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3,27

sur 166 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Roman sans génie. Banal. Et poussif. Les clichés s'enchainent, le ton est morne, l'originalité aux abonnés absents. Longs passages sur la futilité des jeunes d'aujourd'hui et leurs heures perdues sur Snapchat et autres réseaux sociaux, dénués de fondement et dignes de n'importe quel vieux con. Et truffé d'invraisemblances : qui croirait que Charles, éduqué en pleine brousse africaine, y découvre toute la littérature classique mais aussi se fasse une idée de la psychanalyse et de son histoire …

Thomas Gunzig règle ses comptes avec les profs de français, les psys de centre scolaire, les petits bourgeois des villes moyennes de province, les adolescents apathiques et les femmes de quarante ans et plus … Mais vous Monsieur Gunzig, quelle parade avez-vous trouvée pour échapper à l'horizon bouché, à l'univers fermé de votre petite vie minable et si tristement normale ?

C'est déplorable d'en être arrivé là.
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Quand j'ai lu le résumé, je me suis dis : tiens, un remake de Tarzan.
Que nenni !
Autant le dire tout de suite, je n'ai pas aimé ce roman qui fait, lui aussi partie de la sélection du Prix des Lecteurs de la Fête du Livre de Bron 2018.
Si j'ai mis une étoile, c'est uniquement pour les passages poétiques de sa vie africaine et son amour pour Septembre.
Sinon, il se comporte comme un animal arraché à son milieu naturel et son comportement est plein d'invraisemblances ( malgré ses nombreuses lectures, il ne peut savoir tout ce dont il parle, ni agir comme il agit ), certains passages sont carrément obscènes ,gores, il est tout sauf sympathique.
Bref, un mauvais moment de lecture, à oublier très très vite !!!
Je vais retrouver Fred Vargas, je préfère.
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Plutôt cliente de l'humour de Thomas Gunzig, j'étais curieuse de lire l'un de ses romans.
D'autant qu'avec son point de départ à la "Greystoke", "La vie sauvage" avait le potentiel pour poser un regard plein d'ironie sur notre société.
Mais n'est pas Voltaire qui veut, loin s'en faut.
Thomas Gunzig n'a pas su prendre le recul nécessaire et sa critique des imbécilités de notre société est plus amère qu'amusante.
La faute à son personnage principal déjà aigri, hautain, manipulateur et cruel qui tombe immédiatement dans le travers de juger sans chercher à comprendre et manque singulièrement d'humour.
Ayant grandi dans les forêts d'Afrique équatoriale, on comprend qu'il ait besoin de Pataugas, mais en littérature il vaut mieux les laisser au placard.
Les descriptions sont dignes d'un préado et les comparaisons, la plupart du temps négatives, sont quasi exclusivement végétales (le type ayant grandi dans la jungle, il compare toutes sortes de choses à des plantes - y compris de la salade, choix d'une logique implacable !).
Bref, la diatribe de Gunzig tourne à vide.
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Je n'ai pas du tout aimé ce roman que j'ai trouvé glauque, vulgaire et tout à fait incohérent. Ça ne doit pas être mon style... Un bébé rescapé d'un accident d'avion est retrouvé et identifié 16 ans après les faits et rapatrié dans sa "famille". Arraché à celle qu'il aime, il va tout faire pour honorer sa promesse et la retrouver. Il met alors sur pied un stratagème mais celui-ci n'est absolument pas crédible. Ajoutons un peu de littérature (heureusement, le jeune homme est cultivé et on peut lire quelques beaux extraits des auteurs classiques), un peu de sorcellerie, des allusions aux hobbies des jeunes des années 2000... Je suis passée complètement à côté de ce roman, de cette histoire. Dommage.
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La promesse était belle (le choc culturel d'un adolescent blanc ayant grandi dans un pays africain en guerre et catapulté dans son pays d'origine ; on imagine déjà le recul critique que cela peut amener), mais j'ai été dégoûtée par le cynisme et la froideur du personnage. Un livre également bourré d'invraisemblances.
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Je vais me forcer à terminer la lecture de ce livre qui a agacé mon mari mais ce sera dur et je ne le terminerai peut-être pas...La question que je pose: l'auteur est-il aussi prétentieux que son narrateur ?D'autres lecteurs ont déjà exprimé tout ce que je reproche à ce livre : clichés, invraisemblances, passages pseudo poétiques (que de mots, que de mots ...)
Gunzig cite beaucoup de classiques, il pourrait peut-être relire Flaubert
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