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Walt Longmire - Romans tome 16 sur 17
EAN : 9791041415595
360 pages
Points (08/03/2024)
3.45/5   97 notes
Résumé :
Bienvenue dans le pire cauchemar de Walt Longmire.
L'hiver approche, et pour le shérif, il s'annonce bien plus rude que d'habitude. Tomas Bidarte, le chef de l'un des plus redoutables cartels du Mexique, a kidnappé sa fille Cady. Parti à sa rescousse, Walt s'enfonce dans le désert mexicain, loin de tout, où personne ne parle sa langue ni n'est susceptible d'aider un étranger. Quant aux autorités américaines ou mexicaines, inutile d'y songer.
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Critiques, Analyses et Avis (22) Voir plus Ajouter une critique
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Et voilà…une fois de plus, à peine ce dernier exemplaire en date des aventures de Walt Longmire entre mes petites mains avides, et déjà terminé…. Je l'avais récupéré la semaine dernière, car on libraire, connaissant mes gouts, me l'avait mis fort judicieusement de côté.
Oui, je l'avoue, j'attendais avec fébrilité la suite de « Western Star », et je me lancée dans sa lecture dès que possible. C'est dire que j'ai dévoré ce livre.
Cette fois-ci, pas de paysage enneigé du Wyoming, car cet épisode se passe intégralement au Mexique. Et là-bas, les températures flirtent facilement avec les 40 degrés à l'ombre. Et mon shérif préféré va pouvoir apprécier pleinement ce que cela peut impliquer…
Il va se lancer dans une quête qui semble plutôt désespérée pour sauver sa fille et surtout, aller au-devant du danger et de Bidarte, son ennemi juré.
Un épisode très musclé, qui n'est cependant pas mon préféré de la série, mais j'ai quand même apprécié . Certains épisodes sont un peu plus riches en surprises et plus subtils, comme le précédent pour ne pas le citer.…. Mais j'avoue que j'aime le style de Craig Johnson, qui manie la plume avec un humour bien particulier.
En conclusion, certains personnages m'ont vraiment manqué, dont évidemment l'Ours qui est clairement mon préféré. Oui, j'ai un petit faible pour la Nation Cheyenne, mais en même temps, les reparties pleines de verve entre Vic et Connally, j'espère elles aussi les retrouver dans le prochain opus.

Challenge Mauvais Genres 2022
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Le shérif Walt Longmire se trouve bien loin de ses territoires de prédilection : le voilà à la frontière du Mexique. Il n'est pas en mission officielle, il parle peu (vraiment très peu) l'espagnol. Il rencontre des gens bizarres : un aveugle surnommé « le Voyant », son neveu Alonzo qui conduit une Cadillac décapotable de 1959 rose bonbon, et des agents des frontières. L'un semble vouloir l'aider, mais l'autre est bien décidé à lui mettre des bâtons dans les roues : un Américain qui entrerait au Mexique sans passeport et avec une arme serait susceptible de s'attirer beaucoup d'ennuis, de se retrouver en tôle, voire de déclencher un incident diplomatique. Oui, mais Cady, la fille du shérif, a été enlevée par le chef d'un puissant cartel que l'on connaît déjà, Tomás Bidarte, et Walt Longmire est prêt à tout pour la récupérer.
***
« – Eh bien, il faut admettre que cette mission est un peu différente de ce que tu fais d'habitude » estime l'un des personnages presque à la fin de l'aventure. Ce n'est rien de le dire ! Walt Longmire n'est vraiment pas à son meilleur dans cette aventure lente mais intense, extrêmement violente, dans laquelle Craig Johnson paraît se complaire dans des descriptions de tortures et de scènes cruelles que je ne me souviens pas avoir déjà lues sous sa plume. Cady a été enlevée, c'est une chose, mais Vic est absente et Henry Standing Bear aussi ! Et moi, je suis dépaysée et je ne trouve plus mes repères… Heureusement, comme toujours, Craig Johnson prête à son personnage son amour de la culture : entre autres exemples, Walt a emporté avec lui un livre d'Ambrose Bierce (disparu au Mexique). Comme dans les autres romans, les références à des artistes et à des intellectuels, contemporains ou non, américains ou non, abondent. Il faut je crois, accorder une importance particulière aux deux citations placées en exergue. D'abord celle de Camus, qui donne son titre au roman par le truchement de la traduction en anglais ainsi que des clés pour comprendre l'attitude du shérif : « Au milieu de l'hiver, j'apprenais enfin qu'il y avait en moi un été invincible » et celle de Porfirio Días : « Pauvre Mexique, si loin de Dieu et si près des États-Unis ». Comme en témoigne cette deuxième citation, l'humour est toujours présent, même si les interlocuteurs changent et que les réparties des personnages récurrents m'ont manqué. Au final, un peu déçue quand même…
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Je vais commettre un crime de lèse-majesté, moi l'immense fan des écrits de Craig Johnson : je ne vais pas me montrer dithyrambique sur le roman qui vient d'être publié ("Le coeur de l'hiver"), suite de l'excellent "Western Star".

