Hannibal

« Hannibal » est le quatrième volet sur Hannibal Lecteur qui clôt les « aventures » du célèbre cannibale.
Nous retrouvons l’héroïne du « Silences agneaux », l’agent spécial du FBI Clarice Starling, sept ans plus tard. Lors d’une arrestation qui vire au bain de sang, Clarice est bottée en touche par ses supérieurs. Machination ? Hannibal, qui ne cache pas son affection pour la jeune femme, sort alors de sa réserve pour lui témoigner son soutien. L’agent du FBI se lance donc à nouveau sur la piste du tueur, qui la mènera jusqu’en Italie. De son côté, Mason Verger, un homme richissime mais totalement impotent et monstrueux depuis sa dernière rencontre très « mordante » avec le cannibale, ne souhaite qu’une chose, se venger. Lequel des deux parviendra le premier jusqu’à Hannibal ?

Même si j’ai trouvé que ce quatrième volet ne se montre pas à la hauteur des précédents en matière de suspense et d’analyse psychologique des personnages, il recèle d’éléments suffisamment accrocheurs pour qu’on ne le lâche pas en route. Thomas Harris maîtrise l’art de la narration, l’histoire est bien ficelée et le rythme entraînant. Certaines scènes vont rester en mémoire (les gentils sangliers) et nous découvrons une Clarice Starling sous un nouveau jour… plutôt sombre !
Un thriller acceptable donc, en considérant qu’il arrive après les excellents «Le Silence des agneaux » et « Dragon rouge ». Difficile de faire mieux donc.

Sept ans plus tard, le Dr Hannibal Lecter est toujours introuvable et Clarice Starling qui a résolu l'enquête de Buffalo Bill, n'a pas eu la carrière qu'elle souhaitait. Suite à une intervention qui a mal tourné, Clarice Starling se trouve sous les feux des projecteurs et le Dr Lecter lui envoie un courrier. L'enquête repart mais des barrières à la fois interne et politique entravent l'enquête de l'agent Starling.

J'ai fait le choix de lire cette tétralogie en fonction de l'ordre chronologique de l'intrigue et non en fonction de leur parution. C'est donc pour moi, le dernier tome. Ce tome est le plus long et il m'a le moins intéressée. Mon intérêt a évolué crescendo pour redescendre en chute libre face au devenir des deux personnages principaux. Je ne m'attendais pas à cela. J'ai eu du mal à visualiser le personnage de Mason Verger, j'ai trouvé Kendler exécrable. Même si l'auteur a fait des recherches minutieuses, je n'ai pas adhéré aux descriptions de la ville de Florence, à son art, à Dante.

C'est un tome qui souffre de longueurs, mais il faut faire attention car il y a quelques scènes bien écoeurantes donc, âmes sensibles, s'abstenir.

J'ai décidé de lire Hannibal après le silence des agneaux, pour suivre l'ordre des films, que je connais bien. Je me demande finalement si c'était la meilleure des idées. Il semblerait qu'on ait ici le 4e tome plutôt que le deuxième.

Quoi qu'il en soit, j'ai bien aimé ce tome, même s'il évoque des faits qui se déroulent "avant", bien que pour moi, ça soit "après".

Dans les films, Hannibal est celui que j'aime le moins. L'histoire se déroule en grande partie en Italie, pays qui ne m'attire pas du tout, ni son histoire, ni son climat. C'est exactement ce que j'ai ressenti ici aussi. J'avais du mal à me mettre à ma lecture et j'avais du mal à me plonger dans la nouvelle vie que s'est choisi notre cannibale préféré. L'histoire de Clarice est quant à elle bien plus passionnante, et je l'ai continuée avec plaisir jusqu'à… et bien, jusqu'à la fin, que je n'ai pas beaucoup aimée. Elle abandonne tout pour suivre Lecter, y compris son amie de toujours, qu'elle laisse dans le flou le plus total. D'accord, le psychiatre a sans doute dû l'aider psychologiquement, et elle a été conditionnée par les drogues qu'il lui administrait, mais tout de même… Je suis déçue que son attrait pour le bien et la justice soit passé à la trappe.

L'histoire de l'inspecteur italien n'est pas exceptionnellement passionnante. Par contre, celle de Mason Verger l'est beaucoup plus. On survole son passé avec le docteur Lecter et Mason est bien plus terrifiant que dans le film. Il m'a filé des frissons de dégoût, bien plus souvent qu'à mon tour et bien plus souvent que Lecter.

Je n'ai pas été emportée comme dans le silence des agneaux, mais c'est tout de même un bon livre.

