J'avais eu un coup de coeur pour
Elisabeta, le tome 1 des chroniques du cercle, et du coup, j'ai mis très longtemps à me décider à lire
Sinteval : peur d'être déçue, peur de quitter les personnages...
Bref, ça m'aura pris 2 ans à me décider.
Première impression : le travail éditorial est toujours aussi soigné. Les couvertures, dessinées par Xavier Colette, sont vraiment magnifiques.
La plume de Rozeen Illiano est toujours aussi agréable à lire et l'intrigue aussi bien ficelée que dans le premier tome.
On retrouve des personnages à qui on s'était attaché, on en perd aussi. Et on en rencontre de nouveaux. Notamment Jeromine
Sinteval, qui donne son nom au livre et que j'ai eu du mal à apprécier.
J'ai eu pour elle plus ou moins les mêmes sentiments que développe Saraï à son égard.
Quand on parle de vampires et d'apocalypse, ces derniers ont tendance à être les prédateurs, les survivants...
Or ici, ils sont les victimes désignées et l'Apocalypse, même si elle a touché tout le monde, a pour but la destruction des immortels.
Voir des créatures quasiment invincibles aussi vulnérables a été un changement original que j'ai particulièrement apprécié.
Et puisqu'il en est fait mention dans ce roman, le prochain roman de l'auteur que je lirai sera
Midnight City.