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sur 2182 notes
Où comment un simple amoureux de la forêt se retrouve embarqué dans une aventure des plus terrible, malgré lui, de par la force des choses, de par son obligation d'honnêteté envers lui-même.
Notre auteur a su cerner plusieurs interrogations sur notre perception, des faits, des actes, cette perception qui détermine notre vérité.
Très belle déconstruction des notions de vérités "universelle".
Notre auteur a également su ne pas faire le parfait héros de Richard, au contraire, j'ai trouvé très intéressante cette construction d'un héros "feeling", un héros "mais purée, comment vais-je pouvoir m'en sortir, j'y comprends rien à vos salamalecs ! " :D
Jamais il ne détient ne seraient-ce que les prémices d'une ébauche de tactique ou de connaissance, jamais il ne détient la boussole de sa destinée.
Il subit, il réagit en fonction de la situation telle qu'elle lui est imposée.
De même, notre mère inquisitrice se découvre bien perfectible, et bien des fois son masque se fissure.
C'est un ouvrage dense (et les suivants "pires" encore :) ), donc faire attention à qui le conseiller, lecteurs "débutants", se le réserver pour juste un peu plus tard (mais ne pas l'oublier).
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La 1ère chose à dire pour moi dans cette chronique c'est : Merci à mon ami Aurélien pour la découverte de cette Saga ! Un cadeau enchanté.
Ce roman est du genre Fantasy très accessible : Des personnages qui représentent le bien contre le mal, ayant chacun une personnalité propre, tous très différents les uns des autres, et tous unis dans la même quête : Sauver leur monde !
Ça semble assez bateau comme sujet, et pourtant je ne me suis pas ennuyée une seule minute ! C'est tout de même un pavé de 1010 pages dans la version poche ! Certe, l'histoire est convenue, mais les réactions du personnage principal sont assez réalistes (il se pose beaucoup de questions, Il doute, il veut tout abandonner, il veut mourir etc...) cela lui donne un peu plus de consistance.
Je me suis attachée à chacun des protagonistes. Entre l'intelligence de Richard (même si c'est le parfait cliché du gentil...), le côté facétieux et truculent de Zedd, la bienveillance et la force de caractère de Kahlan, la force physique et le courage de Chase. C'est une équipe de dingue que j'ai j'adoré ! A cela on ajoute un peuple qui parle aux esprits, un dragon, un loup qui parle, des garns terrifiants etc... Bref un bestiaire riche et inimaginable !
Une bonne partie du tome peut paraître long parce qu'il y a peu d'action, mais c'est nécessaire pour placer l'univers et travailler sur les personnages et j'ai bien aimé cette longue mise en place qui nous fait voyager sur les terres des protagonistes si bien détaillées et décrites.
Beaucoup de rebondissements, un peu d'humour, de l'amour interdit, de la magie insoupçonnée, des méchants très méchants et c'est une épopée haletante qui s'en suit !
Mais attention : Sur la 2eme partie du roman, ce n'est plus un conte de fée ! Un passage inspiré du Sado Masochisme, à mon sens, est très violent ; Même si la description du vécu des personnages impliqués (notre cher Richard et la mauvaise Denna) est d'une puissance.... Alors qu'on déteste cette femme malsaine dès sa rencontre, une empathie va petit à petit prendre la place : Là c'est la magie du narrateur qui opére !
Ensuite entre soupçon de pédophilie, torture, sadisme, scène de viol et de vengeance terrible, ce roman aborde là un tournant en matière de cruauté pour l'histoire. Ce n'est donc pas pour la jeunesse....
Enfin, j'ai bien compris la 1ère leçon du sorcier et donc vu la fin arriver. Mais c'était tellement bon cette aventure !
Je suis ravie d'avoir les tomes suivants pour retrouver ces personnages et leur magie très bientôt !
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J'adore les grandes saga fantasy, celles où il y a tellement de tomes à lire qu'on se dit, je n'en viendrai jamais à bout. Mais bien sûr qu'on y arrive si c'est bien écrit, que l'histoire est intéressante, les personnages bien pensés et le décor bien planté.
Dans ce premier tome, Richard se retrouve embarqué bien malgré lui dans la lutte contre DarkRahl qui essaye d'envahir tous les mondes en faisant sauter les frontières. Petit fond amoureux bien sûr. Pas trop de bataille pour ce premier tome. L'objectif de la quête, récupérer la troisième boite d'Orden avec ses deux compagnons mais chacun cache d'entre eux cache un secret aux autres. Les secrets ne vont-ils pas faire capoter la mission ?

