En littérature, j'aime le grand, le sublime, l'ambitieux, l'universel, ce qui, de par, sa beauté, de par sa réflexion, s'avère être plein de grandeur ; en revanche, je n'exècre rien moins, que ce qui est petit et banal.
Or, j'ai trouvé ce recueil de nouvelles d'
Anna Gavalda, d'une consternante banalité.
J'avais déjà été très déçu par "
Je l'aimais", du même auteur ; mais là, c'est encore pire.
J'ai été déçu de retrouver encore le même style d'écriture, que dans le roman mentionné ci-dessus ; c'est une façon d'écrire, que, décidément, je n'aime guère. Je la trouve banale, avec un vocabulaire commun, voire vulgaire ; et je n'ai trouvé aucune beauté, dans ce phrasé ; les phrases ne sont pas musicales, le style n'est pas élevé et élaboré.
Quant aux histoires, elles m'ont semblé extrêmemement communes.
En outre, j'ai été frappé par l'absence de profondeur et la superficialité, que j'ai trouvée dans ce recueil, si bien que, j'ai eu l'impression, qu'
Anna Gavalda, n'avait rien à dire.
Un recueil, qui m'a laissé une impression, de vacuité...