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EAN : 9782733866931
436 pages
Auzou Editions (21/02/2019)
3.83/5   21 notes
Résumé :
Anulika ― ex-danseuse devenue hybride ―, Martin ― en quête de reconnaissance paternelle―, Coriander ― petit génie horripilant―, Cassiopée ― fille à papa encore plus horripilante ― et Séverin, le taiseux solitaire. Dans un avenir proche, ces cinq jeunes gens nous racontent leur première année à la prestigieuse école d'ingénieurs SupRobotique : coups de foudre, rivalités, états d'âme, mais aussi réflexions sur les différ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Première année à SupRobotique, prestigieuse école d'ingénieurs, pour Martin, Anulika, Coriander, Séverin et Cassiopée. Ils vont participer à la coupe du monde de robotique, ils se cotoient un peu plus pour certains... Coriander, feu follet qui veut tout mener parfois à ses dépends, Martin qui s'éprend d'Anulika. Séverin, le voisin casse-pied de Coriander qui se révèle, malgré son caractère nonchalant, un jeune homme assez avenant et Cassiopée, qui ne montre pas son meilleur atout. J'ai beaucoup aimé les changements de personnages, découvrir le point de vue de chacun même si, au début, il était difficile de les reconnaitre. Dommage qu'on n'est pas les visions de Parsley par exemple, comprendre l'autre version de cette relation avec sa soeur jumelle. Quels critères déterminent l'entrée à SupRobotique ? Parsley a été acceptée alors qu'elle semble vraiment hors de son élément. Comme Anulika, un peu. Pourtant le frère de Martin qui est le top du top a été refusé... Bref, des détails.
Beaucoup d'humour pour cette histoire pleine de légèreté avec en fond la science, la robotique, les études, l'entraide, l'amitié et bien sûr, l'amour. Les cours sont assez discrets mais comme le titre l'indique, il est surtout questions de sentiments. Aurélie Gerlach s'est inspiré de l'ENS de Lyon (Villeurbanne) pour situer et raconter la vie en groupe de ses étudiants. Une lecture qui donne le sourire.
Merci à Babelio et aux éditions Auzou pour cette découverte.
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Amours et rivalités à l'école de robotique.
"Existera-t-il un jour des gens capables de réduire toute notre existence à une poignée de formules mathématiques ?". En quelques lignes, le décor et la problématique sont plantés : à SupRobotique, les graines d'ingénieurs sont "les artisans de la société de demain". Il n'y a qu'à voir la jeune Anulika qui, immobilisée suite à un accident, suit les cours grâce à son "robot de téléprésence", un écran fixé sur un socle de 1m50 projetant son visage et lui permettant de circuler dans le bâtiment. le cours d'introduction à la robotique, avec ses histoires de capteurs/processeur/actionneurs et ses domaines d'application des nouveaux androïdes m'a rappelé l'exposé de technologie sur lequel je travaille avec mes élèves: c'est très exactement le programme dispensé en 3e ! C'est dire combien le thème est d'actualité. Un système de gants permettant de traduire la langue des signes en discours oral, une machine humanoïde se contrôlant par télépathie, le concept de "curiosité artificielle"... le roman évoque plusieurs robots d'un futur pas si lointain, avec cette éternelle interrogation : les machines sauront-elles, un jour, égaler l'homme ? ("Tous les ordres que tu donnes à ta machine peuvent être transcrits uniquement avec des 1 et des 0. le résultat c'est que ton robot "pense" aussi en binaire. Les humains ont rarement une vision aussi nette. Les machines ont des certitudes. Elles sont pas là à se poser des questions sur ce qu'elles doivent faire de leur vie. Elles se fatiguent pas les méninges à rêvasser.") Peut-être même les surpasser ? "La programmation humaine est mal fichue", les hommes se laissent souvent dominer par leurs sentiments, point faible dont sont exempts les robots ! Mais n'est-ce pas ce qui fait de nous des êtres libres et "illimités" ? Une machine "ne peut pas aller au-delà des possibilités qui ont été définies par son créateur"... Enfin se pose la question de l'éthique : envoyer des robots militaires faire la guerre, n'est-ce pas "tuer les autres en restant à l'abri" ? Ainsi le sujet fait débat et le livre soulève plusieurs pistes de réflexion dans l'air du temps.