Première leçon : Les gens ont tendance à tenir pour vrai ce qu'ils souhaitent être la vérité ou ce qu'ils redoutent être la vérité.
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Tomber dans l'univers de Terry Goodkind se révèle captivant et addictif. J'ai adoré ce premier volet, il me faut la suite des aventures de Richard.
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Cette première aventure de l'épée de Vérité est vraiment la découverte d'un univers à part dans le monde de l' Héroic- Fantasy d'ailleurs je le classerais entre ce monde la et celui du roman de Dark Fantasy tant certain aspects y en ressort car on est loin d'un monde imaginaire et merveilleux mais plutôt sombre avec des personnages et des créatures inquiétantes pour ne résumer qu'eux, cependant on suit les aventure de Richard Cypher un jeune garde forestier qui rencontre Kahlan une jeune et belle Inquisitrice, ces êtres vont se découvrir se rapprocher et connaitre une destinée où ils auront un rôle à jouer, j'ai beaucoup apprécié cette relation entre Kahlan et Richard je pense aussi que c'est du au fait que leur histoire est très complexe et si bien écrite par l'auteur. Nous découvrons aussi d'autres personnages tout aussi charismatiques et qui ont une part de mystère en eux et c'est ça qui est excellent dans ce livre c'est que aucun n'est laissé de côté il n'y a aucun protagoniste jouant les seconds rôle (coup de coeur pour Denna la mort-sith).

Hormis l'histoire sur les personnages, parlons du scénario à proprement parlé : Il est excellent, complet compréhensible il n' y a pas de temps mort, il y a des rebondissements, et on veut toujours savoir comment vont se terminer chaque situations.

La Saga de Terry Goodkind est une oeuvre culte, l'épopée de l' Epée de vérité commence pour moi et je crois que je vais suivre les aventures de Richard et Kahlan pendant un sacré bout de temps
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" Ce roman va tout balayer sur son passage, comme le firent ceux de Tolkien dans les années 60." Voilà ce qu'on peut lire sur la page couverture du livre.
J'ai lu les livres de Tolkien. Après avoir lu celui-ci, de Terry Goodkind, j'affirme sans l'ombre d'une hésitation que ce livre n'atteint pas le degré de qualité ainsi annoncé. Voilà entre autres quelques-unes des raisons justifiant ma constatation:
1) Les personnages de Goodkind passent TRÈS fréquemment leurs émotions en sanglotant: de la fillette sans défense au plus puissant sorcier tout en passant par le chef d'une tribu d'indigènes, ils pleurent. Toutes les nuances y passent: des larmes refoulées à la crise de sanglots hystérique (en position foetale par terre).
2) le choix des noms pour les personnages d'un récit fantastique manque pour le moins d'uniformité. Pour les personnages principaux, on a droit à Zeddicus Zu'l Zorander (un magicien de haut niveau), Kahlan Amnell (« Mère Inquisitrice »; personnage de puissante magie), Darken Rahl (l'ennemi suprême qui veut conquérir le monde avec ses pouvoirs magiques) et le principal héros (un guide forestier doté d'un grand potentiel magique), « Richard Cypher». Impossible de croire que personne n'ait fait remarquer à l'auteur que ce dernier nom fait « tache dans le décor »!
3) le comportement des personnages de Goodking obéit parfois à une logique douteuse. Par exemple, dans l'esprit du héros, il faut se placer « derrière » la personne à qui on veut montrer un chemin; « histoire de garder un oeil sur elle et de s'assurer qu'elle ne s'écartait pas de la piste». Heureusement qu'il ne devait pas montrer le chemin à un groupe de cent personnes…
Mais on n'en est pas à une étrangeté près avec les personnages de Goodkind : « Méfiants, les deux soldats baissèrent les armes » (ben voyons…) ou encore : « Pour se détendre, il s'emplit les poumons d'air, laissa retomber les bras le long de son torse et plia plusieurs fois les poignets »… C'est quoi ce dernier mouvement? La technique du chat qui gratte sa litière derrière lui du bout des pattes ?!

Par ailleurs, la logique de l'auteur lui-même, dans l'écriture de l'histoire, est également surprenante. À un moment où deux personnages se font poursuivre par des mercenaires à travers les bois, l'auteur oblige le lecteur à quitter l'action pour s'attarder lourdement à la lecture d'un long paragraphe descriptif de la nature environnante : « La pente devint bientôt plus raide et un sol rocheux succéda à la terre meuble. Les arbres, effectivement moins luxuriants, offraient une vue plus dégagée. le sentier serpentait sur un terrain accidenté et traversait parfois de petits ravins jonchés de feuilles mortes qui crissaient sous leurs pieds. Les pins et les épicéas disparurent, remplacés par des bouleaux dont les branches, moins serrés, laissaient filtrer la lumière du soleil en une myriade de petites lucioles qui dansaient sur les pierres. Avec leurs troncs blancs constellés de points noirs, on aurait cru que des centaines d'yeux observaient les deux fuyards. N'étaient les croassements de quelques corbeaux, un silence rassurant les enveloppait ».

