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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
4/5
Aussitôt reçu aussitôt lu. J'ai passé un très bon moment de lecture avec ce roman historique retraçant les jeunes années de la reine Victoria. On est en 1837 Alexandrina Victoria vient d'avoir 18 ans lorsqu'elle est sacrée reine de Grande-Bretagne et d'Irlande. Dès lors elle surprend tout le monde par son caractère et son indépendance d'esprit.
Daisy Goodwin se focalise davantage ici sur les intrigues amoureuses.
De son roman se dégage une certaine frivolité et une joie de vivre, Victoria était une bonne vivante, elle aimait le champagne et les gourmandises.
Même si on la suit dans le roman sur 3 ans, ce qui est une toute petite partie de son règne qui dura 63 ans, on assiste à une réelle évolution du personnage et ça m'a beaucoup plu. Dans le roman mais davantage dans la série télé, on assiste à la complexité de sa position et on la voit sous plusieurs facettes : adolescente, reine, femme, mère, impératrice.

Ce fut une très bonne lecture, j'ai adoré suivre la reine Victoria dans ses jeunes années de règne, cependant le style n'est pas du tout recherché. L'auteure a écrit ce roman en même temps que le script de la série TV du même nom diffusée sur Netflix.
Elle fait le portrait d'une reine capricieuse et sotte parfois mais qui apprend de ses erreurs. Elle souhaite par-dessus tout s'affirmer et être prise au sérieux. Elle veut s'affranchir de l'influence de Lord Conroy son beau-père et du contrôle qu'a exercé sa mère sur elle toute sa vie.
Entre amours contrariés, initiation au pouvoir et intrigues de cour, c'est un bon gros pavé qui fait le job, sans que ce soit époustouflant.
L'auteure arrive à donner vie à une reine pleine de charmes, en se basant sur des lettres et correspondances de la reine Victoria. Daisy Goodwin a un master en histoire, on suppose donc que les références historiques sont justes.
J'ai adoré ce roman, tout comme la série télé sur Netflix qui est très bien réalisée et dont l'actrice Jenna Coleman interprète une Victoria glamour et pétillante.

Ce que j'ai le plus aimé :
► une lecture fluide, visuelle
► au coeur de la royauté anglaise et des intrigues amoureuses, on adore !
► le contexte historique

Ce que j'ai moins aimé :
► un manque de style, un récit peu travaillé littérairement parlant

Est-ce que je vous le conseille ?
J'ai passé un super moment de lecture, alors oui je vous le conseille car il permet de découvrir la reine Victoria dans ses premières années de règne.

Lien : https://marie-loves-books.bl..
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Nous sommes en 1838 et Alexandrina Victoria vient d'apprendre qu'elle est l'unique héritière au trône d'Angleterre. Un an plus tard et seulement âgée de 19 ans, elle se voit couronnée et devient reine de Grande-Bretagne et d'Irlande. le pays découvre une reine jeune, fougueuse, têtue et moderne pour son époque, n'hésitant pas à tout réformer pour laisser une trace de son nom dans L Histoire en dépit de ce que les gens pensent et des moqueries à son sujet. Mais Victoria (le nom qu'elle choisira d'adopter durant son règne) a vécu une enfance et une adolescence stricte, loin de ce milieu masculin de la politique dont elle ne connaît rien et doit tout apprendre de zéro. Pour la conseiller elle peut compter sur Lord Melbourne, premier ministre mais surtout ami qui devient rapidement son secrétaire privé. Mais Victoria qui n'a pas l'habitude des hommes se surprend à éprouver une attirance pour cet homme qui a quarante ans de plus qu'elle et qui lui évoque sans doute la figure paternelle qui manque à sa vie puisqu'elle n'a pas de père. Une relation platonique démarre entre eux au grand dam de sa mère qui rêve d'un mariage arrangé pour sa fille avec son cousin Albert. Victoria ne veut rien savoir de ce dernier et c'est ainsi que démarre ses premières années de règne ...



J'ai frôlé le coup de coeur avec ce roman qui se penche sur le tout début du règne de Victoria. Une jeune femme attachante aussi petite de par la taille que grande de par le coeur qui a toujours voulu prendre ses décisions et ne pas suivre celles des hommes. J'ai été émue de voir à quel point on a tenté de lui mettre des bâtons dans les roues à ses débuts, son entourage proche, toxique (dont la maman elle-même manipulée par un homme), essayant à tout prix de la caser avec son cousin qu'elle détestait et son entourage moins proche la critiquant ouvertement sur son physique et ses décisions. La scène où on lui met une couronne trop grande sur la tête (car prévue pour un homme) m'a vraiment fait mal au coeur et la manière dont elle a rebondi n'en était que plus admirable ! Si vous aimez les grands destins de femme n'hésitez pas ! Pour ma part j'aurais aimé connaître la suite puisqu'elle finit par se décider entre Lord Melbourne et le prince Albert mais je ne spoile pas haha.



