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EAN : 9782081378964
126 pages
Flammarion (14/10/2015)
4/5   4 notes
Résumé :
Oui, l'école, telle que nous l'avons aimée et servie, cette école est finie. Mais son esprit demeure. Son besoin demeure. Son espérance demeure. Il ne tient qu'à nous de la recommencer
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Excellent !!!
Vraiment vous qui êtes de grands lecteurs,lisez le car il ne se contente pas de dresser un tableau de l'école actuelle,il propose des solutions intelligentes
Autres que cette réforme inique du collège qui va être imposée à nos enfants.


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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
« A la République enseignante a succédé la Démocratie parentale et à l’universalité des Lumières l’individualisme du consommateur. » (p. 16)
« Quand la pédagogie tend à se substituer au contenu même du savoir, comme la rhétorique des beaux parleurs au message à transmettre, nous entrons dans l’imposture » (p. 22)
« on enseigne avec son corps, on enseigne aussi avec son âme. » (p. 48)
« un paradoxe indéfendable dans cette prétendue « Ecole de la bienveillance » qui n’est en réalité qu’une Ecole de la complaisance ». (p. 79)
« le but premier de l’éducation n’est pas d’égaliser, mais d’éduquer » (p. 103)
« Penser c’est mettre en rapport. Cette mise en rapport suppose l’existence d’un matériau mental immédiatement utilisable » (p. 108)
« il faut, à tout âge, exercer sa mémoire » (p. 109)
« Les enfants, à leurs corps défendant, se voient transformés en chevaux de course par leurs parents, qui leur communiquent leurs ambitions frustrées, leurs angoisses et leur vision du consumérisme scolaire. » (p. 111)
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« A la République enseignante a succédé la Démocratie parentale et à l’universalité des Lumières l’individualisme du consommateur. » (p. 16)
« Quand la pédagogie tend à se substituer au contenu même du savoir, comme la rhétorique des beaux parleurs au message à transmettre, nous entrons dans l’imposture » (p. 22)
« on enseigne avec son corps, on enseigne aussi avec son âme. » (p. 48)
« un paradoxe indéfendable dans cette prétendue « Ecole de la bienveillance » qui n’est en réalité qu’une Ecole de la complaisance ». (p. 79)
« le but premier de l’éducation n’est pas d’égaliser, mais d’éduquer » (p. 103)
« Penser c’est mettre en rapport. Cette mise en rapport suppose l’existence d’un matériau mental immédiatement utilisable » (p. 108)
« il faut, à tout âge, exercer sa mémoire » (p. 109)
« Les enfants, à leurs corps défendant, se voient transformés en chevaux de course par leurs parents, qui leur communiquent leurs ambitions frustrées, leurs angoisses et leur vision du consumérisme scolaire. » (p. 111)
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Ce dont nous avons besoin,dans l'Ecole et par l'Ecole,c'est d'une réforme intellectuelle et morale.
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Videos de Jacques Julliard (24) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jacques Julliard
« Personne ne soupçonne l'existence des Murs Blancs. Pourtant cette propriété a marqué l'histoire intellectuelle du XXème siècle. Elle a été aussi le lieu, où enfants, nous passions nos dimanche après-midi : la maison de nos grands-parents… Après la guerre, ce magnifique parc aux arbres centenaires niché dans le vieux Châtenay-Malabry, est choisi par le philosophe Emmanuel Mounier, pour y vivre en communauté avec les collaborateurs de la revue qu'il a fondé : Esprit. Quatre intellectuels, chrétiens de gauche et anciens résistants, comme lui, Henri-Irénée Marrou, Jean Baboulène, Paul Fraisse, Jean-Marie Domenach, le suivent avec leurs familles dans cette aventure. Ils sont bientôt rejoints par Paul Ricoeur. Pendant cinquante ans, les Murs Blancs sont le quartier général de leurs combats, dont la revue Esprit est le porte-voix : la guerre d'Algérie et la décolonisation, la lutte contre le totalitarisme communiste, la construction de l'Europe. Et bien sûr, Mai 68... Une vingtaine d'enfants, dont notre père, y sont élevés en collectivité. Malheureusement, les jalousies et les difficultés nourries par le quotidien de la vie en communauté y deviennent de plus en plus pesantes… Peut-être est-ce une des raisons pour lesquelles cette histoire est tombée dans l'oubli, et que personne n'avait pris la peine de nous la raconter jusqu'alors. Pourtant, beaucoup d'intellectuels, d'artistes et d'hommes politiques y ont fait leurs armes : Jacques Julliard, Jean Lebrun, Ivan Illich, Chris Marker, Jacques Delors et aussi… Emmanuel Macron. C'est grâce à leurs récits et confessions que nous avons pu renouer avec notre histoire : transformer un idéal difficile en récit familial et politique. » L. et H. Domenach
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