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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Elizabeth George fait partie du mon Panthéon personnel et je ne rate aucun de ses romans. Pour deux raisons, d'abord pour Thomas Linley la quintessence de l'inspecteur à mes yeux, et ensuite pour la qualité de ses intrigues. Je ne lui reproche qu'une chose, c'est d'avoir fait disparaître de la manière la plus horrible la personne qui comptait le plus pour Thomas Linley (voir « Sans l'ombre d'un témoin ») et de nous avoir privés de sa présence dans les tomes précédents. Oh ! Il était bien là mais je trouvais qu'il s'apparentait plus à une ombre, un fantôme du personnage qu'il avait été. Mais là, enfin, il est de retour notre Linley si impeccable, si charmant, si désuet parfois mais si humain. Et pourtant dans les premiers chapitres, j'ai cru qu'on allait une fois de plus ne l'apercevoir qu'en arrière-plan.
Car, au début du roman, c'est le couple (si on peut dire) Barbara Havers/Isabelle Ardery qui est envoyé à Ludlow, charmante bourgade au premier abord, pour vérifier que le diacre Ian Druit s'est bien suicidé après son arrestation. Pour Isabelle Ardery, plus préoccupée par son addiction à l'alcool que par cette affaire regrettable, le suicide ne fait pas de doute. Mais l'opiniâtre Barbara flaire autre chose et elle met le doigt sur une incohérence. Et comme elle est soutenue par Linley, les voilà tous les deux renvoyés à Ludlow pour confirmer ou infirmer les soupçons de Barbara. Et c'est à partir de ce moment-là que l'intrigue devient plus complexe, plus vénéneuse et que tout l'art d'Elizabeth George se déploie.
En effet celle-ci excelle dans les ambiances provinciales feutrées, les atmosphères familiales délétères : ses personnages sont rarement heureux, ils cachent souvent bien des secrets. Tout se fissure quand ils sont confrontés à des vérités qui les dérangent. C'est ce qui arrive une fois encore dans cette enquête. Et ceux ou celles qui se retrouvent sous les yeux inquisiteurs de Havers/Linley comprennent vite que leurs mensonges ne les sauveront pas.
Le rythme du roman est lent, c'est vrai, mais cela ne m'a pas dérangée. Au contraire, j'ai apprécié la lenteur de l'enquête car elle m'a permis de retrouver la relation qui existe entre Barbara Havers et Thomas Linley, j'ai retrouvé leur complicité, le flegme de Linley et les initiatives de Barbara (pas toujours appréciées de ses chefs), leur flair et leur professionnalisme qui leur permettent une fois de plus de résoudre la mort d'un simple diacre. C'est donc un roman à consommer sans modération !
Je remercie Babélio et les Editions Presses de la Cité de m'avoir permis de lire ce roman lors d'une opération Masse Critique.
Challenge Pavés 2019

Lien : https://labibdeneko.blogspot..
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Ca faisait quelques années que je n'avais rien lu de cet auteur, que j'ai pourtant dévoré à une époque…
J'ai donc été ravie de retrouver l'inspecteur Lynley, toujours aussi distingué et tiré à quatre épingles, sa comparse Barbara Havers qui elle au contraire, est toujours habillée comme un sac et ne mâche pas ses mots et leur chef, Isabelle Ardery, qui a un sérieux problème de boisson.
Ils vont devoir enquêter sur le suicide d'un suspect, décédé pendant sa garde à vue, cet homme étant diacre et soupçonné de pédophilie, l'affaire est épineuse.
Mais alors que la commissaire Ardery a juste envie de boucler l'affaire le plus vite possible pour pouvoir passer du temps avec ses bouteilles de vodka, Barbara comprend que cette histoire cache autre chose et que tous les protagonistes ont davantage à raconter que les apparences ne le laissent envisager.
Alors qu'Isabelle Ardery s'enfonce de plus en plus dans l'alcool, Lynley et Barbara vont effectuer un véritable travail d'investigation et découvrir la vérité.
Barbara s'est de plus découvert une passion toute récente pour les claquettes et cela m'a bien amusé.
Une plongée passionnante et haletante dans une petite ville universitaire anglaise.
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Quand on lit la 20ème enquête d'Elizabeth George, on peut dire, sans trop se tromper, qu'on aime cette auteure.

Après avoir été un peu déçue par ses deux précédents romans, je me suis vraiment régalée avec cet opus.
J'ai vraiment eu l'impression de lire ses premiers livres.

J'ai vraiment été très heureuse de retrouver mon duo fétiche l'inspecteur Lynley et le sergent Havers.
Une enquête très fouillée, comme d'habitude, qui traite aussi de faits de société tels que l'alcoolisme chez les jeunes, le respect des traditions...