Alors oui, j'ai été ravi de retrouver Walt Longmire, certes on ne s'ennuie pas, je suis d'accord, l'écriture est toujours aussi plaisante, avec ces petites touches d'ironie et d'autodérision disséminées dans le récit, ok les couvertures de Gallmeister sont toujours aussi belles...

Mais on parle du scénario ? Grosso modo, Walt est en territoire particulièrement hostile au Mexique pour délivrer Caddy, détenue dans un monastère par le cartel de son ennemi juré, Bidarte. Voilà, toute l'histoire est là... il va y avoir des armes, donc des morts (beaucoup !), de la douleur (faut éviter d'aller faire du tourisme dans ces coins du Mexique, petit conseil), de l'action. Y'a un petit côté Rambo dans cet épisode... bref, c'est un peu léger, cela manque de subtilité. A moins que l'absence d'Henry Standing Bear se soit fait cruellement ressentir ?

Je suis vraiment curieux de savoir comment les autres aficionados de Craig Johnson (toujours en visite en France à l'heure où j'écris ces lignes...) auront perçu ce dernier roman, s'ils partagent ou non mon ressenti. Quoiqu'il en soit, j'attends la suite avec impatience... malgré tout !
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Shérif du comté d'Absaroka (Wyoming – USA), Walt Longmire est maintenant bien connu des amateurs de romans noirs américains.
Mais c'est bien loin de ses grandes plaines enneigées habituelles que le policier devra déployer ses talents pour délivrer sa propre fille Cady des griffes de Bidarte, un narco trafiquant mexicain de la pire espèce réfugié avec son armée dans un monastère.
Nargué par le kidnappeur mais aidé de quelques amis locaux, Walt s'infiltre en terrain inconnu à dos de mules et se lance dans une mission suicide dont le point d'orgue ressemblera à l'apocalypse.
Flirtant avec les romans d'action les plus délirants, accumulant les cadavres comme jamais dans une ambiance de violence permanente, Craig Johnson maintient son héros dans ses limites habituelles d'intégrité, d'humanité et d'humour, bien sûr.
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Ouf ! je respire.
Ce dernier opus de Craig Johnson a été lu en apnée. Surtout les derniers chapitres
Cette crevure de Bidarte a enlevé Cady, la fille de Walter Longmire mon cher personnage de cette série que j' adore.
On se retrouve au Mexique et là, aidé d' un aveugle surnommé le Voyant, une danseuse de flamenco aux yeux améthyste, d' un indien muet et d'autres personnages du même acabit, Walt traverse le désert afin de sauver la prunelle de ses yeux.
Évidemment ça va saigner, défourailler à tout va, nous attrister parfois mais ce roman est un pur moment jubilatoire.
Par contre, pas de Henry Standing Bear dans cet opus. Sa "nonchalance" m'a manqué.

Je pense qu'il est préférable d'avoir lu les tomes précédents, certains éléments manqueront à votre lecture.

Il n' empêche,Un conseil, foncez, foncez. Vous passerez un sacré bon moment.

Merci à Gallmeister.

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critiques presse (1)
Actualitte
18 juillet 2023
Ce livre est une plongée effarante dans la violence gratuite et la folie humaine dont il est toujours sidérant de constater la capacité à inventer toujours pire.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
La plaine aux couleurs ocre semblait s'étendre à l'infini , au-delà de l'anarchie créée par l'homme sur cette place où les portes avaient été remplacées par des rideaux de douche . Soudain me vint l'idée que le monde serait peut-être meilleur sans êtres humains .
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On apprend beaucoup en restant silencieux, les gens oublient qu'on est là.
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Je fais ce métier depuis toujours et je peux vous dire qu'être le plus grand, le plus méchant, le plus dur, le plus malin, ça ne signifie rien du tout. C'est celui qui est prêt à aller plus loin que tout le monde qui gagnera. Et pour ma fille, je serai prêt à faire l'aller-retour jusqu'en enfer sans reprendre mon souffle.
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Mon gars vous amenera à temps à la messe. (Il grogna). Il prend la religion très au serieux, au point qu'il grave des croix sur ses cartouches.
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- Je suis à califourchon sur un mulet, c'est ça qui donne l'impression que je manque d'assurance.
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Videos de Craig Johnson (51) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Craig Johnson
https://www.laprocure.com/product/1439358/johnson-craig-le-pays-des-loups
Le Pays des loups Craig Johnson Éditions Gallmeister
©Marie-Joseph Biziou, libraire à La Procure de Paris
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