Et pour alimenter la discussion, un panel de sacrées personnalités alternent leurs voix ! D'un côté "les héritiers" : Cassiopée la "peste sophistiquée" et son ami d'enfance Paul Le "beau gosse tordu", dont les familles dirigent des "géants de la technologie". Pour ces enfants gâtés, Anulika est "l'idiote dans le robot" et Coriander, petit génie exubérant de la programmation, un "monstre de foire". Ça clashe dur entre Cassiopée la glaciale et Coriander l'explosive et l'ambiance à SupRobotique est très animée ! Les dialogues sont enlevés et l'auteur nous régale de son humour à toutes les phrases, dans une écriture hautement addictive.
Par ailleurs les retournements de situation sont nombreux car chacun des protagonistes affiche un "masque" visant à se préserver des autres. Tous vont beaucoup évoluer au contact du groupe et se révéler progressivement. Derrière son insolence, Coriander cache un certain mal être. Sa jumelle Parsley vit "dans l'ombre d'une soeur dont le talent et la personnalité occupent tout l'espace". Martin doute beaucoup de lui car sa famille l'a toujours dévalorisé au profit de son aîné ("Personne n'a l'air impressionné"). Cassiopée est plus fragile qu'elle veut bien le faire croire. Quant à Séverin le flegmatique, "on ne sait jamais rien de ce qui se passe dans sa tête". Entre eux tous, les liens se font et se défont au gré des non-dits et des malentendus ("Vous n'êtes pas toujours honnêtes les uns avec les autres, ou avec vous-mêmes") et l'on a souvent "l'impression de regarder une série télé sentimentale".

Une chose est sûre : leur projet pour la Coupe du monde junior de robotique (alias Bruce le robot de kung-fu) constitue "le ciment de notre petit groupe" et on voit bien au fil de l'intrigue que "tout avait changé en l'espace de quelques semaines" dans leurs relations. Comme quoi les humains, comme les robots, "sont capables du meilleur comme du pire"... Les créateurs ne réalisent-ils pas leurs créatures à leur image?
Lien : https://www.takalirsa.fr/le-..
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Coriander: jeune fille sans filtre. Petit bout de femme qui ne s'en laisse pas compter et au tempérament bien affirmé. Elle joue aux insensibles, ne comprend pas toujours la nature humaine et est davantage à l'aise avec les robots qu'avec les humains. Elle a du mal à communiquer avec ses semblables mais cela ne l'empêche pas d'essayer. Elle embarque Martin, sa jumelle Parsley, et Anulika dans un concours sans même qu'ils ne lui aient donné leur accord. Son caractère risque de lui jouer bien des tours mais avec un petit coup de pouce, elle pourrait bien évoluer.
Martin: jeune homme qui marche dans les traces de son père et qui entend bien réussir là où son frère à échouer. Lorsqu'il arrive à SupRobotique, il tombe immédiatement sous le charme d'Anulika, une jeune fille très particulière. Coriander lui tape sur les nerfs et il s'en veut de s'être laisser embarquer dans une compétition à ses côtés. Malgré tout, c'est un bon camarade et il est très attachant. Sa gentillesse et sa maladresse avec les filles le rendent attendrissant.
Anulika: elle rêvait d'être danseuse professionnelle. Malheureusement, un accident de voiture lui a brisé son rêve. Elle fait sa rentrée à distance, pilotant Otave, un robot qui lui permet d'assister aux cours, sans quitter son lit à 120 km de l'école. Elle est plutôt réservée de prime abord, mais au fur et à mesure, sa vraie personnalité se révèle.
Séverin: c'est un bon gars tranquille. Il est dans l'observation de ses semblable. Discret, mal fagoté, il essaye de garder ses distances avec les autres mais son bon cœur le pousse à sortir de sa réserve et il joue un rôle de médiateur non négligeable.
Cassiopée: jeune fille de bonne famille, elle fait partie de l'équipe adverse, l'équipe à abattre. Elle est hautaine et sûre d'elle. Mais est-elle vraiment aussi insensible et inaccessible qu'elle ne le semble?