C'est avec regret que je termine ce livre et me languis de retrouver prochainement Tommy et Barbara.

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Déjà le 20 ème tome des enquêtes de Lynley et Barbara ! L'attente a été de 2 ans et demi avec le précédent volume mais ça valait le coup !
L'action se passe dans un joli petit village typiquement anglais appelé Ludlow, ce village présente un intérêt historique avec de belles constructions anciennes.
Le commissaire Isabelle Ardrery est chargée d'enquêter sur le prétendu suicide d'un diacre très apprécié qui s'appellait Ian Druitt. Elle va devoir faire équipe avec Barbara Havers, et la garder à l'oeil car, depuis ses frasques en Toscane, celle-ci vit sous la menace d'une mutation dans un obscur bourg du nord de l'Angleterre. Aussi a t'elle tout intérêt à se tenir à carreaux et à ne surtout pas prendre d'initiatives personnelles. Sous l'influence de la secrétaire de Scotland Yard, Barbara s'est mise à pratiquer ... les claquettes, cela provoque plusieurs scènes assez cocasses.
Les deux femmes vont donc passer quelques jours à Ludlow où elles vont rencontrer la famille de Ian Druitt et plusieurs personnes de son entourage plus ou moins proche. L'accusation de pédophilie choque énormément ceux qui l'ont bien connu et ne tient pas longtemps.
Petit à petit, l'étau se resserre autour des étudiants à l'université et de leur famille, de l'îlotier qui l'a retrouvé mort alors qu'il était censé le surveiller, des autres membres de la police municipale.... Tous les personnages semblent avoir quelque chose à cacher.
Isabelle Ardery ayant des problèmes d'addiction et étant en instance de divorce, elle doit interrompre l'enquête et c'est alors Linley qui vient collaborer avec Barbara et là, on se régale de leurs joutes verbales toujours drôles, de leur complicité et complémentarité et de leur efficacité.
Je n'en dirai pas plus car il ne faut pas gâcher le suspense mais j'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture de ce roman ; malgré des thèmes glauques. la psychologie des personnages est très développée et il y a beaucoup de petites touches d'humour qui font du bien.
Les fans d'Elizabeth George ne devraient pas être déçus.
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Un grand merci à Babelio et les éditions Presses de la Cité, pour leur envoi gratuit de cet exemplaire du nouveau Elizabeth George, dans le cadre d'une opération Masse Critique Privilégiée :))

La bourgade so british de Ludlow bascule dans la panique lorsque Ian Druitt, le diacre censé irréprochable du village, est accusé de pédophilie, déclenchant une spirale d'événements destructeurs. Druitt est placé en garde à vue puis est retrouvé mort dans la cellule du commissariat, pendu à une poignée de porte. L'affaire est classée en suicide, mais le père de Ian Druitt est formel : son fils a été accusé à tort puis assassiné, il en est certain. le sergent Barbara Havers et sa chef la commissaire Isabelle Ardery enquêtent.

Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas lu de polar calme, sans ambiance inquiétante ou compte à rebours oppressant. Un Agatha Christie moderne en quelque sorte (quoique les Dix Petits Nègres de cette dernière sont l'exemple parfait de l'ambiance inquiétante et du compte à rebours oppressant). Durant presque 700 pages, l'auteure nous promène à travers les ruelles de Ludlow, sur les traces d'un mystérieux crime plus complexe qu'il n'y paraît. Ce qui laisse le lecteur tout à loisir de dresser dans sa tête une reconstitution des événements. Si simple, et pourtant si rare...

En outre, Elizabeth George ne s'arrête pas à écrire un polar plus calme que la moyenne. Non, elle en profite pour explorer les moindres recoins de chacun de ses personnages, leurs qualités et leurs défauts. Ce volume est le vingtième tome de la série Thomas Lynley, mais pourtant, là où beaucoup d'autres auteurs se seraient essoufflés, Elizabeth George nous livre un pavé génial. C'est peut-être aussi dû au fait que je commence la saga avec ce tome-ci, et qu'il ne souffre donc pas de la comparaison avec ses prédécesseurs !

Concernant la fin, . Mais je chipote ;)

Après le franc succès de cette première rencontre avec Elizabeth George, je compte bien retenter tôt ou tard l'expérience à partir du premier tome, Enquête dans le brouillard !

