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3,67

sur 3082 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
J'ai assisté il y a longtemps à une représentation de cette pièce d'Eugene Ionesco et en ai gardé un excellent souvenir.
Des années plus tard, j'en relis le texte, l'effet comique est toujours présent mais s'y ajoute un certain sentiment d'angoisse…

Je revois en pensée nombre de soirées où, comme dans la pièce, s'instaurent non des dialogues mais bien des “duologues” : chacun veut parler à tout prix sans véritablement répondre à ce qui vient d'être dit par l'autre. Parfois ce sont des moments de silence qui perturbent l'assemblée et bien que l'on ait rien à dire d'intéressant, ce silence doit être rempli au plus vite quitte à l'être par des banalités…
Cette vision de notre société s'impose davantage à la lecture que lors d'une représentation. Les personnages y apparaissent comme des robots mal conçus ne débitant que des maximes absurdes ou faisant preuve d'une condescendance évidente vis-à-vis de Mary, la bonne.

Ionesco sous-titre La Cantatrice chauve d'anti-piece, elle garde néanmoins toutes les apparences d'une pièce de théâtre classique mais avec des différences notables : les personnages sont sans profondeur, ne débitent que des clichés et à la fin ne prononcent que des onomatopées, le langage explose. Aux personnages principaux, les couples Smith et Martin, vont s'adjoindre Mary, la bonne et le Capitaine des pompiers, ils ne sont pas présents tout au long du spectacle mais ils arrivent à supplanter en importance les deux ménages.
Enfin, la pièce tourne en boucle, elle n'a pas de fin, elle se poursuit alors que le rideau se ferme.

Mon expérience de lecture n'est pas identique à celle de spectateur, je l'ai souligné déjà, elle m'a apporté quelque chose de plus affirmé mais aussi par contre, lors de la dernière scène, une difficulté à ressentir, à vivre la cacophonie finale, évidemment plus marquante au théâtre !