J'avais lu auparavant dragon rouge et le silence des agneaux ou on rencontré Hannibal lecteur mais qui ne lui était pas consacré. Là , il est au centre de l'histoire et la relation avec starling s'intensifie avec les déboires dont elle est victime. Il se ressent aussi a la lecture de ce livre un univers malsain et glauque qui sert très bien le roman.

Alors que j'ai plutôt bien apprécié le silence des agneaux et Dragon rouge, j'ai eu beaucoup plus de mal à lire Hannibal.
Dans ce roman, nous découvrons que Hannibal Lecter se cache en Italie, à Florence exactement. le FBI est toujours à ses trousses, mais également Masson, une des victimes du célèbre cannibale, qui vit maintenant alité 24 heures sur 24, ayant été sauvagement amoché par Lecter.
J'ai trouvé ce livre lent, et avec ses 600 pages, j'ai eu le sentiment de ne jamais pouvoir le terminer, heureusement, passé la moitié du livre, l'histoire s'active un peu et de l'action arrive enfin.
Je lirais quand même Hannibal Lecter, les origines du mal pour finir cette quadrilogie, mais je pense que ce sera un peu à reculons.

Un peu déçue ....

Et voilà, après avoir adoré " le silence des agneaux" et " Dragon Rouge" je me retrouve déçue par " Hannibal".
si l'écriture est toujours parfaite , et les descriptions toujours aussi fournies, je dois avouer que l'intrigue est au dessous des premiers tomes. Il y a trop de références aux personnages et intrigues du " silence des agneaux" pour qu"on puisse apprécier la lecture, on a le sentiment d'être dans un roman qui a manqué d'inspiration.
Alors que les deux premiers livres étant exempt de toutes longueurs, malheureusement on en retrouve pas mal dans cette ouvrage, alors que les premiers tomes traduisaient une certaine finesse, ici on est plus dans le gore, alors que les deux premières aventures de Harris nous surprenaient avec une fin déroutante , " Hannibal" arbore un final plutôt prévisible et décevant.

" Hannibal" n'est pas non plus un livre a bannir, il se lit très bien mais pour moi il est loin d'être à la hauteur des deux premiers livres. Finalement, Harris, a mit la barre tellement haut, a atteint un tel sommet que peut-être ne pouvait-il que redescendre....

Bien que le dernier quart du roman m'a tenu en haleine, Hannibal est le volume que j'ai le moins apprécié de la trilogie Hannibal Lecter.

Hannibal Lecter, célèbre cannibale, s'est évadé de l'asile psychiatrique 7 ans plus tôt. Le FBI poursuit sa traque, mais ils ne sont pas seuls. Mason Verger, victime d'Hannibale, qui a eu le visage mangé par ses chiens, veut se venger et est prêt à payer très cher pour voir mourir Hannibal dans d'atroces souffrances...
Qui du fbi, d'Hannibal ou de Verger va réussir son plan ?

Thomas Harris a consacré ce roman à la chasse d'Hannibal. On suit en parallèle Starling du FBI et Mason Verger, victime qui veut se venger. Agent véreux, argent et manipulation sont au coeur de ce roman. Sans oublier, les scènes d'horreur, de cannibalisme, les meurtres... Thomas Harris a le don de la noirceur, du gore en quelques mots !
Même si j'avais très envie de poursuivre ma lecture pour savoir ce qui allait advenir des principaux personnages, j'ai trouvé des longueurs dans ce roman qui ont rendu ma lecture assez difficile, notamment au début. Le dernier quart est plus dynamique et l'action s'enchaîne mais la fin m'a laissé sur une impression très étrange, angoissante, gênante... mais finalement dans une trilogie autour d'un cannibale, n'est ce pas le but recherché et donc signe de réussite ?

Je ne regrette pas la lecture de cette trilogie même si cela ne restera pas mes meilleurs thrillers ...

C'est celui que j'ai le moins apprécié, celui qui est le moins rythmé et où l'histoire m'a le moins accroché.

Un roman inégal. Effrayant par moment. mais je reste sur ma faim. le silence des agneaux était tellement bien que celui-ci me semble moins réussi... un agréable moment de lecture quand même.

Il etait bien sur tres difficile de rebondir sur un livre aussi excellent que le silence des agneaux. Il faut avouer que Harris s'en sort plutot bien meme si il ne faut pas attendre de Hannibal le genie et l'art du suspens dont il avait fait preuve dans le silence des agneaux.
En effet, si certains passages sont passionnants et haletants, on trouve aussi dans Hannibal de longs passages sans beaucoup d'interet et quelques derives de la part de l'auteur qui denaturent un peu l'oeuvre et alourdissent la lecture
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