Autre exemple : un loup géant doté d'intelligence humaine arrive facilement à tuer des « gains » (créatures maléfiques féroces), mais ne résiste pas cinq secondes devant un humain armé d'un poignard et dépourvu de tout pouvoir magique.

Nouvel exemple : les personnages fuient et désirent éviter qu'on puisse retrouver leurs traces. Tout au long du trajet, l'un d'eux, Zedd, lance nonchalamment des os de poulet par-dessus son épaule étonnamment sans aucune conséquence (dans le cas surprenant où l'auteur ignore l'histoire du Petit Poucet qui retrouve sa route en semant des miettes de pain, la simple déduction logique aurait dû l'éclairer sur l'absurde de ce geste).

Également, le fait de révéler au lecteur ce qu'est une « Inquisitrice » après la 600e page du livre, alors qu'il fait grand cas de ce titre dès le premier chapitre ne rend pas pour autant la chose intrigante, mais plutôt agaçante.
4) Les valeurs morales qui ressortent de l'histoire sont contestables. Ainsi, au niveau disciplinaire, le héros adore un père défunt qui lui donnait des corrections à coup de ceinture lorsqu'il était enfant ( il combattait son frère avec une épée de bois lorsque sa mère est entrée dans la pièce et a récolté un des coups par mégarde, ce qui a valu la « correction » du père). La même discipline s'est appliquée à un enfant d'une autre famille qui est arrivé plus tard que prévu à sa maison. le héros s'attache également à sa tortionnaire, une « Mord Sith », à qui il pardonne l'extrême brutalité qu'elle exerce à son égard car elle a elle-même été victime de ces abus antérieurement. La barbarerie de couper à froid les testicules d'un pédophile meurtrier pour l'obliger à les manger est nommée « justice » par le groupe composant les « héros » de l'histoire.
Dans le même ordre d'idée, l'auteur glorifie la colère et en fait la pierre angulaire du récit...
5) du côté émotif, plusieurs aspects de l'histoire manquent de réalisme. Ainsi, Richard tombe éperdument amoureux d'une femme (Kahlan) au premier regard et lui voue dès cet instant une loyauté et une dévotion profonde, car il « voit » dans ses yeux à quel point elle est intelligente : « Dans ses prunelles, il lut une chose qui l'attirait plus que tout. L'intelligence! Oui, l'intelligence brûlait dans ses yeux et dans tout son corps, glorieuse figure de proue de son intégrité ». Fort de cette fixation sur ses yeux, il commente « (…) ses yeux- d'une nuance de bleu douloureuse à force d'être belle- (…)». Qui d'autre que Goodkind aurait pu penser qu'on peut avoir « mal » à regarder une belle couleur (le cas reste sans doute sans précédent)…
Peu après sa rencontre avec Kahlan, les deux personnages survivent à l'attaque de quatre mercenaires. Immédiatement après les faits, Richard appelle l'inconnue « mon amie » et celle-ci, au lieu d'être concentrée sur l'action qui vient d'avoir lieu, devient toute émue devant le mot « amie ». Ce que Richard ne trouve pas du tout étrange :
« -Kalan, mon amie, peux-tu me dire pourquoi nous sommes en vie? Et pourquoi ces quatre tueurs ne le sont plus?
-Tu penses ce que tu dis? Demanda la jeune femme, surprise.
-Quoi donc?
-Eh bien… « mon amie »…
-Évidemment! Tu l'as dit toi-même : j'ai choisi de rester avec toi. »
Ainsi, dans l'ordre de priorité démontrée, il est bien plus captivant de se faire des amis plutôt que d'avoir échappé de justesse à la tentative de meurtre de quatre assassins...
Beaucoup plus tard dans l'histoire, cette même femme, décrite par l'auteur comme étant dotée de ressources importantes, ne trouve rien de mieux que de tenter plusieurs fois d'atteindre à ses jours. Voilà un beau pied de nez à l'étoffe du héros de légende!
N'oublions pas, également, de mentionner que pour Goodkind, il est tout à fait plausible qu'une flèche (n'ayant rien de magique) « ricocha sur la boue » (la boue non plus n'avait pourtant rien de magique) et que l'haleine d'un personnage « évoquait un bouquet de roses »… Mais ce ne sont que des détails comparativement à cette petite fille martyrisée par sa maîtresse et dont les gardes du château ne relèvent pas incongru qu'en guise de punition, elle passe la nuit à l'extérieur du château avec sous le bras une superbe poupée et un sac rempli de victuailles (dont une miche de pain entière)!
6) Les choix des mots et l'utilisation du point d'exclamation sont contestables : « Sale comme un peigne » ( je n'ai jamais entendu dire qu'il était de notoriété publique qu'un peigne soit sale) ; « Leurs doigts étalaient de la boue blanche et noire sur sa poitrine – des lignes brisées – et sur ses biceps- des cercles! »
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chouette une nouvelle saga, avec de très nombreux tomes. IL faut que je me plonge dedans. c'est sur je ne vais pas laisser passer une tel aubaine, les critiques sont très bonnes.
Un bon fauteuil, un bon plaid, un café chaud....
et trois heures après le héros n'a toujours pas fait son sac de voyage.....Bon moi faut que dorme.....
Le lendemain je persiste, l'action va peut être commencer
Ah Notre héros se met en route....3h plus tard il n'a voyagé qu'une demi journée avec des très méchants à ses trousses....pauvre petit.
Depuis le livre dort sous mon lit.....en cas d'insomnie peut être ?
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Premier (gros) tome d'une longue série ...
Tous les ingrédients de la bonne fantasy se retrouvent, à mon goût, dans ce livre. Il n'est pas sans me faire penser au Seigneur des anneaux, un ton en-dessous quand-même.
On suit Richard garde forestier dans son aventure pour sauver le monde. Sans le vouloir, il devient le Sourcier, celui qui à l'aide de l'épée de vérité doit combattre Darken Rahl, mage dictateur, avant que celui-ci prenne le contrôle du monde. Pour ce faire, il sera aidé de Kalhan mère inquisitrice et Zedd, son ami de toujours dont il ne savait pas qu'il était un grand sorcier.
Amitié, amour, trahison et la magie sont également du voyage sans compter un dragon.

