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Norbert Jemsen procureur tome 4 sur 4
EAN : 9782253941385
288 pages
Le Livre de Poche (08/03/2023)
3.72/5   147 notes
Résumé :
Un tueur en série sévit entre Paris et Genève, s'attaquant aux personnes prénommées Greta. Chargé de l'enquête, le procureur Jemsen est empêtré dans une procédure disciplinaire pour avoir fait libérer une de ses proches, activiste écologiste. Le meurtrier est bientôt identifié mais son nom est celui d'un petit garçon décédé depuis longtemps. La traque commence.
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Critiques, Analyses et Avis (54) Voir plus Ajouter une critique
3,72

sur 147 notes
Nicolas Feuz n'est pas un auteur suisse inconnu pour moi. Lors d'une des éditions du Prix des Lecteurs des Editions du Livre de Poche à laquelle je participais comme jurée, j'avais eu en lice « Horrora Borealis », l'un de ses thrillers et ce fut un coup de coeur pour ma part, même s'il n'avait été retenu.

Avant tout, je tiens à vous signaler que ce livre fait partie de la série du procureur Jemsen. Hélas, ce n'était pas indiqué en quatrième de couverture sur les épreuves non corrigées que j'ai reçues et donc, j'avais déjà bien entamé ma lecture avant de m'en rendre compte. Bien que ces livres puissent se lire indépendamment les uns des autres, vous savez que j'aime lire chronologiquement les tomes faisant partie de suite, surtout pour apprécier l'évolution des personnages. Donc, je ne peux que vous conseiller vivement de les lire dans l'ordre. Pour moi, cela m'a donné envie de revenir sur les précédents bouquins de ce personnage.

Quoiqu'il en soit, parlons de « Brume rouge » qui est donc la quatrième aventure du Procureur Jemsen, qui pourrait être l'alter ego de l'auteur, puisqu'il est lui-même procureur du canton de Neuchâtel en Suisse.

Totalement d'actualité, ce thriller vous emmènera sur les traces d'un tueur qui poursuit les prénommées Greta. Faisant une véritable fixation sur Greta Thunberg, l'activiste écologiste suédoise, c'est une épopée sanglante que le tueur fera entre Paris et Neuchâtel.

J'ai été contente de retrouver la plume très fluide de Nicolas Feuz. Ce dernier opus est très addictif et se lit aisément. Une fois plongé dedans, on ne voit plus le temps passer. A la fois bien abouti et terriblement addictif, ce thriller fluide vous fera frissonner de plaisirs.

Cette fable écologique est surprenante et franchement, y a du gore ! On est bien d'accord, on est dans une oeuvre de fiction et donc, il faut accepter ce que l'auteur veut transmettre par certaines scènes mais là, les plus prudes risquent d'y laisser des plumes. Moi, je signe des deux mains.

Son personnage récurrent du procureur Jemsen évolue et c'est pourquoi, j'insiste pour que vous les lisiez dans l'ordre si vous en avez la possibilité. de toutes façons, vous passerez un très bon moment de lecture et donc, autant en profiter quatre fois plus, si j'étais vous!
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Qui en veut à la militante écologiste Greta Thunberg ? Ou plutôt à celles qui ont le malheur de porter le même prénom qu'elle et qui se font assassiner à un rythme effréné quel que soit leur âge. Entre Paris et Neuchâtel un certain Matthias Hodler sème le chaos sans aucun remord . Comme s'il était en mission commandée.
Qui est-il vraiment et quelles sont ses motivations?
Un climatosceptique extrémiste doté d'un tueur en série ? Ou un fou qui a fait une fixation sur ce prénom venu d'ailleurs?

Le procureur Jemsen est chargé de l'enquête en Suisse où un nouveau né du nom de Greta a été exécuté froidement. L'affaire va le transporter de Suisse à Paris où une autre Greta s'est fait tuer. À l'aide de ses collègues parisiens il va tenter de débusquer cet homme invisible et imprévu qui semble jouer avec les policiers et ne semble pas prêt de stopper ses funestes desseins de si tôt.


Avec Nicolas Feuz on s'attend toujours à être étonné et c'est encore le cas dans son dernier roman. Car c'est en fait deux histoires qui se chevauchent : les meurtres commis par ce Matthias Hodler - attention car ils sont sans filtre - et l'histoire mouvementée de ce dernier. Un destin tragique qui ne peut donner à l'auteur de ces crimes que quelques circonstances atténuantes. Pages après pages, on découvre l'histoire de sa famille et on peut dire qu'elle est gratinée. Mais vous n'êtes pas au bout de vos surprises car l'auteur helvétique sait ménager ses effets.
Du côté de son héros récurrent, le procureur Hemsen n'est pas non plus dans une bonne posture : outre cette affaire de plus en plus médiatique il rentre en conflit avec l'un de ses confrères qui semble avoir un sérieuse dent contre lui et qui a bien l'intention de saisir une opportunité pour ces venger d'une ancienne humiliation. Heureusement, son ange gardien, sa greffière, Flavie Keller , veille sur lui.
Un roman d'une parfaite fluidité , un tempo à l'avenant et un final qui vous laissera bouche bée. Ce n'est pas une promesse mais une certitude.

