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EAN : 9782253068839
480 pages
Le Livre de Poche (08/03/2017)
3.78/5   113 notes
Résumé :
« Les clandestins montaient dans la caisse du camion et, après un voyage de deux cents kilomètres, ils montaient à bord des bateaux et se perdaient dans la nuit... »

Gazâ vit sur les bords de la mer Egée. Il a 9 ans quand, à peine sorti de l'école, il devient passeur de clandestins. Il travaille avec son père Ahad, ainsi que les frères Harmin et Dordor, commandants des bateaux qui emmènent les migrants en Grèce.

Pendant des années, Gaz... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (33) Voir plus Ajouter une critique
3,78

sur 113 notes
Mais quelle horrible histoire ! Je me suis rendu jusqu'au bout, sans doute parce que je n'aime pas laisser un livre inachevé et probablement parce que, secrètement, j'espérais toujours que quelque chose de positif en ressorte. En vain. Pourtant, la prémisse de « Encore » m'avait plu et, plus je la relis, plus je me dis que tous les éléments y étaient pourtant présents. C'est un roman coup de poing, c'est tout à fait vrai ! L'auteur turc Hakan Günday a trouvé un bon filon, le sujet des clandestins occupe beaucoup de débats sur la place publique. Toutefois, si le sujet a tout pour intéresser, la façon dont il a été développé m'a repoussé.

Le jeune Gazâ vit en Turquie, près de la mer d'Égée, cette route qu'emprunte des milliers de migrants chaque année. Et son père travaille à faire passer ces clandestins en Europe. Mais ce père, Ahad, est un homme dur, tout un modèle pour Gazâ qui, à dix ans, cause la mort d'un jeune Afghan. le voilà lancé sur la même voix que son père ? J'aurais pu comprendre ce geste, un accident, un choix difficile entre sa survie et celle d'un inconnu. Et j'aurais pu passer le reste du roman à le voir se battre (au sens figuré) dans un choc des valeurs. Mais la chute de Gazâ est longue et horrible ! Et il n'en sort pas grandi ! Il devient un tortionnaire encore pire que son père, un monstre, un être ignominieux. Et c'est d'autant plus triste qu'on sent qu'il avait le potentiel de devenir autre chose, de rejeter le leg de son père. Il me serait difficile, voire impossible, d'entendre tous ces migrants prisonniers laisser échapper un faible « daha, daha », ce qui signifie encore, d'où la significaiton du titre.

encore, j'aurais pu continuer avec un certain intérêt, un peu comme dans « American Psycho » ou « Il faut qu'on parle de Kevin », ces psychopathes qui foncent en ligne droite. Mais non. Gazâ continue sa chute, littéralement cette fois-ci, puisqu'il tombe dans la cale du bateau de son père et devient prisonnier des autres clandestins, puis de ses propres peurs alors qu'il est abandonné au milieu de cadavres. Terrifiant et très malaisant. Pire, dégoûtant ! Je ne voyais pas l'intérêt de tous ces détails pénibles que je vous épargne.

