Le gendarme Roquet scrutait les deux photographies. Il y avait dix personnes sur l'une, qui provenait d'un polaroïd, et onze sur la seconde. On y voyait trois femmes et des hommes détendus et souriants, comme il se doit sur une photo de groupe... En l’espace de quelques mois, une demi-douzaine d’entre eux sont morts accidentellement. La dernière des victimes était persuadée que quelqu’un voulait l’assassiner.