"La même tendance est celle de ceux qui définissent l’âme ce qui se meut soi-même; ils semblent tous penser, en effet, que le mouvement est le caractère le plus propre de l’âme, et que toute chose est mue par l’âme, mais que celle-ci se meut par elle- même; la raison en est qu’on ne voit aucun moteur qui ne soit lui-même mû. "