Tous ces personnages se croisent, se lient, se déchirent, apprennent les uns des autres, évoluent avec à l'horizon une terrible compétition qui s'annonce. Quiproquos, amitié, amour, robotique, une chose est sûre: ils ne sont pas aux bout de leurs surprises...

Quelle super lecture!
J'adore les récits "chorale" où chaque personnage prend la parole et nous livre ce qu'il est. C'est génial de voir évoluer les personnages, cela les rend d'autant plus attachants. J'ai tout aimé: l'histoire, les personnages qui sont tous si différents.
Coriander est haute en couleurs, surprenante: tantôt agaçante tantôt émouvante. Elle cherche à contrôler le monde mais le monde n'est pas prêt à se laisser contrôler aussi doit-elle apprendre à communiquer autrement et laisser transparaître ses failles.
Séverin est un personnage posé et mature dont j'ai vraiment aimé le caractère. Il est assez mystérieux et j'ai bien aimé suivre son histoire.
Martin est un personnage un peu "candide" sur certains points, il est très "vrai": c'est le bon pote. Anulika est peut-être celle que j'apprécie le moins bien qu'elle se révèle avoir plus de caractère que prévu, elle reste parfois agaçante.
Cassiopée est loin d'être lisse et froide contrairement aux apparences, son évolution m'a également convaincue.
C'est un roman à la fois sentimental mais pas seulement, c'est une peinture humaine avant tout. Un roman où chaque typologie de personnage n'est pas "un" mais multiple. Chaque être est complexe et la psychologie des personnages est vraiment bien rendue, je suis entièrement séduite.
Je me suis régalée avec cette lecture que j'ai dévoré en trois heures. Impossible de lâcher ce livre tant il y a de rebondissements.
Tout simplement formidable!
Lien : https://parfumsdelivres.blog..
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Je ne me rappelle plus bien pourquoi j'avais demandé le Labo des sentiments à la Masse Critique. Peut-être pour la couverture, peut-être parce que c'était les éditions Auzou et que j'avais adoré Des nuits de sang et d'étoiles (chroniqué dans Bloggers'), ou tout simplement parce qu'il promettant de faire un lien tangible entre l'humain et la machine… Toujours est-il qu'il n'est pas ce à quoi je m'attendais. D'une certaine façon il était absolument génial, d'une autre il manquait aussi de profondeur.

Commençons par le côté vraiment génial de ce roman. Déjà, c'est un roman choral et j'adore ça ! Les points de vue des personnages s'enchaînent à la perfection nous donnant à voir une pluralité de caractères, de réflexions mais également au delà de leur apparence. Les débats intérieurs de Cassiopée vue comme l'éternel garce, la fragilité de Coriander que l'on croit un génie sans coeur, ou encore le côté presque méchant d'Anulika blessée par son accident et obligée de se déplacer dans un robot commandé à distance. J'ai un peu moins aimé le personnage de Martin que je trouve assez lourdaud et manquant étrangement de finesse au contraire de Séverin, un taiseux solitaire aux réflexion souvent piquantes. Cinq personnages autour desquels gravitent d'autres étudiants en robotique mais aussi des enseignants. Quelques réflexions sont également faites du côté de la machine. Ses bienfaits et méfaits, l'apparente facilité que ce serait d'être un robot vis à vis des émotions, des relations, etc. J'aurais aimé que celles-ci soient davantage poussées et que l'on reste peut être moins au stade des amourettes de lycéens. Que les deux se lient davantage, mais l'un n'est souvent rien d'autre qu'un prétexte pour l'autre et cela m'a un peu dérangée.

