Le pacifiste radical
Georges Bonnet, fut taxé de faiblesse lorsqu'il fut ministre des affaires étrangères, face aux exigences d'Hitler. Prudemment il resta quelques temps en Suisse à la Libération et publia plusieurs ouvrages justifiant son action. Insubmersible, il reprit la vie politique locale et retrouva sa mairie de
Brantôme, sa circonscription de Nontron et son canton de Champagnac de Bélair.
On lui doit aussi, pour l'anecdote, une action contre les bangs supersoniques.