J'ai souligné quelques petites longueurs par moments et je trouve dommage que les mots et expressions en allemand n'aient pas été traduits (ça ne m'a pas posé problème mais ça pourra le poser à quelqu'un qui ne les comprends pas), mais vraiment je chipote.
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Daisy Goodwin retrace les premières années de règne de la reine Victoria dans ce roman éponyme. La jeune femme accède au trône à l'âge de dix-huit ans alors qu'elle ne connaît rien du monde et n'entend rien à la politique, en raison de l'isolement dans lequel elle a grandi. Elle s'attache rapidement à Lord Melbourne, le Premier Ministre qui deviendra aussi son conseiller, et même plus encore…

J'ai beaucoup réfléchi à la façon dont j'allais rédiger cette chronique, pourtant même encore, je ne sais pas comment la débuter. Je dirais que j'ai été gênée par certains partis pris de l'auteur. Que Victoria ait eu des sentiments amoureux pour Lord Melbourne, pourquoi pas, après tout, même s'il n'y a pas de preuves concrètes à ce sujet, mais c'est surtout le traitement d'Albert qui m'a dérangée.

De ce que je me souviens avoir lu à l'époque où j'avais fait quelques recherches personnelles sur la reine Victoria, et encore aujourd'hui en me référant à sa page Wikipédia (même si j'ai conscience que ce n'est pas une source forcément fiable), il me semble qu'elle a toujours témoignée une certaine préférence et inclination pour Albert, or dans ce roman, elle oscille d'abord entre indifférence et mépris à son égard.

C'est donc la romance platonique entre Victoria et son cher « Lord M » qui prédomine pendant la majeure partie du livre. Une romance que j'aurais pu adorer (et que j'ai adoré, au fond de moi) si elle n'avait pas été basée sur des faits réels. Je ne pouvais pas feindre de ne pas savoir comment aller s'achever leur idylle, et surtout, je me suis inquiétée de ne pas voir Albert pointer le bout de son nez avant la dernière centaine de pages du roman.

Craintes qui se sont hélas révélées fondées. En l'espace de cinq jours, la Victoria de Daisy Goodwin nous offre un retournement de jupon magistral. Il suffit de deux frôlements de peau, d'une valse et de quelques oeillades échangées entre les piques désagréables qu'ils se lancent pour que Victoria et Albert se pâment d'amour l'un pour l'autre. Oublié Lord M ! Tellement oublié que je crois même avoir laissé échapper une insulte à l'intention de Victoria lors d'une certaine scène…

Quant au personnage d'Albert en lui-même, il ne rend pas davantage crédible ce brusque revirement. La description « d'homme mécanique » qu'en fait Lord M ne pourrait lui convenir davantage. Il est antipathique, moralisateur, et surtout, il ne fait pas le poids comparé à la plupart des autres personnages masculins, qu'il s'agisse de Lord M, de son propre frère Ernst, du grand-duc Alexandre ou encore de l'attentionné Lord Paget. Même le chien Dash aurait été un meilleur prétendant, à mon goût…

Pire, j'ai trouvé que l'auteur forçait sur le pathos avec l'histoire de la mère d'Albert. Non, plus exactement, tout est forcé dans cet amour naissant, parce qu'après plus de trois cent pages passées à succomber au charme de Lord Melbourne, il fallait bien rectifier le tir pour recoller à la réalité historique.

D'ailleurs, quoique j'aie moi-même cédé à l'inclination pour ce séduisant Lord M au fil de ma lecture, j'ai aussi regretté que la romancière ait décidé d'en faire un personnage foncièrement bon, dévoué à sa reine et à son pays, et droit dans ses bottes. Là encore, je me trompe peut-être, mais de ce que j'en ai lu auparavant, je n'ai pas l'impression qu'il ait été blanc comme neige, mais plutôt qu'il n'hésitait pas à manoeuvrer lui aussi Victoria dans le sens de ses propres intérêts, ce qui n'est pas le cas ici. Ici, il est vraiment parfait… contrairement à Albert.

Au final, le seul aspect de ce roman auquel j'aurai totalement adhéré, c'est la relation ambiguë entre Victoria et sa mère, qui oscille entre affection et rancune. On ne peut qu'être agacé par la confiance aveugle que la duchesse de Kent accorde à sir Conroy, et en même temps touché par sa volonté de protéger sa fille envers et contre tout. Elles sont l'une comme l'autre très maladroites, et l'auteur réussit à nous montrer combien elles auraient pu être proches sans cet homme pour semer la discorde entre elle.

