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3,53

sur 1784 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Pouët pouët tagada pouët pouët...
Il va mieux tant mieux pour lui. C'était pas la peine d'en faire un fromage. le scénario était prévisible et c'est pas d'sa faute s'il en a plein le dos : il fait un boulot de con et il a une vie de m... Ben oui ses collègues sont pourris et sa femme est chiante. Fallait juste qu'il change de boulot et de femme !
J'espère pour lui qu'il a changé aussi de lunettes...
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Tant de personnages qui vaguent à l'âme, errent et se torturent presque avec délice, molletonnés sur un douillet compte en banque, entourés de femmes compatissantes – et souvent si belles. Que les drames de la vie sont doux à ces héros que les auteurs s'acharnent à décrire comme des médiocres ! Les pages n'ont qu'à se tourner.
Le narrateur du livre de Foenkinos se présente comme un type, rien qu'un type (pas même besoin d'ajouter l'épithète « normal », ou « banal », ou « commun »), qui crève existentiellement à mi-parcours, a abandonné femme et travail, et cherche une nouvelle vérité, paragraphe après paragraphe, s'envolant vers New York (ben tiens) où vit son fils, retrouvant une camarade d'école primaire en dix secondes sur internet (si belle trente ans après, oui, forcément belle), prenant rendez-vous chez une pute hygiénique, toujours sur internet, et la quittant cordialement… tout cela en trois ou quatre pages.
Et qu'en est-il de celui qui ne peut abandonner son boulot à cause du crédit ad vitam qu'il a sur le dos, des enfants à charge qui ne peuvent s'éduquer par ellipses temporelles, de l'indifférence humaine qui fige son quotidien ; qu'en-est-il de ce vrai prisonnier de l'existence, menotté par une lâcheté et des contraintes insolubles ? L'auteur ne le connaît pas et probablement même ignore-t-il qu'il puisse exister.
Bref, un roman boboïsant déconnecté du monde, le genre de bouquin qui peut rendre la littérature française contemporaine assez insupportable à ceux qui n'appartiennent pas au cercle.




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Trois romans :
2010 - Bernard
2013 - Je vais mieux
2014 - La tête de l'emploi

Une seule et même histoire :
Un couple apparemment sans problème. Elle décide de divorcer. Lui sombre dans la dépression, retourne habiter chez ses parents, et est finalement sauvé par une inconnue sortie d'un chapeau.
Seuls les prénoms changent, la longueur de la chute, et celle du sauvetage.

Je venais de lire la version condensée de 2014, "La tête de l'emploi", qui m'avait quelque peu ennuyé. J'enchaînai, sans le savoir, sur la version longue de 2013, "Je vais mieux" : inutile de préciser qu'elle m'ait tombé des mains.

Quant au style d'écriture, David Foenkinos tombe dans la facilité ambiante du roman psychologique à deux balles : trois lignes de dialogue insipide, suivis de 15 lignes d'analyse de réflexions intériorisées au ras des pâquerettes. Et on recommence...
Sans compter l'abus horripilant des répliques muettes, transcrites sous la forme de :
— … »

Après mon enthousiasme pour le remarquable "Charlotte" et l'étonnant "Lennon", j'avais envisagé de lire l'entière bibliographie de Foenkinos. "Je vais mieux" a signé la fin de mon intérêt pour les problèmes de couple de David, Bernard and co.
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suis pas arrivée...j'ai trouvé ce livre long et ennuyeux....
vraiment....
d'ailleurs je l'ai vite oublié...et en cerveau de poisson rouge...j'ai pas intégré l'histoire ...je ne suis pas rentrée dans ce livre..je suis restée a coté...pourtant je l'ai lu...
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Autant le dire, Foenkinos, moi, j'adore !
Mais là.... Pfff... Qu'Est-ce que c'était long !!... Trop.
Est-ce qu'un livre peut donner mal au dos ? J'ai envie de dire oui.
Et franchement, Monsieur Foenkinos, je ne vous dis pas merci!
Mais qu'Est-ce qui vous a pris ???!!!!
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Gallimard se met à faire de la littérature sentimentale, et encore ce livre serait refusé par Harlequin car il n'est pas assez bien écrit.

Le personnage est masculin mais on a droit à tous les clichés : il a mal au dos car il est mal dans sa tête, il perd son travail, sa femme, il ne s'entend plus avec ses enfants et il sombre… oui mais à ce moment tout va beaucoup mieux car il se prend en main, trouve l'amour, renoue avec sa famille et ses amis et tout finit bien. Et moi, je peux dire « je vais mieux » car j'ai terminé ce bouquin insipide !

J'avais apprécié l'originalité des personnages de la délicatesse ; ici tout est convenu. En plus, je ne supporte pas les notes de bas de pages qui sont censées être spirituelles mais qui sont juste là parce que l'auteur ne sait pas construire une phrase qui enchaînerait deux idées.
Lien : http://jimpee.free.fr/index...
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J'ai été déçu de ce livre où nous comprenons tout de suite où est le problème. Nous attendons désespérément des surprises. Rien. Tout le monde connait l'adage '"en avoir plein de dos". Notre personnage voit sa vie s'éclater et se soulager quand enfin il comprend d'où vient son mal de dos.
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Grosse déception. Ce livre est vide, creux; il n'apporte rien, à peine le plaisir de la lecture. le problème de dos est un prétexte qui ne mène nulle part. de nombreux blancs dans les conversations des personnages et une accélération du temps incompréhensible (1 page = 1 heure puis plusieurs mois).
L'histoire manque de crédibilité notamment entre la séparation et la nouvelle histoire d'amour. Seule la description de cette dernière est réjouissante; une réminiscence de la Délicatesse? L'écriture est alors fluide, joyeuse, et pleine de sens.
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Un livre médiocre – même pas fait exprès ?
Une synthèse des lieux communs sur le couple, des relations avec la belle famille, qui (scénario ô combien classique) celui qui perd tout : femme, boulot, enfants partis de la maison. Il s'affronte alors à ses démons (il est un homme « moyen » en tout, plutôt effacé).
Toutes les scènes sont le « lieu commun de la scène », de qui rend la lecture lourdingue : collègues, le harcèlement au travail est la caricature du harcèlement, parents, vie quotidienne, mariage des enfants, retrouver les ami(es) d'enfance via Facebook, les tentatives de libération sexuelles ratées, les épisodes de libération de pulsions.
Les procédés d'écritures (lesquels ?) sont simples : la nouille répond la plupart du temps par trois points de suspensions, procédé dont DF use et abuse, au point d'irriter. Parfois même il explique ses ficelles (les pointillés, les...)
Enfin, la métaphore filée est le mal de dos, exactement proportionnel à l'état d'esprit du protagoniste. Qui disparaît quand tout est bien qui finit bien. On en peut plus au milieu du livre.
J'ai persévéré après la page 100 pour voir si l'utilisation d'une écriture « téléphonée » était un procédé génial, qui serait à un moment dépassée par une bascule de style, mais rien. J'ai feuilleté la fin.
Ce livre est un mauvais scénario pour un film français avec Daniel Auteuil. Il rejoint ma bibliothèque dans la section catalogue. J'hésite à le revendre sur Amazon.
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Le héros se découvre un jour un mal de dos terrible.
Avec sa douleur, il découvre peu à peu son entourage sous un autre jour...
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