P.S. : Petite fôte d'aurtograf sur la quatrième de couverture du livre : « les habitant de Ludlow »...
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Un coup de mou ?
Une mélancolie tenace ?
Une misanthropie qui déborde ?
Prenez un Elizabeth George

Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas le réflexe...
De revenir à la dame
Certes parfois (rarement) je suis déçue
Mais là...
Je me suis coulée sourire aux lèvres sur la banquette arrière de la voiture de Barbara. Tantôt quelconque, tantôt Healey Eliott, car oui mes amis c'est ENFIN fait. Je lis une enquête de Barbara et Lynley, enquêtant ENSEMBLE, et même que je ne trouve pas l'inspecteur détestable bien au contraire (même si rien ni personne ne détrônera Barbara, Barbara, Barbara).
Comme d'habitude on se coule doucement dans ce nouvel endroit. On sait quel bâtiment on trouve en tournant à droite et la couleur du pull d'Harry le lundi matin. On salue chaleureusement Peace-On-Earth, oui merci un earl grey c'est parfait. Et on observe patiemment Elizabeth détricoter tout ça.

Alors voilà ça ne soigne pas les maux mais on se sent content de pouvoir revenir au bouquin dès qu'on a un peu de temps pour.
J'ai donc ajouté à mes pense bête tous ceux que je n'ai pas lus. Histoire de me réjouir. Comme Isabelle. J'ai besoin de ma petite rasade de vodka pour tenter d'affronter mon monde. (Et aussi de retrouver Barbara, Barbara, Barbara).
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"La punition qu'elle mérite" est le vingtième épisode des aventures de Thomas Lynley et Barbara Havers, respectivement inspecteur et sergent à Scotland Yard.
Lectrice de cette série depuis le début, je me suis littéralement jetée sur ce dernier opus, dévorant les 667 pages en moins de cinq jours.

L'histoire a pour cadre la petite ville de Ludlow dans le Shropshire. Ian Druit, diacre de la paroisse, apprécié de tous, a été arrêté pour pédophilie par l'îlotier Gaz Ruddock. Placé en garde à vue, sans surveillance il se serait suicidé. Connaissant très bien son fils le père du jeune homme ne croit ni à la pédophilie, ni au suicide. Commerçant important de sa région, il demande à son député qu'une nouvelle enquête soit faite.

Dans un premier temps l'affaire est confiée à la commissaire Isabelle Ardery et au sergent Barbara Havers. Isabelle Ardery séparée de ses enfants et de son mari pour cause d'alcoolisme - la vodka est son calmant - ne tient pas à s'attarder à Ludlow et souhaite confirmer rapidement les conclusions de la première enquête. Barbara qui a relevé des anomalies et des manques informe Lynley sur ses doutes.
Barbara et Thomas Lynley seront renvoyés à Ludlow pour reprendre l'enquête. Comme d'habitude leur duo fonctionnera parfaitement.
Compte tenu de son travail la menace d'être transférée dans un commissariat du nord de l'Angleterre pour Barbara sera levée. (voir "Juste une mauvaise action").

Pour enrichir son histoire Élisabeth George nous promène dans Ludlow et ses environs, crée toute une kyrielle de personnages, plus ou moins impliqués dans le drame : Gaz, l'îlotier, des jeunes étudiants, leurs familles, le pasteur de la paroisse, la logeuse de Ian, la médecin légiste,Trevor et Clover Freeman, parents de Finn, l'un des étudiants, Missa, ses parents et sa grand-mère. Elle nous raconte leurs histoires individuelles sans lien souvent avec la mort de Ian. Elle complète également la biographie de ses deux principaux personnages, Thomas et sa liaison avec Daidre, Barbara et ses cours de claquettes où l'a entraînée Dorothéa, secrétaire du préfet Hillier.

Je suis sûre que, comme moi, les inconditionnelles d'Élisabeth George auront apprécier le clin d' oeil des dernières pages où elle cite parmi les spectateurs au gala des claquettes ses personnages récurrents comme Simon, Deborah, Winston, Charlie et même Salvatore.

Pour conclure je pense qu'il n'est pas nécessaire de préciser que j'apprécie énormément cette auteure et ses ouvrage, (sauf ceux classés young adulte). J'en conseille très vivement la lecture.
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La punition qu'elle mérite est le premier partenariat que j'ai reçu dans le cadre de mon statut Sherlock Holmes sur BePolar. Je remercie sincèrement BePolar et les Éditions Presses de la Cité pour cet envoi.


Placé en garde à vue, un diacre, Ian Druitt soupçonné de pédophilie, est retrouvé pendu. L'affaire est classée en suicide. Mais le père de l'homme d'Eglise ne croit ni aux accusations portées contre son fils, ni à la cause de sa mort. Il est appuyé par un député qui fait rouvrir l'enquête.


La commissaire Isabelle Ardery est dépêchée sur place avec le sergent Barbara Havers. C'est l'occasion pour elle de mettre sa subordonnée à l'épreuve. Cette dernière est en sursis. Tous ses faits et gestes sont surveillés.


La commissaire, qui se débat avec des problèmes personnels, est pressée de rentrer chez elle. Or, Barbara estime que les faits ne sont pas si clairs. Elle reforme son duo avec Lynley.


