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Un amour incandescent, éperdu. Une beauté fulgurante, foudroyante. Un esprit libre, délié, un autre ébloui, aveuglé. Une fascination, un ensorcellement. Une passion dévorante. Femme du jour, homme de la nuit. Elle jongle avec les mots, il joue avec le corps. de la lumière à l'obscurité, il n'y a qu'un pas... de danse. Un pas de deux entre des êtres dissemblables. de l'émerveillement au désenchantement. de la sensualité à la douleur. Eva et Adama.
Eva se sent légère ce jour-là en se rendant au café d'Ida. Sur son chemin, elle voit une petite chaise verte abandonnée devant l'école fermée. Parfaite pour enfiler ses chaussures le matin. Des jumelles toute de rose vêtues arrivent face à elle. La photo s'impose. Instantanné en vert et rose. Eva le sent, il va se passer quelque chose. C'est un jour heureux. Celui de sa rencontre avec Adama. Sitôt entrée dans le café, il la subjugue. Elle s'avance vers lui et lui dit : « Je vous trouve très beau ».
Ancien danseur de Maurice Béjart, un corps long et fin, une allure souveraine, la peau noire moirée, d'une élégance désinvolte, plus âgé de vingt ans et les traits juvéniles pourtant, Eva est charmée. Artiste hier, marginal aujourd'hui, sans toit, sans-papiers. Aucun lien, aucun bien. Il la suit.
Eva l'idolâtre, le met sur un piédestal. Mais au fil du temps, l'aura d'Adama vacille. L'homme est bouillonnant, impétueux, s'éclipse la nuit, revient à l'aube, ivre. Mensonges, dissimulations et tromperies abîment le regard plein d'amour que lui portait Éva. le bel-amant devint une bel-ordure.
Une écriture sensuelle et joueuse, une atmosphère tantôt aérienne et vaporeuse tantôt lourde et fiévreuse, des images littéraires comme des photographies, des lieux enchanteurs comme le château de Mortegoutte et sa chambre aux abeilles, des scènes suffocantes, des évocations poétiques, des déferlements de colère.
Je découvre Élise Fontenaille avec ce roman, et ses oscillations du coeur ont fait chavirer le mien.
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Qui est Adama ?

Avez-vous déjà eu l'impression que le livre que vous déteniez entre les mains devenait réalité. Cette sensation que l'histoire qui était écrite, d'un coup vous semblait être une rencontre entre deux personnes autour d'un café et qu'elle vous racontait sa vie ?

Voilà mon principal ressenti en finissant ma lecture. J'ai eu cette impression de réalité. Comme si je connaissais Eva au-détour d'une rencontre, et qu'elle me racontait sa plus belle histoire d'amour. Au travers de hauts, de bas, d'amour inconditionnel et de peines. le tout sans détour, ni chichi, elle se livre avec son âme.

Bel ordure est un témoignage, une déclaration d'amour, un hommage, pour un homme qui a marqué à jamais la vie d'une femme.

Un livre sans détour, avec des mots simples, des chapitres très rapide, dynamique, qui nous font regretter le mot fin qui arrive trop vite. Tant, nous n'avons pas envie de quitter notre héroïne.

Cette impression d'intimité dévoilée, une intimité discrète légère, tout en sensualité. Une sorte d'héritage pour que le souvenir perdure dans le temps, pour que cet amour ne disparaisse pas à jamais comme s'il n'avait jamais existé.

Bel ordure n'est pas une romance comme nous avons l'habitude de lire. Imaginé vraiment ,un journal intime, une libération avec des mots simples, dévoilant le passé le présent et d'une certaine façon un avenir, comme vous, vous pourriez le raconter à vos enfants plus tard, voir même vos petits enfants.

