" Imbéciles, c'est pour vous que je meurs ! " Par ce cri généreux et désespéré, Valentin Feldman prit congé de la vie le 27 juillet 1942, devant les soldats allemands d'un peloton d'exécution. Quelques mois plutôt, le jeune philosophe, élève de Victor Basch, avait fait le choix de l'action clandestine, mettant un terme à l'un des plus beaux journaux de guerre qu'il nous soit donné de lire. C...
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