Éventuellement, Gazâ est libéré puis envoyé dans un centre à Istanbul. Là, il reprend du poil de labête et performe bien à l'école mais la folie le reprend. Trop bizarre, je ne savais plus où l'auteur voulait m'apporter avec osn histoire. Gazâ, lui, après un bref séjour dans un hôpital psychiatrique, se met à faire le tour du monde et il aboutit en Afghanistan (la mort du jeune clandestin continue à le troubler) où… je vous laisse sur ce suspense, si l'envie de lire le roman vous prend. Je dirai seulement que la fin est prévisible et laisse un gout amer d'insatisfaction. Trop peu trop tard. Décidément, « Encore » est un livre dérangeant et dur, qui raconte un monde violent et malheureusement vrai, mais qu'il ne sera pas donné à tous de passer au travers.
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Nous sommes en Turquie. Gaza est un enfant de 9 ans. Son père le contraint à l'aider dans son rôle de passeur. Il réceptionne des groupes de migrants, venant pour la plupart d'Asie Centrale,« la marchandise », pour ensuite leur faire traverser la mer Égée jusqu'en Grèce. Un jour Gaza, pour survivre, est obligé de tuer un jeune migrant. Son père lui explique que cela fait partie du travail. Mais cet événement reste gravé dans la mémoire de l'enfant. Il ne parvient pas à accepter son geste et la culpabilité va le poursuivre tout au long des presque 500 pages. Jusqu'au juste retour de bâton. Rien ne nous est épargné. Les conditions effroyables dans lesquelles transitent les hommes, les femmes, les enfants, attendant leur nouvelle destination. Mais rien n'est épargné non plus à cet enfant qui découvre la vie trop rapidement, sous les ordres de son père. C'est un roman terrible ! Roman initiatique, roman réaliste… Une quête de sens. On pourra regretter quelques longueurs, redondances… Mais globalement, l'auteur a réussit son coup.
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Je vois, à l'instant, qu'il a eu le Prix médicis étranger 2015. C'est l'horreur dans toute sa splendeur. Première ligne : Si mon père n'avait pas été un assassin, je ne serai pas né. C'est à 9 ans que Gaza rentre dans le business de son père comme passeur de clandestins. Ils habitent au bord de la mer Egée où ils ont fait construire en sous-sol une cave, où ce qui n'est pas pour eux des êtres humains, sont entreposés de quelques jours à quelques semaines. L'enfant branchera PC et micro reliés à la cave pour faire des expériences de manipulation sur les prisonniers. On trouve chez ce monstre tout ce qu'il y a de plus abject : le mal, l'insensibilité, le viol et puis plus tard l'attirance pour les lynchages. Il fera mourir un homme par oubli. ‘Cette viande sur pied' qui lui a offert une grenouille en papier où il a dessiné son village. Très doué dans les études, le passé le rattrapera, l'homme à la grenouille également. J'ai failli le lâcher à la scène où il tête un sein parmi les morts. Ce jeune est tellement répugnant qu'il est difficile d'avoir une compassion quant à sa rédemption. Pourquoi daha (encore) ? C'est le seul mot que les migrants connaissent en langue turque pour avoir encore à boire, encore à manger, etc. 4 étoiles pour la belle écriture, la construction et l'intelligence. L'écrivain dénonce un système, ce qui est bien. 1 étoile de moins : ce livre coup de poing est trop dur pour ma sensibilité.
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Jamais je n'ai lu un livre pareil. D'une telle intensité et d'une telle folie. Car au sortir de cette lecture ce qui ressort en premier comme sentiment c'est la folie du roman. Il est impossible de savoir ce qui tient de la vérité, de la véracité ou du vraisemblable. Car si l'auteur a voulu écrire une histoire qui témoigne de la cruauté des hommes il a bien fallu qu'il utilise des artifices de la littérature pour décrire cet enfant monstrueux qui grandit dans un univers dont il voudra petit à petit s'extirper.

D'ailleurs là où l'on s'aperçoit de ces artifices du romanesque, c'est dans les petits "intertitres" entre les différentes parties qui décrivent des procédés picturaux de la Renaissance. le sfumato, les techniques de clair-obscur, estomper les traits d'un profil ou bien au contraire l'accentuer. C'est avec cette immense fresque de la vie d'un homme qu'à travers lui est raconté le destin des migrants. Qui est fou après tout? le père Ahad, le fils Gâza ? Les migrants qui se jètent éperdument dans la gueule du loup, payent de leur vie la traversée vers un deuxième enfer occidental ? Les occidentaux coupables d'un esclavagisme moderne ?

J'ai adoré l'écriture de ce roman. le style est puissant, il ne laisse pas d'échappatoire ! Les pages se tournent dans un rythme effréné et l'on se prend à faire quelques pauses soudaines pour considérer le monde autour de soi, respirer, se sentir vivant ... Oui parce que ce roman est plein de mort, d'excréments, de vomis, de dégoût, de haine et de violence. Je vous préviens tout de suite. Moi qui suis extrêmement sensible je n'aime d'habitude pas ce genre d'histoire, mais voyez-vous, l'auteur a l'art de créer un personnage (Gâza) qui est attachant. Il est peut-être l'homme à abattre, celui par qui tout le mal vient... mais il est des personnages qui naissent dans un monde où la vie ne peut être autrement, vous avez beau y réfléchir dix millions de fois, aurait-il pu fuir son père, sa destinée de passeur ? Peut-être que vous oui avec votre petite vie d'occidental, mais lui, peut-être pas.

Le choix d'une vie se joue parfois en un lancé de dés, en un regard, une phrase qui fait mal, qui rappelle que vous n'avez pas le choix justement. Et Gâza échappera à de grandes études pour rester avec son père et les migrants toujours plus nombreux dans leur dépôt.

