjà trop tard…

C'est notre réalité lorsque des références précises nous parle de ces donneurs d'alerte que les pouvoirs d'aujourd'hui essaient de faire taire en leur collant des étiquettes de traîtres, fanfarons ou terroristes intellectuels.

J'adore que mes lectures me divertissent mais aussi m'apprennent, m'informent, m'alertent. Contrat rempli avec Zero! Black-out avait été un très gros coup de coeur et avec Zero, l'essai est confirmé. Marc Elsberg possède la qualité de nous disséminer des détails techniques sur des thèmes pointus au fil d'une intrigue dense et fouillée. Ses romans sont extrêmement bien documentés. Son écriture reste réellement fluide et agréable et il a coeur d'améliorer, avec Zero, l'implication affective de ses personnages au milieu de toute cette technologie.

Loin d'être pessimiste, ce thriller nous alerte sur la naissance de ces générations d'humains hyper-connectés, formatés et manipulés… mais l'homme est rebelle par nature, non?
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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Vaut mieux ne pas être paranoïaque, cela risque de se corser en lisant le livre. Ce livre est intéressant dans l'évolution du récit, malgré tout j'ai eu une impression de déjà vu, un sujet bien entamé et encore plus de nos jours, avec tous les réseaux numériques et les équipements ultra sophistiqués actuels. Tout en étant visionnaire, le suspense improbable est moyennement soutenu et n'a pas retenu mon attention, le côté fiction m'a semble passé date. A la décharge de l'auteur, cet histoire est sortie il y quelques années. J'ai eu du mal à adhérer, même en laissant le côté maintenant dépassé par l'évolution numérique, je n'ai pas trouvé palpitant. Black Out était mieux, mais encore là, le genre est un peu lisse, me laisse sur ma faim.
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Thriller technologique agréable à lire. Je dois avouer que je n'ai pas été happée par l'histoire. Cependant, ce roman m'a permis de me renseigner sur les technologies existantes, sur la collecte des données, et de me faire réfléchir sur mon utilisation des réseaux sociaux (je suis déjà assez prudente, mais je les utilise quand même un peu... et des amis essaient de me convertir au smartphone -_-).
Pas un coup de coeur, contrairement au roman précédent de Marc Elsberg, Black Out, qui est bien plus palpitant, avec des personnages auxquels je m'étais attachée (je pense encore à eux, un an après ma lecture), et qui m'avait vraiment transportée dans une course haletante et une vraie découverte de nos systèmes d'énergie.
Je lirais quand même les autres ouvrages de cet auteur. Ses histoires sont fluides et ses personnages assez originaux et modernes.
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De nos jours à Londres, la vidéosurveillance et l'hyper-connectivité de la population vient de tuer un jeune homme qui cherchait à appréhender un individu recherché par les services de police de la ville. Cynthia Bonsant, journaliste au « Daily » enquête sur l'entreprise américaine Freemee, spécialisée dans les applications de développement personnel. Ces applications s'immisce dans la vie privée des utilisateurs avec leur consentement, mais qui est véritablement gagnant ? L'utilisateur qui voit sa vie s'améliorer dans des domaines aussi variés que l'amour, le travail, ou encore la mode, ou bien la société qui collecte et utilise les données de millions d'utilisateurs à travers le monde ?




Marc Elsberg écrit de nouveau un roman mettant en garde sur les évolutions que l'être humain créent. Cette fois ci ceux sont les applications des téléphones portables ainsi que la vidéoprotection permanente qui sont représentées comme un danger potentiel pour les utilisateurs. Ici la traque se fait par écran de smartglasses, de vidéosurveillance et par l'analyse en temps réel des multiples données que chaque individu laisse avec ou sans son consentement. En examinant les données de la société Freemee, Cynthia Bonsant par le biais d'un ami de sa fille, découvre qu'il y a un nombre anormalement élevé de morts accidentels sur certains groupes d'utilisateurs. Être poursuivi par une horde d'humains manipulée est loin d'être une partie de plaisir.
Quand « 1984 » de Georges Orwell devient peu à peu réalité, on se sent petit au milieu de toutes ces avancées que nous ne pouvons contrôler.