Totalement conquise par cette histoire Elise Fontenaille m'a fait découvrir la femme avant l'auteure.
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J'avais connu Elise Fontenaille (N'Diaye) par Blue Book, l'accablant récit du génocide perpétré contre les Hereros de Namibie en 1904, par le colonisateur allemand.
Ce livre est présenté comme un récit auto-fictionnel : celui d'un amour passionnel et tourmenté d'une écrivaine quinquagénaire vivant à Paris pour un Sénégalais d'une stupéfiante beauté. Je suis pantois devant cette lecture, incapable de lui attribuer une note synthétique, perplexe quant aux propos que je suis en train de rédiger et dont j'ignore encore la teneur.
Pendant deux premiers tiers de ma lecture, j'ai été animés par un sentiment de profonde irritation à l'égard de la narratrice – qui s'adresse tantôt au lecteur, tantôt à son amant Adama – Bel-Ordure. Sans doute c'est l'affichage autobiographique ou auto-fictionnel qui m'a autorisé à éprouver de tels sentiments, car, dans le cas d'une oeuvre fictionnelle, j'aurais su garder mon sang-froid à l'égard des personnages, face auxquels on peut au plus éprouver un certain degré de sympathie ou d'antipathie, d'empathie sinon d'identification ou bien d'éloignement. Mais là, j'étais purement et simplement en colère.
Il me semblait que, paradoxalement, la narration, j'allais écrire « l'étalage » d'une telle relation amoureuse relevait ni plus ni moins que du racisme. J'utilise ce mot à dessein, aussi paradoxal qu'il puisse sembler. Comment en effet s'épancher, s'abîmer sur la description d'une obsession érotico-sensuelle pour un homme dont on exclue toute dimension communicative, donc toute relation proprement inter-personnelle, en la remplaçant par le seul éblouissement devant sa beauté, une beauté qui est ressassée à longueur de chapitres ? Je m'interroge non sur la vraisemblance d'une telle obnubilation des sens – pas de moralisme, pitié... – mais sur la nature même de l'attraction pour l'exotique, voire sur le rapport qui existe entre exotisme et racisme – j'en prend pour témoin un essai lu il y a longtemps qui s'intitulait Sex and Racism par Calvin Hernton. Car enfin, aurait-on l'idée, surtout à un âge mûr, de se fondre, « telle la phalène happée par la flamme » dans le précipice d'une relation amoureuse basée sur l'unique phrase inaugurale : « Je vous trouve très beau » (p. 33) ? Se serait-elle engagée dans un tel amour si l'attraction remplaçant totalement le logos n'avait pas consisté dans l'attrait de l'exotisme ? Je ne sais répondre que par ce propos profondément raciste : L'autre, parce qu'Autre d'aspect, peut être dispensé de la parole. Et de fait, dès lors, il n'est aucunement étonnant qu'il s'en dispense lui-même. Allégrement. Outrancièrement. Ce silence, d'ailleurs ne fait qu'accroître le charme du mystère. Jusqu'à la rupture, où le besoin de connaître se manifeste enfin chez l'amante... Enfin !
Pourquoi Adama refuse-t-il de révéler son passé – sauf celui de danseur protégé par Maurice Béjart – ainsi que son présent – hormis son indigence ? Parce qu'il comprend que cela ne saurait que le desservir : « Sois beau (bande) et tais-toi » entend-on sa compagne penser très fort au fil des pages, tant que l'affaire est sexuellement et sensuellement satisfaisante.
Et, dans ces conditions de profonde asymétrie sur le plan humain car communicatif, comment la narratrice peut-elle à la fois s'aveugler et s'offusquer à l'idée que « son » homme, qui ne s'est jamais exprimé sauf pour revendiquer son besoin d'une liberté absolue et vitale (p. 67), puisse avoir d'autres relations féminines, voire même qu'il vive essentiellement comme un gigolo ?
Comment l'écrivaine, la femme de logos peut-elle, sinon mue par la pire bassesse, s'acheminer dans une relation fondée sur le monopole du discours ? Comment peut-elle se monter si odieusement moralisatrice sur l'alcoolisme de l'homme, avec des variations consistant occasionnellement dans ses ambitions rédemptrices d'icelui, en feignant de confondre le symptôme avec le syndrome ?
Pendant une bonne partie du livre, donc, furieux, je me suis exclamé que la Belle-Ordure, c'était l'auteure, dans la mesure exacte où l'histoire serait véridique. Et si l'on me prend pour un horrible machiste, c'est parce que je l'aurais accablée de l'offense ultime de raciste : on sera donc quitte !
Enfin, lors de la rupture progressive, l'histoire devient moins énervante. le dénouement dramatique – que je ne révélerai pas – qui s'inscrit bien dans cette rupture (sans la conclure) accompagné de la recherche de connaissance « rachète » la narratrice. Et, mystérieusement, je reconsidère l'oeuvre littéraire comme une opération réussie pour manipuler mes sentiments de lecteur. Les pages ont été tournée goulûment. L'écriture a été capable d'en inspirer une palette variée et successive. L'intérêt pour les personnages, y compris pour la narratrice, n'a fait que s'accroître. Leur complexité en résulte approfondie. L'axiome de la justification de mes sentiments en fonction de véridicité n'est-elle pas, au fond, une variante de la question – littéraire s'il en est – du réalisme ? Et donc, sur un plan strictement littéraire qui est celui à l'aune duquel devrait/doit être jugée une oeuvre qui porte en couverture la mention de « roman », ce livre est une réussite. le lecteur qui se croit pourtant assez déluré, surtout quant à la réflexion éthique, s'en trouve ici confondu.
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L'histoire d'Eva, je l'ai ressentie comme si elle se trouvait face à moi et qu'elle me racontait son histoire comme le ferait des amies de longues dates. Ce qui rend la lecture plus intime, ce qui n'est pas du tout désagréable.

