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Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Nullissime….

Par où commencer? Par l'essentiel : ce livre manque de tout et il est sidérant de bêtise. L'histoire ne tient pas, tout sonne faux, les personnages sont caricaturaux au possible et on ne peut donc pas s'y attacher. Ça part dans tous les sens, il n'y a aucun socle sur lequel s'appuyer, aucun schéma narratif (pourtant la base d'un roman!) c'est vulgaire et on n'accroche à rien. On ne peut pas, c'est tellement absurde et déconnecté de la réalité ! J'ai entendu la critique de Jean-Claude Raspiengeas à l'égard de Jardin dans le Masque et la Plume sur France Inter et il a vraiment tout dit à propos de ce livre qu'il a éreinté sans aucune modération. C'est dingue de se prétendre du peuple et d'être à ce point déconnecté des réalités quotidiennes des gens qui en sont issus…
Ce livre caricatural, mauvais, dépourvu de tout ce qui fait un livre, est une offense aux gens qui partent bosser le matin, une insulte aux grands écrivains français qui se sont appropriés (avec brio) la question sociale à travers les siècles. Je suis heureuse de ne pas avoir acheté ce livre, une amie (ou une ennemie je ne sais pas!) me l'a prêté. Quand on achète un livre, on soutient l'auteur et on l'encourage à continuer. Alexandre Jardin devrait laisser sa place à ceux pour qui la littérature a encore du sens car avec un livre pareil il se couvre de honte.
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j'ai lu environ 30 PAGES , difficilement, survolée le reste
Où est Alexandre Jardin
pas assez de temps pour beaucoup de livres à lire
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L'avertissement qui débute le roman joue son rôle. Alexandre Jardin y dit :
« Je n'écris plus pour éviter par l'imagination, j'écris pour me révolter. Et pour contribuer à la lisibilité du monde, au risque de braquer l'oreille publique. ».
« En prêtant ma plume à l'impraticable Kelly, furieusement vraie, je cherche l'évidence des choses vues ».
Autocritique ambitieuse.

Kelly, c'est sa « Française ». L'héroïne du roman-qui-dénonce que j'avais sous les yeux, annoncée comme étant la femme libre par excellence.
Et Kelly de se révéler être une femme... hystérique et nymphomane : l'homme, on le gifle ou on le baise. Souvent les deux.
Une femme aux idées un peu rétrogrades, un peu racistes mais parfaitement assumées sous couvert d'« inquiétude légitime que les valeurs universalistes deviennent minoritaires sur sa terre de naissance ». Et en même temps ses idées, ce n'est pas sa faute. Elle évolue dans une Normandie arriérée et léthargique, abandonnée par un Paris nombriliste.
Ajoutez à cela toutes les dérives de la France sociale, le radicalisme religieux, les vains combats écologistes et les entraves législatives à l'entreprenariat…
Vous avez alors un beau mélange de ces sujets de société primordiaux.
Deux solutions :
- Soit vous y trouverez toutes les raisons d'enfiler, avec Kelly, votre gilet jaune ;
- Soit vous n'y verrez qu'un pot-pourri.

Et d'être de la team pot-pourri indigeste.
J'ai eu le sentiment qu'Alexandre Jardin, au parcours identitaire semé d'embûches, a enfilé une nouvelle veste qu'il espère rédemptrice en prenant la voix du peuple. Sauf, que le trait est un peu forcé, l'approche plutôt démagogique, le ton presque condescendant. Rien que le style pompeux et par trop sophistiqué ne me paraît pas au service des « gens simples privés de vies simples » à qui il disait vouloir s'adresser.
L'exercice était périlleux, le discours n'en est que plus trouble.

Toujours dans l'avertissement, qui décidément porte bien son nom, on peut aussi lire : « On pourra à bon droit m'accuser d'une spéculation littéraire sur la misère pittoresque et le désarroi qui font vendre. Ou de traiter de la déveine sociale comme un exotisme pour les beaux quartiers. »
J'aurais dû lui faire confiance…
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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J'ai eu beaucoup de mal, je ne suis pas allée au bout ...
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L'auteur ferait mieux de parler en tant qu'homme. Tout sonne faux dans ce personnage féminin. Et l'ensemble est du genre "donneur de leçon" basé sur une philosophie de comptoir absolument inintéressante. Horrible quoi.
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Je me souvenais d'Alexandre Jardin comme d'un auteur plein d'humour, aux histoires décalées...
Quelle déception !
Ce roman qui se veut "contemporain" sur fond de gilets jaunes ne m'a aucunement séduite : ni par son intrigue "creuse", ni par son héroïne à laquelle je ne parviens pas à adhérer ni à m'identifier, ni par le style qui m'a paru vulgaire...
"Zèbre" ! où es tu passé ?
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J'ai emprunté ce livre en bibliothèque, attiré par l'auteur et par le titre.
A la lecture de l'avertissement de départ où Alexandre JARDIN rene tout ce qu'il a écrit précédemment pout pour prendre un virage radical en faveur de la défense des "petits", des oubliés, des "Gilets Jaunes", j'ai été curieux de lire ce que ça allait donner ... Quelle déception !
J'ai trouvé ce roman verbeux, prétentieux dans son écriture, racoleur dans sa description des prouesses sexuelles de l'"héroïne", condescendant vis-à-vis de ceux que l'auteur prétend défendre et trop manichéen.
J'ai voulu le lire jusqu'au bout, mais j'avoue que j'ai, au fil des pages, de plus en plus lu endiagonale, tellemnt cette loghorrée m'ennuyait.
C'est difficile de critiquer de manière négative un roman avec un tel sujet et j'en suis désolé.
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