Hanté par son passé, Gâza luttera toute sa vie contre ce destin "contre nature", contre cette part sombre de lui-même. Il a voulu aimer son père, il a voulu aimer les autres, les hommes, les femmes surtout, et puis à chaque fois quelque chose n'allait pas.

Le livre est extrêmement dérangeant. Je ne sais pas comment j'ai fait pour le lire. Mais âme sensible s'abstenir. Je sais juste que je voulais savoir comment allait finir le "héros". Personnage principal d'une tragédie déjà écrite. Hanté par la mort d'un homme dont il s'est moqué, Cuma et dont il conserve précieusement une petite grenouille en papier. de ce simple geste, il prouve qu'il n'est pas forcément un monstre. Il restera toujours une part d'humain en lui. C'est ainsi que son destin se verra bouleversé. Et la deuxième partie après le terrible accident est très "belle", dans le sens bien écrite. Certes l'auteur fait beaucoup de théories "anthropologiques" sur le lynchage, la folie, etc. Pour essayer de justifier l'attitude cruelle et la désillusion d'un homme seul. Une chute sans fin qui tend pourtant vers le progrès. Car le protagoniste cherche à se racheter. Gâza n'arrivera plus à toucher d'autres personnes mais il se sacrifiera pour d'autres. Des moments qui m'ont émue aux larmes.

Enfin, c'est un roman hanté par le malheur et la violence, mais avec cet envoûtant sentiment d'un regard insolent, acerbe, juste sur la part d'humanité qu'il reste peut-être quelque part, mais qui finit toujours par mourir. Hakan Günday ne mâche pas ses mots, il est un grand auteur. Il le prouve ici.
Lien : http://www.unefrancaisedansl..
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Hakan Günday est un des écrivains turcs les plus en vue de sa génération. Il a publié son premier roman, non traduit en français, en 2000. Invité au Livre sur la Place de Nancy en septembre 2015, il est venu présenter son dernier roman intitulé Encore, considéré comme le coup de coeur étranger du Livre sur la Place. J'ai eu la chance d'assister à la rencontre animée par le journaliste Baptiste Liger.

Son livre aborde la question de l'immigration, thème hautement d'actualité en Europe en cette rentrée. Gâza, dont le prénom signifie guerre sacrée en turc, est fils d'un passeur de clandestins. Il vit seul avec son père car sa mère s'est suicidée juste après sa naissance. le choix du titre n'est pas anodin. Hachent Günday nous explique qu'il l'a choisi pour accentuer l'effet de répétition dans la vie de Gâza. Tous les jours, il doit apporter de l'eau et à manger aux clandestins qui transitent dans leur entrepôt. Très régulièrement, il doit accueillir de nouveaux clandestins. Encore est également le seul mot de turc que connaissent les clandestins qui réclament encore de l'eau, encore des sandwichs...
L'auteur s'intéresse beaucoup à la nature des relations entre l'individu et la masse. Ici, il s'agit de Gâza et des clandestins. Quand le roman démarre, Gâza est âgé de 9 ans. Comme tous les garçons de son âge, il va en classe où il réussit d'ailleurs bien. Tout porte à croire qu'il fera de brillantes études et qu'il deviendra la fierté de son village. Son père en décide autrement car il lui demande de l'aider à s'occuper des clandestins. Or comment un gamin âgé de 9 ans peut-il faire la part des choses entre le bien et le mal ? Selon l'auteur d'ailleurs, c'est essentiellement le temps, donc l'histoire qui permet de différencier le bien et le mal.

Etant donné le choix du sujet, vous l'aurez compris, ce roman n'est pas propice à la légèreté, à la rigolade... et ce d'autant plus que Gâza va se livrer à des expériences avec les clandestins. Comment trouver le chef naturel dans le groupe ? Quelle résistance à l'absence d'eau et de nourriture ? Comment inciter le groupe à lui livrer une fille pour ses ébats sexuels… ? Les relations entre Gâza et son père ne sont pas marquées sous le signe de la complicité et de la tendresse. Tout est noir dans ce livre.

Dans la première partie l'auteur nous invite à suivre l'histoire de Gâza et des clandestins. Il se livre à une réflexion sur l'enfermement et les relations de pouvoir dans un groupe. Je me suis perdue dans la deuxième partie. Je l'ai survolée car je trouvais que ce que vivait Gâza était beaucoup trop dur. La troisième partie n'étant pas tellement plus réjouissante, j'ai abandonné le livre en cours de lecture. Si j'avais poursuivi, j'aurais peut-être compris ce que l'auteur entendait par histoire de renaissance d'un personnage.