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Ma première visite chez Ionesco!
Voilà ce que c'est, d'avoir arrêté ses études à Bac moins deux.
On traîne, on remet, mais on finit par arriver à La cantatrice chauve, puis à La leçon puisque cette dernière suit la première. Il y a donc une certaine logique dans ce théâtre de l'absurde. Un, puis deux... À noter que cela aurait pu être deux puis un. Va savoir. Mais cela m'aurait contraint à commencer la lecture du volume à plus de sa moitié en y mettant un marque-page supplémentaire! Trop complexe pour Horusfonck.
Donc, Horusfonck (c'est moi) le traîne-lattes des chefs-d'oeuvre de la littérature entame, poursuit et achève la lecture de son premier volume des écrits d'Eugène Ionesco. Rien que ça.
Alors, j'ai bien apprécié et je ne m'en étonne pas puisque je ne suis jamais si bien servi que par moi-même en personne. Jusque-là, rien d'absurde.
Je lirai donc d'autres oeuvres de Ionesco.
D'avoir lu, avec gourmandise, Courteline et Cami, me permet d'en retrouver quelques traces dans les deux pièces de Ionesco... Absurde, me rétorquera-t-on? Eh, pas tant, répondrai-je en évoquant Les Boulingrins et Drames de la vie courante.
Il faut bien se raccrocher à quelque-chose, absurde ou non ?
Passons.
Ionesco va plus loin dans l'absurde et la réjouissance qu'il (l'absurde) peut procurer au lecteur/spectateur/critique/prof/élève/pompier/poissonnier et que sais-je encore qui ouvre les vannes de sa perception et laisse ses yeux briller. Sans queue ni tête mais avec tête-à-queue garanti ou non mais pas que.
Je répète : J'ai bien apprécié.
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Cela fait quelques jours que je tourne autour de ces deux pièces de théâtre sans trop savoir comment en démarrer la chronique. Et puis ce matin, samedi 14 novembre 2015, je me suis réveillée au son de la radio et des infos du jour. La Belgique a battu l'Italie 3-1 en match amical à Bruxelles. A Paris, des bombes ont explosé aux abords du Stade de France. Des gens qui allaient au spectacle ont été tués. Quelqu'un s'assied à une terrasse et se prend une balle. J'comprends pas.
Le théâtre de Ionesco, c'est un peu ça : des répliques improbables, sans lien entre elles, enchaînées les unes après les autres. Absurde. Un défi à la compréhension. Je fais l'impasse sur « la Cantatrice chauve », dont je n'ai pas compris le message, à supposer qu'il y en ait un. J'en retiens seulement que ce texte m'a fait rire, et je vous dirais bien que cette pièce doit être vue plutôt que lue, mais j'aurais bien trop peur de vous envoyer à la mort en vous invitant au théâtre. « La leçon » est une pièce plus inquiétante : une jeune étudiante stupide prend sa leçon auprès d'un vieux professeur imbu de sa personne et qui, sous l'apparence d'un intellectuel de haut vol, masque à peine un pervers expert ès fumisteries. Ca finit mal, puisque l'un des deux assassine l'autre.
Difficile d'établir un parallèle avec les attentats de Paris, et ce n'est pas le but, sauf que, comme dans « La leçon », l'incompréhension, la bêtise et l'intolérance, bref, la connerie humaine, ont le pouvoir de provoquer des carnages. Et là, je repense aux caricatures de Mahomet : « c'est dur d'être aimé par des cons ». Sauf que, pardon, mais il ne s'agit pas (il ne peut pas s'agir!) d'amour, mais plutôt de rage. De la rage qui a germé dans le crâne de ces ravagés du cerveau, à la faveur d'interprétations totalement dévoyées du Coran. Parbleu, mais quel mot ne comprennent-ils pas dans la phrase « Ne tuez pas la personne humaine, car Allah l'a déclarée sacrée » (Coran, VI, 151) ? Ils se justifient (comment osent-ils même justifier leurs actes, ces barbares ?) en disant qu'ils vengent les victimes syriennes ou irakiennes des bombardements français. M'enfin, c'est moi à qui on ne dit jamais rien, ou bien le Talion n'est plus seulement une « loi » juive, émanant d'un peuple ennemi juré ? J'comprends rien. Et ils croient sérieusement, ces dingues, que c'est en nous massacrant dans une salle de concert ou à une table de restaurant qu'ils vont arranger leurs affaires? Incultes frustrés... Et qu'ils vont empêcher les survivants de continuer à vivre libres (je ne dis même pas « heureux », juste « libres ») ? Aberrant. Bande de tueurs haineux décérébrés, quand je pense que vous êtes sans doute ravis d'être morts en martyrs de je-ne-sais-quelle cause... Vous seriez ridicules si ce n'était pas aussi tragique.
Le rapport avec Ionesco, Messieurs les excités de l'arme lourde, à supposer que vous ayez jamais entendu ce nom ? Aucun. Ou plutôt si : je n'ai rien contre l'absurde, moi, quand il me fait rire et ne blesse personne. Autant dire que je ne suis pas près d' « apprécier » votre sens de la « mise en scène ».
En bref : touchez pas à la liberté, p... de b... de m...
Lien : http://www.voyagesaufildespa..
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Ce recueil comporte deux oeuvres : La cantatrice chauve, que l'auteur nomme "anti-pièce", et qui est me semble-t-il sa pièce la plus jouée au théâtre. Oeuvre totalement absurde, donc répondant point par point à la recherche de l'auteur. Il faut saluer le jeu des acteurs, qui sont confrontés à un texte très difficile à mémoriser, car les dialogues, qui ne semblent aucunement reliés, font figure de monologues, phrases sans suite, sans queue ni tête. Une véritable cacophonie, sans début ni fin, qui peut être rejouée à l'infini. Oeuvre déstabilisante, qui démontre le génie de son auteur.
La leçon, seconde pièce, de l'ouvrage est qualifiée par Eugène Ionesco, comme étant un drame comique. Elle est bien plus abordable, plus classique, car il y a un fil conducteur, une histoire, mais elle est très sombre, faite de manipulation et de violence.
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Deux petites merveilles, jouées au théâtre de la Huchette par de jeunes comédiens frais émoulus de leurs écoles et conservatoires, sans interruption depuis leur création - ce qui est un record de longévité et une marque de la jeunesse éternelle de ces pièces!

La cantatrice chauve inspirée à Ionesco par les dialogues décalés de la méthode Assimil- on dit souvent n'importe quoi pour faire comprendre une règle de grammaire- est une pièce folle, sensée se passer à Londres, qui dénonce les artifices et conventions du théâtre de boulevard (reconnaissances, dénouements, scènes d'introduction, monologues, a parte, etc...) On rit beaucoup, et , si on est attentif, on comprendra même, fugitivement, pourquoi la pièce s'appelle La Cantatrice Chauve!!

La Leçon est plus inquiétante et met aux prises un professeur très savant mais timide avec une élève très à l'aise, mais inculte...Peu à peu, au fil du dialogue pédagogique et délirant qui s'instaure entre eux, la relation de pouvoir s'inversera, conduisant à la folie...et au crime!

Drôle, très drôle même...la caricature de toute relation où le savoir est un pouvoir dangereux...

Du grand Ionesco pour tout public!

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Après la page de garde, c'est déjà clair, on annonce une anti-pièce.

En effet, on croit d'abord avoir ouvert un manuel d'apprentissage de langue pour débutants, ou un livre de maths avec description de théorèmes où tout est décrit, expliqué maintes fois.