Victoria est donc un livre qui se lit vite et agréablement, mais voilà, j'ai vraiment eu du mal à accrocher à la plupart des choix de Daisy Goodwin. Pour cette raison, je ne suis pas tentée de regarder la série, et je vais plutôt revisionner pour la énième fois l'adaptation cinématographique avec Emily Blunt.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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Un très beau roman sur les débuts de la reine Victoria et notamment sur les relations entre elle et sa mère mais surtout celles avec son premier ministre Lord M.
Je n ai pas été surprise par les intrigues ayant déjà vu la série du même nom écrite par cette autrice également. J avais aimé sa plume pour La dernière duchesse.
Le roman survole rapidement les événements de l accession au reine a la demande en mariage de Victoria. C est dommage que le roman ne détaille pas plus les relations avec Albert. Ce dernier n apparaît qu en dernière partie du récit et je trouve un peu cette partie bâclée.
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Le roman de Daisy Goodwin n'est pas sorti de nulle part : il a été écrit à partir des lettres mais également des journaux intimes de la reine. À quel niveau l'histoire est-elle romancée ? Je ne peux vous le dire. Tout ce que je peux souligner, c'est qu'il s'agit d'un roman de l'intime qui pourra décevoir les lectrices à la recherche d'un roman au contenu historique plus poussé. Je ne dis pas que l'auteure ne connait pas son sujet ou qu'elle ne s'est pas documentée mais la Victoria que nous suivons n'est pas celle que le peuple voyait ou celle qui nous est montrée à travers les documents historiques. Nous suivons Victoria au début de son règne et si la reine et la femme ne font évidemment qu'une, Daisy Goodwin s'intéresse plus sa personnalité privée qu'à sa personnalité publique avec tout ce que cela sous entend. Ses traumatismes issus de l'enfance, ses rapports avec sa mère, sa tendresse pour sa gouvernante et sa relation ambiguë avec son cher Lord M sont donc au coeur du récit. Et croyez-moi, cela suffit amplement pour en faire une lecture agréable !

Mais ce n'est pas tout !

L'affaire Flora Hastings, le soulèvement des chartistes de Newport, le couronnement, la constitution du Parlement, la réalité sociale de l'époque avec l'évocation du peuple londonien sont également de la partie et placent le roman dans un contexte historique qui m'est cher. Parfois, ces évocations de la vie politique et sociale m'ont parues un peu artificielles, un sentiment renforcé par l'impression que la reine ne faisait que voir les conflits/événements de très loin…

Et les affaires de coeur, dans tout ça ?

On pourrait croire le contraire mais Victoria n'est absolument pas une romance ! Certes, si vous avez vu la série, vous savez à quel point sa relation avec Melbourne prend de la place (c'est la même chose dans le roman) mais on ne peut pas vraiment parler de roman d'amour pour autant, tant ils sont dans la retenue. Albert, quant à lui, n'arrive qu'au cours des 150 dernières pages : autant vous dire que son cas est vite traité (j'avais hâte de le voir débarquer avec son frère et je n'ai pas été déçue).
Lien : http://cellardoor.fr/critiqu..
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Lire ce roman après avoir vu la série sur Arte n'était peut-être pas une si bonne idée…
Soyons clair: ce roman est passionnant! On y découvre la reine Victoria faisant ses premiers pas en tant que souveraine. Elle se montre fragile, hésitante, déterminée… J'adore cette période de début de règne où l'on ignore encore quelle souveraine elle va devenir et où tout est possible.
Mais voilà, j'ai vu la série il y a peu et la série est inspirée du roman 🤪 il n'y a pas eu beaucoup de surprises du coup 😅
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Je lis très peu de romans historiques, mais j'ai eu envie de me laisser tenter par celui-ci et je ne le regrette pas.
C'est une lecture très agréable, la plume de l'auteure est très fluide.
Ce roman raconte comment la jeune Victoria est devenue reine d'Angleterre en 1837. Elle n'était pas la première femme à régner mais ce n'était pas facile pour autant, à tout juste 18 ans. Nombreux sont ceux qui voulaient la marier pour qu'un homme la contrôle. Je ne suis pas en capacité de juger de la réalité des faits historiques ou de ce qui est romancé, et peu m'importe. J'ai aimé vivre les aventures de Victoria, pleine de bonne volonté, avec du caractère, bien que parfois immature. Elle s'est heurtée aux jeux politiques, manipulations, préjugés sexistes...
Ça change de ce que je lis habituellement et ça fait du bien. J'ai passé un bon moment, la fiction historique ne deviendra pas mon genre littéraire de prédilection, mais de temps en temps, c'est agréable de découvrir d'autres styles.
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Je suis en train de lire ce livre, et je me régale. Moi qui ne connaissais que très peu la reine Victoria, voilà qu'il me semble la côtoyer, vivre dans son ombre… le seul petit bémol que je mettrais concerne la traduction, qui est bonne excepté un verbe qui revient vraiment trop souvent : tous les personnages de cette histoire "pivotent" - ils ne tournent pas les talons, ils ne se retournent ni ne se détournent, ils ne montrent pas leur dos, ils ne pirouettent pas, non, ils "pivotent"... à la longue c'est un peu agaçant. Voilà le pourquoi de mes 4 étoiles.
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J'ai acheté ce livre un peu par hasard, curieuse d'en apprendre un peu plus sur la vie de celle qui a été l'une des plus grandes reines du Royaume-Uni.