Au delà de cela nous retrouvons les traditionnelles histoires de lycéens (on ne sait pas trop à quel niveau ils sont) entre amours déçues, quêtes de liberté, dépressions, foi aveugle et mensonges. Les plus gros mensonges étant bien entendu ceux qu'iels se racontent. Sans toujours verser dans le mélodrame, Aurélie Gerlach en abuse un peu tout en y ajoutant une bonne dose d'humour. C'est d'ailleurs celui-ci qui m'a permis de lire le roman de bout en bout et de ne pas le lâcher… Ça et les quelques répliques bien senties auxquelles je n'ai pas pu m'empêcher de me dire « si tous les adultes pouvaient nous parler comme ça on avancerait beaucoup plus vite ».

Un dernier point qui pour moi a été réellement décevant, c'est cette espèce de sous-intrigue faisant de Paul le grand méchant de l'histoire, manipulateur et arnaqueur. Je ne révélerai rien dessus mais franchement je ne suis pas sûre que c'était nécessaire de rajouter ça à l'histoire alors que ça ne lui apporte strictement rien, au contraire. de plus, à aucun moment nous ne connaissons les motivations de Paul, son point de vue n'est jamais exprimé, au contraire de Cassiopée qui fait aussi partie des « méchants ». Je trouve ça dommage pour un roman choral qui s'attachait autant à comprendre ce qui motive l'être humain à entreprendre et dire telle ou telle chose.

En résumé

Le Labo des Sentiments est un roman jeunesse choral, se servant du prétexte de la robotique pour présenter les fêlures de l'adolescence. Entre humour et situations rocambolesques, nous sautons d'un point de vue à l'autre pour comprendre ce qui anime ces personnages aux caractères bien trempés. Malgré quelques points négatifs cela reste une lecture agréable 🙂
Lien : https://lesdreamdreamdunebou..
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D'abord le titre: il induit en erreur car derrière on ne se doute pas du tout de ce qui va apparaître. Et on risque de ne pas aller vers ce livre qui pourtant, vaut la lecture.
Car Bienvenue à l'école d'ingénieurs SupRobotique où les plus brillants élèves travaillent sur la question des robots intégrés dans notre société. Plein de questions de sociétés, sur la robotique et l'intelligence artificielle accessibles à tous, alors que la coupe du monde de robotique se profile.
Ce roman choral nous fait partir à la rencontre d'une galerie de personnages loufoques et plein d'humour qui nous régalent de leurs aventures. Une femme-robot, la peste de petite fille du directeur, un timide, une surdouée, un beau gosse et j'en passe. Des personnages qui ont tous leur personnalité, leur mot à dire.

Je regrette que les visions des personnages s'enchaînent et nous perdent parfois, le côté exacerbé des gaffes à la Gaston et l'intrigue qui se perd dans toutes ses rivalités et retournements de situations.

On ne peut néanmoins pas oublier de mentionner que c'est drôle, très drôle avec des répliques désormais cultes.
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critiques presse (2)
Ricochet
07 juin 2019
L'auteure française continue de nous séduire à travers son écriture alerte et originale. Sans oublier son humour acéré.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Actualitte
05 mars 2019
Le sujet qui peut paraître effrayant, de prime abord, est traité avec une bonne dose d’humour et laisse se dissiper la vision d’un avenir mécanique, car l’ère des émotions est bien loin de s’éteindre. Ce livre s’adresse à un public ado, léger et légèrement déjanté, mais il reste un bon roman feel good qui se dégustera vite et bien !
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Ce mariage entre deux machines ne pouvait être qu'une farce stupide.