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Auteur complètement inconnu pour moi, je l'ai découvert grâce aux audios gratuits d'Audible. Il s'agit d'un roman court me permettant de changer entre 2 univers fantastiques et de découvrir son style.

Je ne pensais pas vraiment faire de critique pour ce roman mais c'était sans compter sur son histoire tordue à souhait. On ne ressort pas indemne de cette lecture. N'ayant pas relu le résumé, je savais juste que ça serait un thriller. Dans celui-ci, nous évoluons dans l'univers de l'écologie et de la préservation de la planète soutenue par une certaine Greta. du coup, un homme pas très net et contre cette logique écologique va se mettre à rechercher toutes les Greta de tout âge autour de chez lui pour les tuer. Qui est-il donc ? le procureur sur cette enquête va mettre au jour une histoire glaçante et pour ce faire, il sera obligé de remonter sur de nombreuses années et payé de sa personne. L'auteur a vraiment imaginé une histoire embrouillée et tordue, je ne m'attendais absolument pas à ce genre de résolution. En un roman très court, il est néanmoins capable de faire une histoire qui se tient et dont on obtient toutes les réponses. En prime, nous avons le relationnel entre le procureur, sa greffière et leurs conjoints respectifs.

Comme vous l'aurez compris, ce roman a été une bonne découverte, je vais donc suivre cet auteur suisse. Il nous fait également découvrir son beau pays si peu représenté dans la littérature. Je vous conseille donc de le découvrir pour vous en faire votre propre avis. Pour ma part, je vais suivre sa bibliographie.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Nous retrouvons le procureur Norbert Jemsen et sa greffière Flavie pour une nouvelle aventure particulièrement réussie et toujours aussi sanglante.

Un homme attend son TGV pour la Suisse à la gare de Lyon, lors de son passage au kiosque, il entend une mère appeler sa petite fille : « Greta », son sang ne fait qu'un tour, encore cet affreux prénom, sûrement un hommage à l'icône suédoise de l'écologie. Et Matthias déteste l'écologie, c'est un climatosceptique pur et dur, pour lui le changement climatique fait simplement partie de la nature et n'a rien à voir avec les actions humaines, mais plus que tout le prénom Greta lui donne de l'urticaire, il a décidé de tuer le plus de personnes possible qui le portent, à défaut de pouvoir assassiner sa vraie cible. Donc c'est décidé, il va tuer cette petite fille et rentrer en avion. Mais en arrivant il a encore du travail, une petite Greta est née à Neuchâtel et il n'hésite pas à aller la supprimer au fusil à pompe à la maternité. L'équipe de policiers, sous la direction du procureur Jemsen trouve rapidement l'identité du suspect, seulement il est mort en 1977. le procureur a une relation discrète avec Mélanie Antoine, professeure de climatologie à l'université de Neuchâtel, celle-ci vient d'être arrêtée suite à une manifestation pro-climat qui a dégénéré, Jemsen profite d'être de garde pour la faire libérer, ce qui va déclencher une guerre avec son collègue Kornisch. Jemsen aura fort à faire entre le tueur et ses affaires de coeur, Flavie essaie comme toujours de lui mâcher le travail et de le protéger, car certains secrets doivent rester caché, c'est mieux pour tout le monde !

Nicolas Feuz s'est surpassé dans ce thriller très abouti. Son écriture, toujours très addictive, s'améliore à chaque roman depuis qu'il est publié par les Editions Slatkine. On reconnaît son style, avec des crimes très sanglants, des situations impossibles et surtout des retournements à couper le souffle, cet opus ne déroge pas à cette tradition. La conclusion est faite pour surprendre et on ne voit rien venir avant, ce qui est sa marque de fabrique.

Cet opus nous parle aussi de maltraitance vis à vis des enfants, comment survivre et se construire quand on a vécu des choses inimaginables, en plus des abus « courants » dans les institutions religieuses ? Matthias est-il le seul coupable de ses crimes? Et tout d'abord, qui est cet homme ? Feuz explore aussi le registre des maladies mentales et de la folie dans ce roman très percutant.