Globalement, j'ai vraiment beaucoup aimé cette lecture.
On y rencontre Alexandrina Victoria, jeune fille esseulée, tenue à l'écart du monde par sa mère et par le conseiller de celle-ci, Sir Conroy, un personnage que j'ai adoré détester.

Le jour de ses dix-huit ans, Victoria devient reine, et gagne ainsi ses premiers instants de liberté. Exit, ce prénom tant détesté d'Alexandrina! Terminé, de dormir dans la même chambre de sa mère!
Victoria savoure son indépendance, bien décidée à gouverner seule et à prendre ses propres décisions.

Comprenant cependant qu'elle ne peut tout faire seule, Victoria décide de s'attacher les services du Premier Ministre, Lord Melbourne, en tant que secrétaire particulier, réduisant ainsi à néant les ambitions de Sir Conroy.

Et c'est là que le bât blesse.
J'ignore jusqu'à quel point l'auteure s'est attachée aux faits historiques et où commence la fiction. Cependant, installer dans ce récit une bluette entre la reine et son ministre, c'est assez convenu.
En même temps Victoria est (très) jeune, elle ne connaît guère le monde, on peut également comprendre qu'elle soit prompte à s'enflammer pour le premier homme qu'elle rencontre et qui voit en elle autre chose qu'une petite fille.
Ignorant s'il s'agit là d'une vérité historique ou non, je m'abstiens de juger, mais si cela relève effectivement de la fiction alors j'aurais largement préféré que cette relation soit plutôt paternaliste qu'amoureuse.

De même, je suis un peu déçue que le roman se concentre sur les jeunes années de la reine. Je m'attendais à une version romancée de sa vie et du coup je suis un peu déçue de n'en voir que les trois premières années.
Cela n'empêche pas Victoria d'évoluer, de grandir et d'apprendre de ses erreurs.

En bref, Victoria est un roman très agréable qui se lit facilement. J'ai passé un très bon moment, même si j'aurais préféré que l'on s'attache davantage aux faits historiques au lieu de se concentrer sur le côté romance et les histoires de coeur de la reine.
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Avis aux fans de Victoria ! Bon vous savez que j'adore la série, je n'ai donc pas pu résister à acheter ce roman. D'une part car j'ai déjà lu un autre livre de cette auteure que j'ai adoré, et d'autre part car tout simplement, Mme Goodwin n'est d'autre que la créatrice/scénariste de Victoria !

Sur le fond je ne serais pas du tout objective. Car j'adore la Reine Victoria, et que dans la série, un de mes personnages est justement Lord M… et qu'on en parle beaucoup dans ce roman. Enfin surtout de leur relation à tous les deux, de façon romancée.
J'ai été conquise ! Ca se lit très très facilement tant l'écriture est fluide ! On ressent cette écriture faite pour être imagée de l'auteure. Tout y est détaillé. Une plume idéale pour être transformée en série…

L'histoire commence à l'ascension de la jeune Victoria jusqu'à ses fiançailles avec Albert. On traverse avec elle toutes ses dures étapes afin de devenir reine. Mais surtout, de jeune fille à femme. Et avec son passé compliqué, ce n'est guère facile.
Le fait d'avoir vu la série en amont rend la lecture autant plus plaisante, car on s'imagine volontiers les différents personnages avec les visages des acteurs. Par contre, le récit est d'autant plus ciblé sur le côté intime de la reine et non son visage public. A quel point l'histoire est romancée ? On en sait rien, mais l'auteure s'est aidé des lettres ainsi des journaux intimes de la reine…
Ce n'est pas pour autant que les faits historiques sont mis de côté. On y retrouve entre autres, le soulèvement des chartistes de Newport, l'affaire Flora Hastings, et tout ce qui peut toucher à la formation du Parlement ainsi qu'à la politique anglaise. Qui équilibre parfaitement le récit.

Ce roman m'aura fait passer de très bons moments, et m'a juste donner envie que la série recommence au plus vite… en attendant je vais surement aller me replonger dans quelques épisodes…
Lien : https://lafilleenrouge.com/2..
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