Elle qui a aimé Adama d'une passion folle, nous raconte que cet amour n'était que destructeur, la boisson, les tromperies ... rien de bon et pourtant elle l'aimait cet homme !

Bel Ordure, c'est l'histoire qu'elle nous raconte, son histoire, un peu aussi comme une délivrance pour elle de pouvoir en parler, comme si cela pouvait la soulager d'un poids trop lourd. Et nous, nous l'écoutons, nous avons envie de la réconforter.

Certes, c'est un peu une romance, mais pas de la manière dont nous avons l'habitude de les lire. L'intimité que nous ressentons avec Eva donne vraiment une dimension toute autre à ce livre. Une dimension que nous avons du mal à quitter malgré le mot fin.

Un livre et une auteure à découvrir.
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Eva rencontre Adama, qu'elle trouve très beau. de fil en aiguille, une relation s'installe entre ces deux-là. Mais comment en sommes-nous arrivés à ce que Eva dépose une main courante, un beau matin après les attentats parisiens ? Avec elle, nous allons remonter ces derniers mois avec Adama, l'homme le plus mystérieux et attirant que Eva n'avait jamais rencontré. de leur rencontre à leur séparation, remontée d'une romance peu commune...

Ce récit commence par cet Adieu à Adama : la main courante, le refus de lui ouvrir la porte, nous avons là une Eva qui a les yeux bien ouverts sur la situation - la sienne, celle de son amant - et qui agit en conséquence des choses. Mais Élise Fontenaille revient sur la Eva du passé, aux yeux fermés, aveuglée par l'amour qu'elle porte à son oiseau de nuit. L'amour qu'elle porte à Adama est de plus en plus fort, et leurs parties de jambes en l'air sont plus intenses au fil des pages. Jusqu'à ce que vienne l'élément perturbateur, la chose qui fait que Eva veut des réponses à ses questions, et qu'elle ouvre lentement les yeux.