Pour ceux qui suivent l'auteur depuis le début, on trouve plusieurs références à Michael Donner, le héros de la trilogie Massaï, il y a d'ailleurs des similitudes entre ce roman et le deuxième de cette excellente trilogie. C'est toujours un plaisir de retrouver Donner, mort bien trop tôt, c'est comme un fantôme qui plane sur les aventures de Jemsen. Cet opus est vraiment très réussi et plaira à tous les amateurs du genre, pour moi c'est un gros coup de coeur.
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J'entends parler depuis un moment de Nicolas Feuz, je le suis sur les réseaux sociaux, et ses différents romans me tentaient beaucoup. Lorsque j'ai vu qu'il en sortait un nouveau, je me suis dit que c'était le bon moment de le découvrir. Et cela a été une bonne surprise, je suis totalement conquise par ce que m'a offert cet auteur pendant le temps de ma lecture.

 

Je ne vais pas trop revenir sur le contenu de l'histoire, c'est un roman à suspense, c'est le genre qu'on arrive et surtout qu'on ne doit pas résumer, sous peine de trop en dévoiler.

On suit un homme, dès les premières pages, qui tuent des femmes. Elles ont toutes pour point commun de porter le prénom Greta. Et ceci parce qu'il est un climato-sceptique et qu'il ne supporte pas Greta Thumberg et toutes les idées qu'elle véhicule. Il va donc s'en prendre à toutes les personnes qui portent ce prénom quelque soit leur âge, bébé, enfant ou adulte. le procureur Jemsen va mener l'enquête avec ses collègues, et notamment sa greffière Flavie Keller. Il va très vite trouver l'identité du meurtrier, le seul problème est que celui-ci a été déclaré mort vingt ans auparavant. Alors qui se cache derrière cette personne. Et dans un même temps, on suit aussi le procureur Jemsen qui est pris dans une histoire personnelle dont il a du mal à se dépêtrer.

 

Je ne connaissais pas du tout le personnage de Jemsen. Il apparaît dans des romans précédents de l'auteur. J'ai toujours peur de rencontrer un personnage déjà présent dans d'autres histoires, ne pas comprendre vraiment qui il est. Cela n'a pas été le cas ici, car l'auteur sait en quelques phrases résumer un peu les faits précédents, sans pour autant trop en dire. Je n'ai donc pas du tout été gênée pour la compréhension, et j'ai réussi à percevoir l'homme qu'est Jemsen. Par contre, cela m'a donné très envie de lire les romans antérieurs avec ce personnage afin d'en apprendre plus sur lui. Je l'ai apprécié.

 

L'originalité de ce roman à suspense, c'est que l'on connait dès le début l'identité du meurtrier. On est avec lui quand il repère ses cibles, quand il les tue, on est aussi avec lui dans sa vie personnelle. C'est un homme très ambigu, avec un passé très lourd qui le hante, et qui remonte à plusieurs générations. Bien sûr, cela ne l'excuse aucunement, mais connaître ses faiblesses permet de mieux le cerner. J'aime beaucoup quand les polars sont aussi intrigants. On s'imagine que parce que l'on connait l'identité du tueur, il ne va pas y avoir d'énigme, mais on se trompe. Car j'étais loin de m'imaginer tout ce qu'il va se passer, et je ne m'attendais pas à aller jusque là où m'a emmenée l'auteur. Tout ce qui se passe au fur et à mesure, toutes les découvertes faites par Jemsen et son équipe, m'a décontenancée. Et pour arriver à une conclusion qui m'a laissée sans voix. Je ne peux rien dire, mais vraiment, j'ai été épatée par la construction de l'histoire, et par le talent de l'auteur de perdre son lecteur dans les méandres psychologiques de son personnage. Par rapport à d'autres livres avec un enquêteur récurrent, ce livre est beaucoup plus centré sur le personnage du meurtrier et j'ai beaucoup aimé cette particularité.

 

La lecture est donc très addictive, prenante, l'auteur plonge le lecteur dès les premières lignes dans une ambiance angoissante et ne le lâche qu'avec les révélations finales. Les chapitres sont courts, très courts, cela donne beaucoup de rythme à la lecture, les pages se tournent sans se rendre compte, j'ai été absorbée dans l'histoire, plus je tournais les pages, plus j'avais envie de savoir. L'attachement aux personnages se fait également très facilement. le choix narratif de l'auteur est à la troisième personne du singulier, ce qui est plutôt judicieux dans un thriller, car il permet de garder une certaine distance avec les personnages et de moins se prendre de plein fouet les émotions. Des émotions, justement, il y en a. L'histoire du tueur m'a touchée, c'est assez perturbant d'avoir de l'empathie pour un criminel. Les blessures de l'enfance causent parfois des troubles chez l'adulte qui sont très graves. Ses actes ne se pardonnent pas, bien sûr, mais on comprend juste ce qui a déclenché cette furie meurtrière.

