AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,09

sur 417 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'ai commencé "Dans la main du diable" un peu à l'étourdie, sans savoir qu'il s'agissait du premier volet d'une trilogie dont les deux autres volumes sont "L'enfant des ténèbres" et "Pense à demain".
Chacun compte 1000 pages.
Il s'agit d'une saga familiale pleine d'aventures et ce n'est pas mon genre préféré. La qualité de l'oeuvre n'est donc pas à incriminer mais mon goût seul.
En effet autour de la page 100, j'ai commencé à me lasser de l'héroïne, Mathilde, tellement bien élevée qu'elle en devient fade ; de Dora, prototype sans nuance de la femme libérée ; et de l'inquiétant Michel Terrier dont on a dès le début l'intuition qu'il n'est pas celui que l'on croit.
Certes le style n'est pas désagréable, mais parfois un peu trop précieux et alambiqué pour au final désigner des réalités assez banales.
Pourquoi ne pas avoir fait plus bref ? Une fresque doit-elle obligatoirement être aussi monumentale ?
Je n'ai pu m'empêcher de tourner les pages rapidement afin de voir si j'accrocherais à la suite, et s'il me fallait persévérer : il arrive que cette technique me convainque de continuer, toute oeuvre ne s'offre pas au premier abord.
Ce que j'ai découvert a confirmé mon manque d'appétence : espionnage, complots et autres scénarii qui m'ont ennuyée d'avance.
Je ne continue pas cette lecture qui prendrait trop de temps alors que d'autres oeuvres magistrales m'attendent.
Tout laisse cependant supposer que cette saga est excellente pour les amateurs de ce genre littéraire et doit réserver de bons moments : j'en ai pour preuve l'enthousiasme ailé de l'une de mes amies pour qui les trois mille pages n'ont pas été synonymes de longueur mais bien au contraire garantie d'un plaisir inscrit dans la durée.
Commenter  J’apprécie          40
Gabrielle est d'origine hongroise. Suite au décès de ses parents pianistes, elle est adoptée par sa tante Agota et vie au début du XXème siècle, à Paris. Amoureuse et sans nouvelles de son cousin Endre, ingénieur chimiste, depuis son départ en Birmanie, elle apprend sa mort 6 ans après. Elle décide d'éclaircir le mystère de cette disparition et se retrouve confrontée au secret militaire. Roman fleuve, le style classique, poétique et fourni, gène la narration et ralentit l'intrigue palpitante. Les personnages denses et attachants évoluent dans cette époque rendue vivante grâces aux anecdotes culturelles, sociologiques, scientifiques et politiques qui foisonnent. La jeune Gabrielle mène son enquête à l'aide de Dora son professeur de piano et meilleure amie et succombera au charme de Pierre Galay, chercheur à l'institut Pasteur, fils d'industriels et père de la petite Millie, née d'une rencontre en Birmanie dont Gabrielle deviendra l'institutrice.
Commenter  J’apprécie          20
Ce livre m'a été conseillé par ma belle-fille, qui l'a beaucoup aimé, et j'ai donc commencé cette lecture avec intérêt, ma belle-fille étant souvent de bon conseil.
Malheureusement, au bout de cent pages, je n'avais toujours pas accroché, ni à l'histoire, ni aux personnages, et j'ai donc abandonné ce livre, dans l'intention de le reprendre plutôt au coeur de l'hiver, où je serai peut-être dans de meilleures dispositions pour attaquer un tel pavé (suivi de deux autres aussi volumineux, puisqu'il s'agit d'une trilogie).
L'été, le retour de vacances, la paresse, tout cela a certainement contribué à mon impression de tristesse dégagée par ce livre.
Commenter  J’apprécie          11


Lecteurs (1018) Voir plus



Quiz Voir plus

Anne Marie Garat (1946-2022)

Apprenez à me connaitre, née par une nuit sans lune, je suis l'enfant des ...?..., celle qui voit dans le noir... tombée "dans ce qui ne la regarde pas, pour que cela la regarde.... "

ténèbres
lumières

10 questions
19 lecteurs ont répondu
Thème : Anne-Marie GaratCréer un quiz sur ce livre

{* *}