La plume d'Élise est très légère, à l'image de son récit, mais très imagée. Je me suis imaginée sans peine les différents lieux, les différentes scènes sans aucun soucis, bien que j'aurais apprécié avoir plus de descriptions sur les personnages, auxquels on ne s'attache finalement pas - ou très peu. Adama, on sent directement qu'il y a quelque chose qui ne va pas, surtout par la façon dont s'ouvre Bel Ordure, le personnage est trop mystérieux pour qu'on ne connaisse autre chose de lui que ses coucheries et qu'un quelconque passé sur les planches. Et Eva est photographe et aime Adama. Nous n'en savons pas tellement plus.

Concernant la fin, je l'ai trouvée assez prévisible, je m'y attendais. Quelle autre fin pouvait-il y avoir ? Aucune autre, c'est évident. Mais cela manque de surprise, de fraicheur. C'est trop attendu. En prenant un peu de distance entre la lecture et le moment où j'écris cet avis, Bel Ordure ne me paraît pas plus inoubliable que ça, le début m'ayant plus marqué que le reste, sans relief.

En bref, Bel Ordure est une courte romance, mais malheureusement pas inoubliable. Je l'ai lu d'une traite, mais cela ne m'a pas plus touchée que cela. Prévisible, personnages peu attachants, on a l'impression d'être laissé à l'écart dans cette lecture où on aurait envie d'en savoir plus.
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Merci aux éditions Calmnn-Lévy et à Babelio pour ce livre reçu dans le cadre de l'opération Masse critique.
J'ai eu quelques difficultés à entrer dans ce roman car le style d'écriture m'a semblé un peu lourd au début : la narratrice, Éva, s'adresse directement à son amant et mentionne son prénom constamment. le reste du livre est beaucoup plus fluide puisque Éva raconte son histoire au lecteur et ne parle plus à Adama.
Dès les premières pages, on assiste à la scène de séparation entre Éva et Adama. Notre héroïne va déposer une main courante au commissariat. C'est un peu cet épisode qui sert de prétexte à l'histoire que nous raconte ensuite Éva.
Il est question d'une rencontre un peu fortuite entre une femme d'une quarantaine d'années pas vraiment heureuse, qui entretient des relations avec des hommes plus jeunes qu'elle, et un homme d'origine sénégalaise qui a été un grand artiste, dans plusieurs domaines, et qui semble aujourd'hui ne plus vivre de grand chose mais qui est heureux de sa vie. Dès le premier regard, Éva en tombe folle amoureuse et Adama va se laisser faire. C'est donc l'histoire d'un amour obsessionnel et dévorant qui brille puis vacille.
Notre héroïne va tout faire pour sortir Adama de sa misère jusqu'à ce qu'elle mette en doute ses sentiments pour elle et se rende compte de la réalité.
Le titre laisse imaginer qu'Adama est la pire des ordures mais Éva nous explique qui il est, avec les informations qu'elle détient, et le défend contre tout.
J'ai apprécié l'histoire et toutes les références littéraires qui ponctuent ce roman. le tout se lit bien et on a très envie de savoir à partir de quel moment le bel Adama tant adulé passera au statut de "bel-ordure". Les 140 premières pages ne sont que passion, jusqu'à ce que l'on en aperçoive les limites.
Un beau roman.
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Roman très aisé et rapide à lire (volume peu épais).

Je ne suis pas convaincue que le titre convienne vraiment au contenu du livre mais bon, on peut le voir comme ça...

