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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je ne suis pas peu fière de mon exemplaire où Craig Johnson a apposé sa signature après un énigmatique A change with weather..? Il m'a demandé quelles étaient mes enquêtes préférées du shérif Walt Longmire : j'ai répondu Little Bird, Hell is empty (Tous les démons sont ici) et Steamboat. Puis celle que j'avais le moins aimée. L'Indien blanc, sans hésitation. Il a voulu en connaître la raison. Trop d'histoires de nanas, ai-je répondu avec un brin de provocation. Il a rigolé. Hélas, dans ce nouvel opus, il y a beaucoup trop de tout, et l'aventure mexicaine tourne à la danse macabre effrénée en laissant notre valeureux Walt à demi-mort et moi toute secouée par les rafales d'AK-47.
Le style Johnson fait mouche dans les cent premières pages avec des personnages hauts en couleur (dont un cul-de-jatte aveugle et bossu surnommé le Voyant), une atmosphère sombre à souhait et des traits d'humour à savourer comme des shots de tequila. Mais une fois que le shérif a rejoint le repaire du sanguinaire narco-trafiquant Bidarte, les voyants qui clignotaient passent au rouge et on débarque dans Mission Impossible. Walt a dévalisé l'armurerie et sorti l'artillerie lourde, les références ne manquent pas au catalogue, mais j'ai rapidement abandonné le cours sur les S&W, les M16, les Glock 9 mn et autres .357. J'étais dépassée quand est arrivée l'explication sur les différentes sortes de grenades et j'ai carrément raté l'argumentaire sur les types de fusils d'assaut. À ce moment-là, il y avait eu au moins deux cent soixante morts et le shérif était salement amoché. le pôvre, il a passé son temps à épargner des sociopathes de première catégorie plus résistants que la vérole sur le bas clergé breton, ce qui lui a valu à chaque fois un beau cassage de gueule. Il arrivait quand même à murmurer à sa fille Cady entre ses lèvres tuméfiées « Ma chérie, je t'aime » avant de repartir au feu.
Vous l'avez compris, Walt Longmire n'est pas Ethan Hunt et il vaut mieux qu'il reste dans son comté d'Absaroka plutôt que d'aller sucer du jus de cactus au Mexique. Oserai-je le dire à Craig Johnson si d'aventure nous nous croisons encore ?
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"tout ce que je voulais, c'était récupérer Cady", sa fille enlevée par un méchant, réfugié au mexique, dans un territoire désolé, de western, sans loi.

Défiant tous ceux qui lui font obstacle, le sheriff Walt Longmire part en guerre, abandonnant son comté d'Absaroca en Wyoming et s'organise un périple tranfrontalier en toute illégalité, mais pour le bon motif.
Nous, nous en suivons le déroulement à partir de la frontière mexicaine.

"La mort rode autour de vous" lui annonce la sorcière tatouée ... la 4eme de couverture aussi.
Un aveugle amputé, un médecin tueur de jaguar, puis de traficants desperados (?) , un geek informaticien coiffé rasta,  ainsi que "la bruja de la piel "animent les actions, lors de la fête des morts ...
Ce sheriff aime les armes, et nous le fait savoir :en 3 lignes et 2 minutes, démonte un fusil d'assaut, se promène avec un sac de pétoires de collection, refuse de tuer inutilement.
Personnage de western des annees 60, perdu sur les plateaux mexicains, il me rappelle les 7 mercenaires avec Yul Bruner et Ch. Bronson, puis Mike Gayver , justicier non violent au couteau suisse, très bricoleur . Là, notre sheriff ouvre serrure et cadenas avec agraffe puis fourchette... à l'intant critique !
Les ombres de Terence Hill et de Budd Spencer rodent !
De la littérature B. D. pour adolescent, vous dis-je. Les fameux comics.
Un peu d'humour, bien trop dilué.

_ L'épilogue hospitalier sort un peu du convenu....   .
_ Egalement, les remerciements sont  destinés au lieu d'inspiration de l'auteur, et à ses animateurs : le  World Famous Club Kentucky et sa célèbre "margarita" à deux dollars l'unité,...ainsi qu' entre autres, aux serveuses "Gin Fizz" et "Wiscky sour"....

_  La couverture m'a permi de découvrir les oeuvres du talentueux graphiste  milanais Giordano Poloni  _merci internet _.

Donc 1,5/5  pour la couverture et pour les souvenirs des salles obscures de ma jeunesse.
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Grand amateur de la série, je dois dire que je suis bien déçu par ce dernier volume paru. Craigh Jonhson nous avait habitué à beaucoup mieux que cette enquête linéaire, balisée de violence, de cadavres et de règlements de compte sanglants entre sadiques de tout poil. le maître sait effectivement créer du suspens, mais là, je trouve qu'il ne s'est pas trop fatigué... Flamme, poudre et hémoglobine, sont les principaux ingrédients du mélange... Envie de fournir un scénar à leur mesure aux cinéastes avides d'effets faciles ? Non là, vraiment, Monsieur Johnson, je suis déçu, déçu. Heureusement que Vic et Cady ne vont pas trop mal, sinon...
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Cet avis sera très bref, je n'aime pas poster un retour négatif

Impossible d'accrocher à l'histoire, le style est bourré de clichés et les personnages sont beaucoup trop stéréotypés

J'ai du abandonner après plusieurs chapitres

Peut-être que je tenterai à nouveau plus tard
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