C'est le vingtième opus des enquêtes de Lynley et Havers, mais le soufflé ne retombe pas. J'ai commencé la série par le douzième tome (Un nid de mensonges). J'avais tellement aimé que j'avais repris la série au début, en commençant par Enquête dans le brouillard, puis en lisant tous les tomes dans l'ordre. Depuis, je lis chaque livre à sa sortie. Comme je l'ai déjà dit, c'est Elizabeth George qui m'a donné le goût des polars.


Lorsque j'ai lu La punition qu'elle mérite, j'ai eu la sensation de retrouver, avec joie, des amis chers. Même si les tomes peuvent se lire de manière indépendante, je pense que le fait de connaître Harvard et Lynley apporte du plaisir en plus. Ils ont beaucoup évolué au fil des enquêtes et leur personnalité est ce qui rend ces livres différents des autres. Je suis très attachée à eux. Ils apportent une touche British savoureuse.



Dans cet opus, Barbara Havers se révèle de plus en plus attachante et émouvante. Elle est au premier plan. Isabelle Ardery dévoile ses nombreuses failles et souffrances. Thomas Lynley est toujours un gentleman qui fait preuve de très grande élégance dans sa façon d'être.



L'enquête est très complexe. Sans la sagacité de Barbara et l'audace de Thomas Lynley, elle aurait été bâclée. J'ai eu beaucoup de noeuds dans le cerveau, Elizabeth George m'a emmenée sur beaucoup de pistes. En effet, les investigations de mes limiers adorés ont mis à jour d'autres délits et crimes. Mais qu'est-ce qui les relie ? Je peux dire que je n'ai pas le talent d'Havers et Lynley, car je n'avais tiré aucune conclusion. J'ai adoré me torturer les méninges, soupçonner tout le monde de mentir et ne pas réussir à trouver les mobiles et les coupables, ni les liens entre les différents personnages. Elizabeth George explore la vie d'une petite ville et met à jour son mode de fonctionnement et ses travers. Elle analyse les relations familiales, les agissements de la police, les moeurs des étudiants, etc.



Je suis fan de la façon dont le duo mène les interrogatoires, leur façon de mettre face aux contradictions, le tout avec un brin d'humour britannique...


La suite sur mon blog...
Lien : http://www.valmyvoyoulit.com..
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Barbara Havers est dans la mouise : depuis sa dernière incartade, elle est sur la sellette et la commissaire Isabelle Ardery est décidée à ne rien lui laisser passer. L'affaire qui les mène toutes les deux dans le Shropshire est un test : l'avenir de Havers ne tient qu'à sa bonne conduite et à la résolution rapide de cette enquête. Mais les motivations des deux femmes sont bien différentes : là où l'une recherche la vérité, l'autre aspire à une conclusion bâclée afin de retrouver au plus vite Londres et ses addictions.
Cependant, malgré les enjeux en cours, on ne refait pas Barbara Havers, qui préférera ouvrir sa bouche quitte à perdre sa tête.
J'ai déjà évoqué ici tout le bien que je pense d'E. George et ma fidélité, au travers des années, à Lynley et Havers. Ici, l'auteure a mis un peu de côté le très British Lynley pour s'intéresser et approfondir Isabelle Ardery, apparue dans "Le Cortège de la mort".
Je l'avoue, Ardery m'était particulièrement antipathique. Tout le talent d'E. George a été d'inverser la tendance et de rendre ce personnage de profondément détestable à pathétique et... émouvant.
Un tour de force brillant, qui m'attache encore plus à cette auteure, à ses histoires et à ses personnages que je retrouve à chaque fois comme s'ils étaient de vieux amis.
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Reçu dans le cadre d'une masse critique privilégiée. Nouvelle enquête de Linley et Havers que je prends toujours plaisir à retrouver. Il est évidemment également possible de le lire sans rien connaître des précédentes aventures d'Havers et Linley, même si vous risquez de rater quelques éléments secondaires.

Ici le thème m'a particulièrement plu. Un prêtre se suicide après avoir été arrêté à la suite d'accusations de pédophilie. C'est un thème d'actualité et j'aime bien changer des crimes plus classiques.

Barbara et Isabelle Ardery se retrouvent à enquêter ensemble dans la petite bourgade de Ludlow. Voir la commissaire Ardery enquêter avec Barbara était un changement sympathique de même que le nouveau passe-temps de cette dernière, les claquettes. Cela a engendré pas mal de scènes cocasses.

J'aime toujours autant l'écriture d'Elizabeth George. Toutefois, point négatif pour moi à cette lecture, de nombreuses typos se sont glissés dans cette dernière mouture de la punition qu'elle mérite. Je trouve que ce n'est pas digne d'une maison d'édition comme Presses de la cité...
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