Je n'ai pas trop accroché au style de l'auteur. Je le regrette car l'entretien avec Baptiste Liger m'avait beaucoup intéressée d'une part et que c'est un sujet qui m'intéresse d'autre part. J'ai de beaucoup préféré Bilal sur les traces d'un clandestin de Fabrizzio Gatti.
Que cela ne vous empêche pas de vous plonger dans ce livre pour autant. Tous les goûts littéraires sont dans la nature.
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critiques presse (4)
Actualitte
01 juillet 2017
Une histoire (politique) d’une dureté saisissante, d’un cynisme percutant et d’une lucidité dérangeante (l’écrivain n’épargne personne), absolument nécessaire et qui nous concerne tous. Et nous implique. D’urgence.
Lire la critique sur le site : Actualitte
LaPresse
03 février 2016
Poignant et actuel.
Lire la critique sur le site : LaPresse
LaLibreBelgique
08 décembre 2015
Une plongée dans les trafics de réfugiés. Un livre cruel de l’écrivain turc Hakan Günday, dans la lignée de Céline.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Liberation
25 septembre 2015
Encore, avec son intrigue tirée au cordeau et bien construite, est peut-être son meilleur roman.
Lire la critique sur le site : Liberation
Citations et extraits (50) Voir plus Ajouter une citation
La différence entre l'Orient et l'Occident, c'est la Turquie. Je ne sais pas si elle est le résultat de la soustraction, mais je suis sûr que la distance qui les sépare est grande comme elle. Nous, c'était là que nous vivions. Dans un pays où les politiciens, à la télévision, rappelaient tous les jours l'importance de la géopolitique. Au début, je ne savais pas comment comprendre. Cela voulait-il dire que notre pays était comme un bâtiment délabré devant lequel s'arrête en pleine nuit un autobus à l'intérieur ténébreux et aux phares éblouissants ? Qu'il est un immense pont de 1 565 kilomètres de long sur le Bosphore. Un pont géant infligé aux habitants de ce pays. Un vieux pont entre l'Orient aux pieds nus et l'Occident bien chaussé, sur lequel passe tout ce qui est illégal. Tout cela me chiffonnait. Et en particulier ces gens que l'on appelle les clandestins...Nous faisions tout notre possible pour qu'ils ne nous restent pas en travers du gosier. Nous avalions notre salive et nous expédions tout le contingent là où il voulait aller...Commerce d'une frontière à l'autre...D'un mur à l'autre...
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Nous menions ces gens de l'enfer au paradis. Moi, je ne crois ni à l'un ni à l'autre. Mais ces gens-là étaient particulièrement crédules. Chez eux, c'était inné! Ils raisonnaient ainsi : s'il existe un enfer déchiré par la guerre et où l'on meurt de faim, il y a forcément un paradis.
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Je vais me raconter une histoire et je vais la tenir pour vraie. Parce que chaque fois que je me tourne vers le passé, je constate des changements. Les lieux diffèrent, les traits se modifient. Rien ne reste à la même place dans cette existence. Les choses ne sont jamais contentes de la place qu'elles occupent. En fait, elles n'ont peut-être pas de place définie. C'est pour cela qu'elles ne restent pas dans le trou où tu les as laissées, que tu as creusé spécialement pour elles, à leurs dimensions. Tu en es pour tes frais! Elles se débinent dès que tu as le dos tourné, elles changent de place pour te rendre fou. Ton passé, surtout...
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Nous transportions de la chair. Uniquement de la chair. Le rêve, la pensée ou les sentiments n'étaient pas inclus dans le prix. Peut-être que s'ils avaient payé assez cher, nous nous serions débrouillés pour les faire passer sans dommage. J'en aurais même fait une affaire personnelle, j'aurais veillé à ce que les rêves qu'ils avaient formés dans la maison- ou dans le trou, quel qu'il soit, où ils étaient nés- ne se brisent pas durant le trajet. (p. 20)
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Pour haïr la victime, il n'était pas nécessaire de perdre du temps à faire personnellement sa connaissance. Il suffisait de sniffer quelques doses de la haine collective qui est en suspension dans l'air. Cela ressemblait à toutes les guerres qui ont été, sont et seront engagées au nom de symboles. (p. 46)
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