J'ai beaucoup aimé, il ne me reste que 14 tomes à lire pour connaître la fin ...
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La première fois que je l'ai lu – sur conseil d'une amie – je n'ai pas réussis à le finir. Ça fait quelques années maintenant que je le relis annuellement parce qu'une fois passée l'impression de lenteur, ce premier tome est vraiment extraordinaire. La suite de la série l'est également.

L'auteur arrive à combiner humour et drame, arrive à atteindre ce niveau d'écriture qui permet de rentrer dans l'histoire. La deuxième fois que je l'ai lu (en entier, cette fois), je l'ai commencé un soir et je n'ai pas pu le poser avant de l'avoir finis, le lendemain matin.

Je le conseille à tous les fans de fantasy et même à ceux qui aimeraient tester ce genre, parce que, si je peux me permettre, c'est devenu, d'après moi, un grand classique que tous devraient connaître (au même niveau que le Seigneur des Anneaux de Tolkien).
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Je ne suis pas adepte des longs et volumineux romans de "fantasy" mais pour faire plaisir à ma libraire j'ai accepté de commencer celui-ci.

Le résumé derrière ne me tentait pas particulièrement, je dirai même qu'il me rebutait un peu. Venez à l'aventure braves gens, l'amour est la clé de tout et patati et patata.
J'ai commencé quelques pages et j'avoue que je me suis laissée entraîner parce que la lecture est très facile, et surtout : on cherche toujours à en savoir plus (même si des fois, c'est vrai, je savais ce qu'il allait arriver). Mais c'est ça qui est intéressant, on veut savoir si nos prédictions seront juste pour l'avenir de tel ou tel personnage et c'est ce qui m'a fait progresser rapidement dans l'histoire.

En parlant de personnages et d'histoire... Je déteste Richard, le personnage principal. Dommage pour moi vous me direz. Je le trouve sans véritable relief, fade et prévisible. Parce que soudain il est déclaré le "Sourcier", il a de grandes ambitions, alors qu'il n'en avait pas du tout avant. En fait mon véritable problème c'est que je n'arrivais pas du tout à me le représenter. Physiquement on a que très peu d'informations sur lui, et même, ce sont surtout ses pensées héroïques et ses actes de bravoure qui nous sont décrits. Puis tomber amoureux au premier regard d'une jeune demoiselle en détresse... Bon, je vais passer là dessus.

Pour moi Kahlan et Zedd sont des personnages beaucoup plus attractifs car ils sont vraiment entourés d'une zone d'ombre et d'un passé tumultueux.

L'histoire est pleine de rebondissements, de paysages et décors divers. Il n'y a pas de moments que j'ai particulièrement apprécié par rapport à d'autres mais il y'en a un que j'ai trouvé très long : quand Richard est l'esclave de Denna. Des pages de torture à n'en plus finir mais le "dénouement" de cet épisode m'a beaucoup touchée.

En somme je dirai que c'est une histoire qui tient en haleine, avec des personnages intéressants (Kahlan, Zedd, Denna, et même le big boss des méchants), mais des épisodes parfois inutiles de bagarre, des réflexions dites et redites, et des situations pas assez approfondies (Mord Sith, la reine Milena et sa fille).
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