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Ce livre se lit en retenant sa respiration comme dans un seul souffle. Comme une passion qui se vit à 100 à l'heure mais qu'on sait pertinemment éphémère. Rien que le titre est un mauvais présage bien qu'au début de la lecture, on ne parvienne pas à deviner de quel côté va venir le malheur.
Tout, des chapitres aux titres suggestifs et imagés courts mais intenses, à l'écriture simple et limpide mais poétique, donne à ce roman son côté « urgent » : l'urgence de tout dire, de « déballer » ce qui a trop pesé sur le coeur, de déposer les armes et d'avoir enfin un peu de recul pour pouvoir analyser ces quelques mois tourbillonnants, passionnants, insouciants, où seul l'instant présent compte, où il n'est absolument pas question de parler du passé ou de l'avenir.
Vivre sa folie, faire des erreurs, admettre ses sentiments, assumer ses mauvais penchants et apprendre à vivre avec. C'est une des leçons que pourrait nous donner ce livre, s'il avait une quelconque mission.
Mais, à mon sens, telle n'est pas sa vocation. Ce récit est comme une opération à coeur ouvert, un abandon absolu de celle qui a vécu cette aventure. Un besoin certain de laisser une empreinte de cet épisode, une introspection quasi psychanalytique mêlée à un style imagé, métaphorique qui en font une oeuvre inclassable et pourtant tellement commune de par le sujet qu'elle traite.
A l'image d'une bouteille à la mer (ou de la fin tragique du roman) contenant ses démons, ses faiblesses, ses joies, l'auteur se détache de ce poids qui lui a donné autant de bonheur que de peine.
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Paris. Une histoire d'amour improbable. Il est grand, magnifique, noir, la soixantaine. Il habite ici et là, et dégage une aura fascinante. Elle a la quarantaine, est petite, ronde, blanche, et tombe éperdument amoureuse de lui. Mais, passés les premiers mois d'amour fou, elle se rend compte qu'il boit, qu'il la trompe allègrement, et vit des femmes qu'il rencontre. Mais comment mettre fin à une telle passion ?
Une belle histoire d'amour entre deux êtres que tout oppose. Avec une écriture sobre, l'auteur nous met dans la peau d'Eva, et on tombe presque amoureuse d'Adama, personnage original, charismatique, qui ne vit qu'au présent. de la passion, de la tendresse, de la colère, bref, une belle histoire.
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Ce roman s'ouvre sur la déposition d'une main courante par l'héroïne à l'encontre de son amant, elle est obsédée par lui, par leur histoire mais sachant que cela ne lui apporte rien de bon, elle tente de s'en défaire.

Ce court roman est le récit d'une histoire d'amour terrible, dévastatrice. Eva et Adama se rencontrent, Eva tombe follement amoureuse de cet être lumineux et attrayant pourtant inconstant et infidèle. Il a tous les défauts mais elle n'en fait que des qualités. Elle se voile la face, comme toute femme amoureuse, jusqu'à se perdre dans cette relation.

Adama n'accepte pas les entraves et les contraintes, la liberté est son seul crédo, il ne parle pas de lui, ne se raconte pas. Il est enveloppé de mystère, ce qui amplifie son charisme.

Dans ce roman au style pur et travaillé, il est question de passion, des limites de l'amour, mais également de reconstruction de soi. Jusqu'où une femme peut-elle aller par amour ? Que peut-elle endurer ? La description des affres de la jalousie est magnifiquement faite.

Ce qui m'a le plus plu dans ce roman c'est, outre le style de l'auteure, le vocabulaire parfaitement choisi, le langage est d'une très grande qualité, on aimerait en lire plus de cet acabit !

Elise Fontenaille traite de la dualité entre l'homme et la femme, entre la culture occidentale et la culture africaine, le mode de vie des sans abris et de celui des gens ayant un toit au dessus de leur tête, mais également de la différence culturelle entre les gens dit "connectés" et ceux qui s'y refusent.

Il y a comme un parfum de nostalgie de l'avant, avant internet,avant les attentats, avant les drames...

Je ne suis pas ressortie indemne de cette lecture, je n'ai pas tout de suite su si j'avais aimé le roman ou pas, il m'a fallu le temps de le digérer pour l'apprécier à sa juste valeur.

Je le recommande à celles et ceux qui aiment la belle écriture et les histoires d'amour tragiques.
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