Même dans les villes, si indifférentes, si populeuses, les gens n’admettent pas qu’on puisse vivre autrement qu’eux. On ne brave pas impunément leurs préjugés, leurs coutumes !…
Une litanie amoureuse qui ne s’achève que lorsqu’elle lui tend ses lèvres, qu’il redécouvre leur douceur incroyable et le plaisir aigu de cet accord entre eux.
Seules, les grandes cuisines concentrent encore la vie, accueillent les rythmes quotidiens dans l’isolement extrême des fermes. La télévision s’impose, maîtresse des lieux, anachronisme d’un pays qui mélange toutes les époques.
On ne se sert pas impunément de la sorcellerie comme alibi ! A moins de bien la connaître et de la pratiquer de longue date pour continuer à s’en servir comme bouclier, après l’action !…
Il faut comprendre que dans ce pays la haine s’engendre comme la descendance : de génération en génération.