L'histoire ? Deux couples dans un salon, des dialogues surréalistes entre eux, auxquels s'ajoutent par moments les interventions d'une domestique et d'un pompier. Ca finit en fanfare hautement burlesque... Quatre-vingt pages loufoques et réjouissantes.

De message caché, de second degré, je n'ai pas trouvé, mais je me suis bien amusée.

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Drôle, voir sarcastique, un monde d'absurdité mais tellement jubilatoire.
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Evocation « à la manière de » de la Cantatrice Chauve de Ionesco (anti-pièce parue en 1950) :

La scène se tient dans la banlieue de Londres, la capitale mondiale du boeuf à la menthe et du Royaume Désuni. C'est l'après-midi, avec les Bill Vezay en famille, vêtus style très anglouillard, dans leur salon anglouillard grande époque. le père Bill et sa femme Bill finissent de digérer (soupe de poisson au lard, pommes de terre aux harengs et pudding aux haricots), avec leur fils Bill et leur fille, qui s'appelle Bill. Il y a aussi Mary, la bonne, qui s'appelle Sherlock Holmes.

La pendule marque la 2e mn de 16h34.

- Bill fils : ah, je termine la pièce de Ionesco, La Cantatrice chauve. C'est très drôle, mais elle décoiffe quand même pas mal, cette cantatrice !

- Bill fille (qui est aussi la soeur de Bill – le fils, pas le père, parce qu'elle en est déjà la fille) : oh oui, je l'ai lue, ça soulève bien les tifs, ça vrille la raie et ça secoue bien la moumoutte ! J'en ai rarement lu des comme ça !

- Bill fils à Bill père : tu la ranges où sur l'étagère, déjà, cette Cantatrice ?

- Bill : à côté de la méthode Assimil « le Zoulou sans peine ». En fait, Ionesco s'est inspiré d'une méthode Assimil en anglais pour créer son petit bijou théâtral. Mais tandis que tout est bullshit et abracadabrantesque avec Assimil, c'est tout véridique, authentique et rationnel dans La Cantatrice !

- Bill mère : oui, enfin, bon, des cantatrices chauves, moi, j'ai un doute. Si tu permets. D'ailleurs, on ne la voit jamais …

- Bill père : mais mon amie, elles le sont toutes ! A votre âge, vous devriez le savoir, quand même…

- Bill mère : pas la Catasfiore !

- Bill père : oui, oh, celle-là, peut-être, à la rigueur. Ça serait encore une histoire belge, que ça m'étonnerait pas non plus ! Non, les cantatrices sont toutes des skinheads. Avec un anneau à chaque oreille et un dans le nez. Pour améliorer l'acoustique. En jaillissant de la bouche, le son est répercuté et amplifié par le métal des anneaux. Il glisse ensuite sans obstacle sur le crâne lisse et sans aspérité, pour retomber ensuite en abondance sur l'audience en extase. Tandis qu'avec les cantatrices non épilées du caillou, le son qui s'élève est piégé et étouffé par la tignasse : c'est connu, quand même !

- Bill mère : tiens, c'est vrai, je n'y avais pas songé …

- Bill père : y a des fois, ma chère, je m'demande qui a fait votre instruction !

La pendule sonne alors les 27 coups.

- Bill mère : Mais que font les Martin ? Five o'clock va bientôt sonner et ils ne sont toujours pas là !

- Bill fille : de toutes façons, les Martin sont des crétins. Surtout Jacques, leur fille. La dernière fois, ils ont encore pris prétexte qu'ils n'avaient pas été invités pour ne pas venir. C'est tout leur genre, ça.

- Bill (père ou fils, c'est pas grave) : je crois qu'il est vain, en effet, d'espérer entendre teinter la sonnette. A propos de sonnette qui sonne, vous vous rappelez le passage dans La Cantatrice, où personne n'était à la porte, sauf le capitaine des pompiers à la 4e sonnerie ?

- Bill (heuh, je sais plus qui …) : ah oui, ben là encore, c'est bien borderline ce passage.

- Bill mère (si on suit bien) : Mais non : si tu avais réparé notre sonnette, tu t'apercevrais toi-même de visu que c'est toujours comme ça – On sonne, on va ouvrir la porte, et y a jamais personne.

– Bill fille : c'est vrai. C'est comme les notifications sur Babelio : la petite clochette s'allume, tu cliques et pshiit, y a peau de zébi ! C'est toujours comme ça !

- Bill frère : nanh, c'est comme dans Ionesco : il suffit de compter jusqu'à 3 et de cliquer seulement à la 4e notification – c'est ça la techno. Quelques petits bugs bénins, faut vivre avec.