Me voici maintenant, quatre ans plus tard, avec une opinion un peu différente. Les émotions humaines ne me semblent plus si surnaturelles que cela. Comme les robots, ne sommes-nous pas tous programmés, à notre manière, par nos instincts, notre éducation ou ce que la société attend de nous ? Est-ce vraiment nous qui rêvons, qui aimons, qui ressentons, ou nos geste sont-ils guidés par des milliers de ficelles invisibles ? Existera-t-il un jour des gens capable de réduire toute notre existence à une poignée de formules mathématiques ? Vous avez le droit de penser que je me prends un peu trop la tête. C'est vrai que ces derniers temps, ce n'est pas très drôle de traîner avec moi.
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Ça fait 18 fois que tu prononces son nom depuis ce matin... Et pour être honnête, c'est en-dessous de ton régime habituel. Quand tu n'es pas fourré avec elle - ce qui est le cas les trois-quarts de ton temps libre - t'es incapable de laisser passer une demi-heure sans parler d'elle avec des putains d'étoiles dans les yeux. Tu sais quoi? C'est trop énervant!
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Traîner avec un robot conçu pour s'entendre avec toi et partager tes goûts c'est de la paresse ou de la lâcheté;
- De la lâcheté? interroge le directeur.
- Oui, parce que c'est confortable. Ça empêche d'être bousculé par l'inattendu, et vivre sans être bousculé, ça ne vaut pas le coup.
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Parfois, j’ai l’impression de me battre contre des moulins à vent. De passer ma vie à ramasser à la petite cuillère des jeunes gens – en particulier des jeunes filles – obsédés par ce qui ne fonctionne pas chez eux. En refusant de voir que ce qu’ils considèrent comme leur faiblesse est probablement leur plus grand atout. Fichue jeunesse. Je suis bien contente d’en être sortie.
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Il n’y a que les autres humains qui peuvent nous surprendre ou élargir nos horizons. Traîner avec un robot conçu pour s’entendre avec toi et partager tes goûts, c’est de la paresse ou de la lâcheté. […] Parce que c’est confortable. Ça empêche d’être bousculé par l’inattendu, et vivre sans être bousculé, ça vaut pas le coup.
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Vidéo de Aurélie Gerlach
Dans ce nouvel épisode de notre podcast, Pascale, Mona, Mégane, Marjorie et Jeremy, tous les cinq libraires à Dialogues, partagent leurs derniers coups de coeur en jeunesse. Six livres au format poche, parfaits pour l'été !
Bibliographie :
Une première lecture à partir de 7 ans : Un oiseau dans la classe, de Jo Hoestlandt (éd. Bayard Jeunesse) https://www.lesenfants.fr/livre/22024848-un-oiseau-dans-la-classe-jo-dominique-hoestlandt-bayard-jeunesse
- Une première lecture à partir de 8 ans : Aux douceurs enchantées, les sablés de métamorphose, de Aurélie Gerlach (éd. Gallimard Jeunesse) https://www.lesenfants.fr/livre/20858331-aux-douceurs-enchantees-les-sables-de-metamorp--aurelie-gerlach-gallimard-jeunesse
- Un roman : Les tribulations d'Esther Parmentier, sorcière stagiaire - Cadavre haché, Vampire fâché, de Maëlle Desard (éd. Rageot éditeur) https://www.librairiedialogues.fr/livre/21676443-les-tribulations-d-esther-parmentier-sorciere--maelle-desard-rageot-editeur
- Un manga: Iruma à l'école des démons T.1, de Osamu Nishi (éd. nobi nobi !) https://www.librairiedialogues.fr/livre/17235538-1-iruma-a-l-ecole-des-demons-t-1-osamu-nishi-nobi-nobi
- Un roman : N.É.O - Tome 1 : La chute du soleil de fer, de Michel Bussi (éd. PKJ) https://www.librairiedialogues.fr/livre/22330424-n-e-o-n-e-o--tome-1-la-chute-du-soleil-de-fer-michel-bussi-pocket-jeunesse
- Un roman: La Clé des Champs, de Audrey Faulot (éd. Gallimard Jeunesse) https://www.librairiedialogues.fr/livre/22330424-n-e-o-n-e-o--tome-1-la-chute-du-soleil-de-fer-michel-bussi-pocket-jeunesse
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