" Ces femmes vont me lapider, ici, comme un chien. Pourquoi moi ? " Ainsi s'interroge le vétérinaire Gérald Devaux - dit le " bakoko ".
Pourtant, en arrivant à Mayotte, le bakoko pense sa vie tracé : un séjour de quatre ans et, au terme du contrat qui le lie à la Collectivité départementale, le retour en métropole.
Pris entre ses problèmes sentimentaux, ses obligations professionnelles - l'éradication des chiens errants, cet h...
>Voir plus