- Bill père : Ouais … N'empêche, on trouvera toujours des gens qui iront ouvrir la porte parce que la sonnette a retenti. C'est comme pour le téléphone : on décroche pas toujours comme ça non plus !

- Bill mère : évidemment. Je décroche à la 8e fois seulement ; par expérience, bien sûr. Mais le téléphone, c'est quand même pas pareil …

- Bill fils : Et pourquoi c'est pas pareil ?

- Bill mère : Parce qu'en décrochant même à la 8e fois, il n'y a personne non plus ! Parfois une voix, qui dit peut-être quelque chose, mais ça veut rien dire.

- Bill père : Ah, ben s'il y a une voix, ya forcément quelqu'un à l'aut' bout !

- Bill fils : C'est pas du tout sûr : Jeanne D'Arc aussi a entendu des voix, et il n'y avait personne à l'aut' bout.

- Bill père - Ah, oui, c'est historique, ça – je n'y avais pas pensé. Tout de même, les Français sont un peu niais aussi. Faudrait creuser la question un peu plus…

La pendule annonce five o'clock

- Bill père : Aah, c'est l'heure du shit ! Sherlock ?!

- Mary, la bonne : Monsieur m'a appelé ?

- Bill : oui. Servez-nous le five o'clock, je vous prie.

- Mary : tout de suite, Monsieur.

Mary - Sherlock apporte alors un plateau avec boissons, space-cake et joint.
Bill sert les boissons, tandis que Bill découpe le gâteau et que Bill allume le joint.

- Bill (tous en choeur) : Ah, les repas en famille, comme dans le bon vieux temps ! Et un bon joint fait maison, pour se remettre les idées en place ! Hot pot, home weed, sweet grass : y a que ça de vrai !
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Souvenirs de lycée, mais qui a pris une autre dimension pour moi depuis que je travaille dans le FLE (enseignement du français langue étrangère), puisque cette pièce a été inspirée des cours de langues des années 50, où ce qu'on y apprenait était souvent à la limite de l'absurde, genre "papa fume la pipe et maman tricote" (cet exemple est véridique: mes parents qui ne sont pas français ont appris ce genre de phrases à leurs cours du soir de français!!)
Heureusement cet enseignement a bien changé, mais le propos n'est pas là.

Cette pièce, donc, et celle qui la suit, sont délicieusement absurdes, et j'aime les faire découvrir à mes étudiants, parce qu'en plus, elles sont simples.
Tout, jusqu'aux didascalies, fait sourire, ou plutôt grincer des dents pour la Leçon, dont la progression est irrésistible et presque inévitable.

La cantatrice Chauve, la pièce la plus célèbre de Ionesco, n'est pourtant pas celle que je préfère; Rhinocéros et le Roi se Meurt ont une dimension bien plus forte et tragique à mon avis, mais il me faut les relire.
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Moquerie de la méthode Assimil, des dialogues mécaniques, de tout et de rien, LA CANTATRICE CHAUVE égrène des perles de non-sens, à Londres, dans un appartement. M. et Mme Smith, M. et Mme Martin, la bonne et un pompier. La cantatrice chauve n'est évoquée que par le pompier, qui demande de ses nouvelles. Silence gêné, avant que Mme Smith ne lâche : « Elle se coiffe toujours de la même façon ».

Le pompier prend congé en invoquant un incendie prévu « dans trois quarts d'heure et seize minutes exactement ».
Il s'avère que la pendule « marche mal. Elle a l'esprit de contradiction. Elle indique toujours le contraire de l'heure qu'il est ».

Le menu n'échappe pas à l'absence de règle : « tarte aux coings et aux haricots", "Le yaourt est excellent pour l'estomac, les reins, l'appendicite et l'apothéose".

M. Martin, ambitieux :
« Oublions, darling, tout ce qui ne s'est pas passé entre nous et, maintenant que nous nous sommes retrouvés, tâchons de ne plus nous perdre et vivons comme avant »

in fine, les Martin reprennent les paroles des Smith du début de la pièce.

Et l'on tourne en rond.


Absurde, burlesque et tragique, LA LECON épouse le même cercle vicieux, la fin répétant le début.
Le professeur « Arithmétisons donc un peu » ne supporte ni ses élèves ni les stéréotypes.


La leçon de ces deux pièces ? C'est peut- être qu'il n'y en a pas…
La Bonne après une tirade complètement dingue sur le fait que M. et Mme Martin ne sont pas M. et Mme Martin, le dit. « Qui a donc intérêt à faire durer cette confusion ? Je n'en sais rien. Ne tâchons pas de le savoir. Laissons les choses comme elles sont. (Elle fait quelques pas vers la porte, puis revient et s'adresse au public). Mon vrai nom est Sherlock Holmes ».

« La vie ne vaut rien… rien… rien ne vaut la vie »

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