Après « Black Out », Marc Elsberg nous redonne des frissons avec « Zéro ». Il est certain que dorénavant je me méfierais encore plus des conseils pouvant être donnés par des logiciels informatiques. Bien écrit et terriblement flippant de réalité. Un bon roman de notre époque hyper-connectée.
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Parano, vous avez dit parano ?
Un monde hyper connecté dans lequel chaque individu peut être identifié, catégorisé, pisté, surveillé, manipulé, cela ne vous rappelle rien ? Inutile de parler de science-fiction : entre 2014, date de publication du roman de Marc Elsberg, et 2016, date de sa parution en français, la réalité a rattrapé le scénario hallucinant de "Zero" ! Et ça fait peur !
Tout commence par l'intrusion d'un drone espion dans la maison de vacances du président américain. Branle-bas de combat parmi les services de sécurité réputés les plus performants du monde ! L'image d'un président grimaçant de terreur fait le tour du monde en quelques secondes. Ainsi commence la traque des membres du groupe Zero, lanceur d'alertes pour dénoncer l'enfumage qui entoure l'utilisation de données personnelles récupérées à chaque connexion. Des données que chaque individu connecté fournit volontairement et que programmes, analyses, algorithmes traduisent à notre insu en applications a-priori bénéfiques pour améliorer la situation personnelle de l'utilisateur.
Sauf que...
Sauf que ces Act Apps en viennent finalement à diriger toutes les décisions, tous les choix de la manière la plus insidieuse qui soit puisque l'utilisateur reste persuadé de prendre seul toutes l es initiatives et de préserver son libre-arbitre. Sans que quiconque s'en doute, les Act Apps deviennent les miradors virtuels d'un univers orwellien. Big Brother dans notre montre, nos lunettes, notre tablette, notre bracelet... Quel rêve pour les entreprises commerciales, financières, les groupes politiques, religieux, fanatiques ! Aucune possibilité de refuge où que ce soit. Partout et à chaque seconde l'existence de chaque personne est mise dans le domaine public. Impossible d'y échapper ou même de préserver une part minuscule d'intimité ! Et ce qui pourrait faire rire si ce n'était aussi effrayant c'est que tout le monde participe allègrement à cette aliénation de toutes les libertés !
Marc Elsberg a construit une intrigue absolument époustouflante de réalisme et magistralement conduite. Il montre une habileté diabolique pour insinuer dans le cours du récit et de manière tout à fait naturelle, les références techniques précises nécessaires à la compréhension. Les personnages solidement construits dans leur diversité et leur complexité sont aux prises avec des situations dans lesquelles chacun peut se reconnaître. Ce qui provoque une prise de conscience effrayante mais salutaire!
Un roman absolument remarquable qui me fait examiner d'un oeil suspicieux certaines applications et implications des nouvelles technologies !
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En guise de préambule à son roman, Marc Elsberg rappelle que ce texte est une fiction qui peut se lire comme une dystopie, sachant toutefois que certains outils et certaines procédures, décrits dans le roman existent bel et bien. Pour ma part c'est surtout un bouquin que j'ai lu comme un thriller, une intrigue menée tambour battant, bourrée de suspense et totalement addictive.

Ca fait du bien de lire un roman qui soit à la fois un divertissement (parfois nerveusement éprouvant), une source d'information (on sent que l'auteur s'est richement documenté sur le sujet) et quelque part un appel à la réflexion (pour ne pas dire une mise en garde). Fiction certes, mais pour combien de temps ?

J'ai beaucoup aimé le personnage de Cynthia Bonsant, pas franchement branchée technologie et soudainement confrontée à un monde qu'elle ne connaît pas (heureusement elle pourra compter sur le soutien de sa fille), mais déterminée à découvrir, et révéler, la vérité.

Les nombreux personnages secondaires, aux intérêts divers et variés, ne sont pas laissés pour compte. J'aurai toutefois aimé une présence plus active de Zero, toujours au centre du récit mais finalement assez peu présent. J'ai aimé détester le personnage de Carl Montik, le développeur de Freeme, un mec abject, incapable de la moindre empathie ; pour lui le monde extérieur se résume à des lignes de code qu'il peut manipuler selon son bon vouloir.

Fiction ou prémonition ? On est en droit de se poser la question dans notre société hyper-connectée. Certes les Act Apps de Freeme n'existent pas encore mais quand on voit le succès des applis d'aide au développement personnel ou à la prise de décision (à croire que certains ne sont pas foutus d'aller pisser si leur appli ne leur signale pas que c'est l'heure de la pause pipi), on y arrive lentement mais sûrement.
Et je ne vous parle même pas des accros à FB qui jugent intéressant de renseigner leur profil 796 fois par jour (« je me cure le nez », « je me gratte les couilles », « je mange », « je vais me coucher »… comme si on en avait quelque chose à foutre). La même logique s'applique aussi à Twitter, Instagram, YouTube…

Qui peut dire : « pas moi, pas moi », parmi vous ? Personne, la preuve vous êtes en ce moment même connecté à Internet. Mais ne sombrons pas non plus dans la paranoïa (n'est-ce pas Cynthia ?), inutile de vous vêtir de votre toute nouvelle combi intégrale 100% aluminium ; il y a connecté et cyber-dépendant. Je pense qu'avec un minimum de bon sens et un soupçon d'intelligence on peut limiter au strict minimum notre empreinte numérique.
Lien : https://amnezik666.wordpress..
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Zero est un roman dont j'attendais la sortie, car l'année dernière j'avais beaucoup apprécié ma lecture de Black Out du même auteur, Marc Elsberg.

Dans ce roman, on a affaire à une enquête avec au centre une société high-tech Freemee, qui travaille à partir des données d'utilisateurs toujours plus nombreux. Caméras omniprésentes, objets connectés, disparition de la sphère privée, tout ça est assez effrayant. Mais étant personnellement pas très « connectée », je l'ai beaucoup plus considéré comme de la SF que comme quelque chose qui pouvait s'approcher de la réalité, même si un jour on n'en sera peut-être plus si loin.

Si le thème est bien différent de celui de Black Out, on y retrouve le même style addictif, un roman que j'imagine très bien en film, un thème d'actualité qui fait réfléchir et un sujet qui fait peur et peut rendre un peu paranoïaque tellement on rentre facilement dans l'histoire. Un très bon thriller et un excellent roman d'anticipation. Vivement le prochain roman de Marc Elsberg !

Lien : http://raconte-moi.net/2016/..
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