 

Au-delà du suspense et des crimes, Nicolas Feuz fait passer plein de messages sur la société qui sont très intéressants. L'écologie est au centre de l'histoire, et surtout les personnes qui se battent pour, qui parfois énervent les autres, ceux qui ne veulent rien savoir, ni rien voir. Parfois ces luttes agacent, car elles remettent en cause notre façon de vivre, et nous demandent de trop gros changements dans nos modes de vie. Mais il faut aussi être lucide et se rendre compte que si l'on ne fait rien, on va droit dans le mur…

J'ai également apprécié la précision des faits au niveau policier et enquête. On sent que l'auteur connait le sujet pour être lui-même procureur. J'aime beaucoup lire des romans de ces auteurs anciens policiers, ils mettent toujours beaucoup d'eux et tout est bien argumenté. J'apprends plein de choses sur le déroulement des enquêtes, les procédures. Comme autre auteur, je pense notamment à Olivier Norek, dont j'ai aimé beaucoup de romans. J'ai maintenant découvert Nicolas Feuz et cela ne va pas s'arrêter là.

Il arrive très bien également à retranscrire les émotions, à faire passer les différents sentiments qui animent ses personnages. Il sait alourdir l'atmosphère quand il le faut, et l'alléger également, créant ainsi des pauses dans les ressentis.

 

Je vais continuer à suivre Nicolas Feuz, je vais aussi me procurer ses anciens romans, sortis au format poche pour en apprendre plus sur les personnages de Jemsen et Flavie. Si je ne me trompe pas, j'ai noté les titres le miroir des âmesL'ombre du renard  et L'engrenage du mal.  J'ai très envie de lire à nouveau cet auteur et retrouver son personnage, mais pas que, j'aimerais aussi beaucoup lire ces autres livres, même s'il n'y a pas Jemsen dedans. Il doit sortir dans peu de temps au format poche Heresix qui me tente beaucoup.

 

J'ai passé un excellent moment de lecture, plein de suspense, d'intrigue, de surprises aussi. J'ai aussi voyagé entre Paris et Genève, en Suisse romande, pays proche de chez moi et que j'aime visiter. L'auteur décrit très bien les personnages sans pour autant alourdir le texte. Et c'est très appréciable. L'Histoire avec un grand H a aussi sa place, je ne vais pas trop en dire sur ce sujet, car c'est trop lié au meurtrier, mais j'ai aimé également ces retours dans le passé qui éclairent sur le présent et qui nous plongent également dans les méandres noires d'un autre temps qu'il ne faut pas oublier.

 

Si vous aimez les polars et les thrillers, ce roman est fait pour vous. N'hésitez pas à découvrir cet auteur et ses écrits. Et si vous le connaissez déjà, je pense que vous ne serez pas déçus avec ce nouvel opus qui a une intrigue rondement bien menée.

 

Il ne me reste plus qu'à remercier Nicolas Feuz pour cet excellent moment passé en sa compagnie et celle de ses personnages. Je vais continuer à le lire avec grand plaisir.
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
L’esplanade de la gare de Lyon s’étendait à ses pieds, avec le croisement des voyageurs pressés, la valse des taxis, la bouche de métro boulevard Diderot, l’incessante circulation et la brasserie L’Européen, où il avait dîné seul, la veille, d’une mémorable choucroute de la mer. C’était le Paris qu’il aimait, le Paris qu’il connaissait, il s’arrêtait toujours dans ce coin du XIIe pour ne pas trop s’éloigner de la gare. Et pourtant, Matthias se réjouissait de rentrer en Suisse. Il aimait Paris, mais comme à chacun de ses séjours, il n’avait qu’une seule envie, quitter la ville au plus vite. Trop de bruit, de stress, de pollution et de grandeur. Il aspirait à retrouver le calme de Neuchâtel, la sérénité que procurait la petite ville estudiantine, avec son lac et sa vue sur les Alpes.
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La Suisse était attachée à son image proprette. La saleté et la pauvreté n’existaient pas. Poussière sous le tapis, mendicité interdite et réprimée. La Suisse ne traînait pas ses casseroles, elle les rangeait bien au fond d’un placard sombre et inaccessible.
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Comme dans bien des villes d’Europe, le pouvoir judiciaire était relégué dans des structures bureaucratiques qui contribuaient à ternir son aura.
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La Suisse était attachée à son image proprette. La saleté et la pauvreté n'existaient pas. Poussière sous le tapis, mendicité interdite et réprimée. La Suisse ne traînait pas ses casseroles, elle les rangeait bien au fond d'un placard sombre et inaccessible.
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Le rôle de la Suisse pendant la Seconde Guerre mondiale était une de ces casseroles. Neutralité qui n'avait pas empêché de collaborer avec les puissances de l'Axe, tout en tendant l'autre main aux Alliés. Accueil et refoulement de réfugiés, fonds juifs en déshérence, scandale des enfants placés.
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